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A.P. du foot: Affaire de famille

Comment vous dites, du phoutebaule ? Mais qu’est-ce que c’est donc que cela ?

Comment vous dites, du phoutebaule ? Mais qu’est-ce que c’est donc que cela ? Alors ça, c’est une vraie surprise. Un film qui démarre au stade de foot, dont les personnages sont soit d’anciennes gloires du ballon rond, soit d’ultimes fans, et dans lequel passent une bonne douzaine d’artéfacts de notre sport national, ça ne pouvait se terminer que d’une seule manière: par un zapping sauvage et foudroyant. Parce que, voyez-vous, le foot, ça m’ennuie. Je sais, c’est mal, il faut pas dire ça, c’est le sport que tout le monde adore en Europe, on peut pas essayer une seule fois de regarder la télé sans tomber sur une diffusion de Sedan-Guingamp ou de deuxième division d’Angleterre, et puis il y a eu 98, et Zidane et tout et tout…. Soit. Mais, rien à faire, ça m’ennuie. Rien de tel pour déclencher un merveilleux sommeil réparateur que de m’installer devant Barcelone-Lyon. Et pourtant, je ne suis pas de ces femelles allergiques aux exploits sportifs. Que nenni! Donnez-moi du tennis,...

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Posted by on Juil 21, 2009 in Choix et reviews du Dark Side | 3 comments

Pourquoi, Alan Tudyk, mais pourquoi?

En tombant de manière très aléatoire sur un petit film anglais fort sympathique et à l’humour caustique comme j’aime, une pensée m’a frappée. Dans « Death at a funeral », Alan Tudyk, notre aimé Wash de Firefly, nous gratifie d’un numéro hors du commun. Le voilà en effet aux obsèques de l’oncle de sa fiancée, en plein milieu d’une famille qui ne l’aime guère. Et voilà qu’il avale malencontreusement un cachet fort hallucinogène caché dans un flacon de valium. Du coup, le voilà qui commence à dérailler. Et à avoir des relations un peu suspectes avec la glycine du jardin. De plus en plus décontenancé, notre ami Alan se désappe et monte sur le toit, où il s’adonne à des activités peu matures et brins déplacées. Voire même un peu dégueu… Mais bon faut avouer que ça a l’air très rigolo! Et voilà qu’il part complètement en sucette et décide de monter sur le toit devant toute la famille en deuil ahurie! On en arrive même à un peu de …...

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A.P. de la folie: The last king of Scotland

Tatataaaaa!!! *roulement de tambour*

Je le sais, vous avez passé des semaines (que dis-je, des mois!!), agenouillés devant votre connexion, la priant chaque jour de vous amener enfin un nouvel épisode de ma prose envoutante *toussotement discret*. Je le sais, vous avez hurlé votre douleur aux étoiles, à chaque déconvenue, constatant que rien de tel ne s’affichait. Je le sais, vous avez dépéri comme une plante verte en plein mois d’août, ruminant cet abandon dont vous êtes victime. Je le sais, car je vois tout cela grâce à mes super-pouvoirs!! (Woops, désolée, c’est la lecture des reviews de Supernatural qui me font partir en javel….).

Et voilà, vos prières ont été entendues! Vous êtes exaucés, je vous reviens enfin, et visiblement je déménage de la cafetière. Rien ne va plus, je suis partie en vrille depuis mon retour très temporaire à la civilisation (semaine de la fermeture oblige). Et ceci explique en grande partie mon choix d’aujourd’hui: un petit aperçu de la grande folie humaine, merci Mr Whitaker.

Tatataaaaa!!! *roulement de tambour* Je le sais, vous avez passé des semaines (que dis-je, des mois!!), agenouillés devant votre connexion, la priant chaque jour de vous amener enfin un nouvel épisode de ma prose envoutante *toussotement discret*. Je le sais, vous avez hurlé votre douleur aux étoiles, à chaque déconvenue, constatant que rien de tel ne s’affichait. Je le sais, vous avez dépéri comme une plante verte en plein mois d’août, ruminant cet abandon dont vous êtes victime. Je le sais, car je vois tout cela grâce à mes super-pouvoirs!! (Woops, désolée, c’est la lecture des reviews de Supernatural qui me font partir en javel….). Et voilà, vos prières ont été entendues! Vous êtes exaucés, je vous reviens enfin, et visiblement je déménage de la cafetière. Rien ne va plus, je suis partie en vrille depuis mon retour très temporaire à la civilisation (semaine de la fermeture oblige). Et ceci explique en grande partie mon choix d’aujourd’hui: un petit aperçu de la grande folie humaine, merci Mr Whitaker. Bon,...

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Posted by on Août 31, 2008 in Choix et reviews du Dark Side | 7 comments

A.P. de la contemplation: Cashback (deuxième partie)

Reprenons. Tout lecteur ayant séché la semaine dernière devra rattraper avant la lecture de ce qui suit. On en était donc à notre charmant petit héros, Mister Olivier Dubois, qui vit dans un temps qui se dilate au point de se figer pendant ses heures d’insomnie occupées à passer la serpillère dans le supermarché de nuit. Lorsque le temps se fige, il fait tout de même un cadeau inestimable à notre jeune artiste peintre: il lui donne l’occasion de prendre tout le temps nécessaire pour travailler, à sa guise, sur des modèles parfaitement immobiles. Dans ce monde en pause, il redécouvre un concept qui semble à tous à la fois immédiat et inexplicable: la beauté artistique. Il met à profit ce temps figé pour recommencer son travail d’étude de la beauté. Il dessine, encore et encore, tous les corps qui lui sont offerts par ce point d’orgue temporel. Il a le temps, enfin, de vraiment travailler, d’aller au plus loin dans sa recherche de la représentation du bel art....

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Posted by on Juin 26, 2008 in Choix et reviews du Dark Side | 4 comments

A.P. de la contemplation: Cashback (première partie)

Il en est des œuvres comme des gens: on croit avoir tout vu, connaître toutes les ficelles et tous les clichés. Plus rien ne nous étonne, on se sent glisser vers une inévitable lassitude, et tout à coup…. le choc… … une vrai surprise. Un tourbillon d’introspection qui arrive à garder à la fois fraîcheur et pertinence. Du beau conservant du propos. Je n’y croyais plus, Olivier Dubois me l’a pourtant offert (enfin bon, le réalisateur en fait, mais je ne me souviens plus de son nom). Premier choc. Bon, je sais, vous n’avez pas le son. Mais Mozart arrive doucement sur cet écran noir, plein de tendresse mais aussi de nostalgie. Un tout petit moment de perfection, dès la première seconde, sans le moindre support visuel. Ça part bien, se dit-on. Choc 2, on commence sans image. Par une phrase dont il est impossible de savoir s’il faut en rire ou s’en offusquer, le ton ne semble pas vouloir être décrypté. Ambiguïté. J’adore. *Pourlèchement de babines sur les...

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Posted by on Juin 26, 2008 in Choix et reviews du Dark Side | 20 comments

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