La fin de saison ’13 du Dark Side : geek et fantasy
Last but not least, revenons à notre fonds de commerce : les séries nawak, pleines d’aliens quasi-millénaires, de dressage de dragons, d’observateurs chauves et de haricots magiques. C’est finalement un genre qui ne se porte pas si mal ces derniers temps. J’en veux pour preuve que ces séries deviennent « grand public », avec des audiences larges et une cible variée. On ne se limite plus au public de fans hard core dérivant de cosplay en fanfiction. On peut certes s’en réjouir, en particulier parce que cela sécurise financièrement ces productions. On sait tous ce qui arrive aux séries de la sphère SF et fantasy brillantes mais peu financées : elles ont des décors de merde et des annulations précoces (oui Farscape c’est encore à toi que je pense). On peut aussi se dire que ça dilue un peu le nawak, dans un souci justement que la série soit suffisamment grand public, ce qui est un peu dommage et aseptise l’ambiance générale. Donc voilà, parlons un peu de ces séries chères à nos cœurs :
Last but not least, revenons à notre fonds de commerce : les séries nawak, pleines d’aliens quasi-millénaires, de dressage de dragons, d’observateurs chauves et de haricots magiques. C’est finalement un genre qui ne se porte pas si mal ces derniers temps. J’en veux pour preuve que ces séries deviennent « grand public », avec des audiences larges et une cible variée. On ne se limite plus au public de fans hard core dérivant de cosplay en fanfiction. On peut certes s’en réjouir, en particulier parce que cela sécurise financièrement ces productions. On sait tous ce qui arrive aux séries de la sphère SF et fantasy brillantes mais peu financées : elles ont des décors de merde et des annulations précoces (oui Farscape c’est encore à toi que je pense). On peut aussi se dire que ça dilue un peu le nawak, dans un souci justement que la série soit suffisamment grand public, ce qui est un peu dommage et aseptise l’ambiance générale. Donc voilà, parlons un peu de ces séries chères...
La Suite