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Sweeney Todd

Moi, il y a des choses qui me gonflent. Et vous savez ce qui me gonfle le plus ? Le génie.

Alors, j’admets que sur ce coup-là, il s’est fait plaisir, cet enfoiré de Tim !
Du coup, c’est vrai que pour les novices du genre, ça doit surprendre. Ca doit même sacrément refroidir… Mais comment résister à cette esthétique irréprochable, noire, implacable, grinçante, qui vous glace et vous secoue d’un gros rire nerveux tout à la fois ? Et puis qui sans prévenir, vous enchante… et la seconde d’après vous fait couiner de trouille… ?

Moi, il y a des choses qui me gonflent. Et vous savez ce qui me gonfle le plus ? Le génie. Alors, j’admets que sur ce coup-là, il s’est fait plaisir, cet enfoiré de Tim ! Du coup, c’est vrai que pour les novices du genre, ça doit surprendre. Ca doit même sacrément refroidir… Mais comment résister à cette esthétique irréprochable, noire, implacable, grinçante, qui vous glace et vous secoue d’un gros rire nerveux tout à la fois ? Et puis qui sans prévenir, vous enchante… et la seconde d’après vous fait couiner de...

La Suite

Posted by on Fév 20, 2008 in DVD, cinéma, et autres... | 17 comments

Seigneurs, Anneaux, Hobbits, Elfes, captures d’écran, réflexions et autres : les Deux Tours

Alors là, attention, ça se complique.

(Ca se complique tellement que ça m’a sortie du lit. Je voulais me coucher tôt et ce foutu billet tournait dans ma tête, il fallait que je l’écrive.)

Replaçons la chose dans son contexte.
2002, vlan, je me case. Ce sont des choses qui arrivent.
Nous nous convertissons mutuellement à un tas de choses (je résiste à The West Wing, on est bête quand on est jeune) mais surtout, pendant les mois qui précèdent la sortie des Tours, nous procédons à une préparation digne des plus grands athlètes. Relecture des bouquins, revisionnage intensif de la version longue de la Communauté, avec les commentaires, l’intégrale des bonus, bref, on en bouffe, de l’Anneau.
Et là, c’est le drame. On va voir les Deux Tours. On se retrouve deux heures et quelques plus tard à la terrasse surchauffée d’un bistro voisin, et on se regarde la mine déconfite : c’était quoi donc, ce truc ?
Je vous dis pas l’ambiance.

Alors là, attention, ça se complique. (Ca se complique tellement que ça m’a sortie du lit. Je voulais me coucher tôt et ce foutu billet tournait dans ma tête, il fallait que je l’écrive.) Replaçons la chose dans son contexte. 2002, vlan, je me case. Ce sont des choses qui arrivent. Nous nous convertissons mutuellement à un tas de choses (je résiste à The West Wing, on est bête quand on est jeune) mais surtout, pendant les mois qui précèdent la sortie des Tours, nous procédons à une préparation digne des plus grands athlètes. Relecture des bouquins, revisionnage intensif de la version longue de la Communauté, avec les commentaires, l’intégrale des bonus, bref, on en bouffe, de l’Anneau. Et là, c’est le drame. On va voir les Deux Tours. On se retrouve deux heures et quelques plus tard à la terrasse surchauffée d’un bistro voisin, et on se regarde la mine déconfite : c’était quoi donc, ce truc ? Je vous dis pas...

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Seigneurs, anneaux, Hobbits, Elfes, captures d’écran, réflexions et autres : la Communauté

(Comme les temps sont durs et qu’il est difficile de poster quoi que ce soit, voici quelques délires grattes pendant ma maladie suite au visionnage de la Communaute de l’Anneau. N’y voyez pas une analyse ni une review ni un resume ni quoi que ce soit, seulement quelques idées jetées dans tous les sens par une fanatique de Tolkien. Vous allez être tentes de rajouter de l’info mais je vous previens de suite que de ce côté la je suis assez blindée. Cela dit, on peut en discuter.)

(Comme les temps sont durs et qu’il est difficile de poster quoi que ce soit, voici quelques délires grattes pendant ma maladie suite au visionnage de la Communaute de l’Anneau. N’y voyez pas une analyse ni une review ni un resume ni quoi que ce soit, seulement quelques idées jetées dans tous les sens par une fanatique de Tolkien. Vous allez être tentes de rajouter de l’info mais je vous previens de suite que de ce côté la je suis assez blindée. Cela dit, on peut en...

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Posted by on Déc 15, 2007 in DVD, cinéma, et autres... | 15 comments

La Boussole d’or

Adoncques, hier soir, la Chéché, Labell’A et mon humble personne allâmes au cinéma. Bravant toutes les intempéries que vous pouvez imaginer. Je fus héroïque, malgré une Chéché qui a tenté de me griller lors d’un sprint final mémorable la place de « deuxième » à laquelle je ne suis pas habituée.
(Oui, c’est un petit jeu entre nous… je crois que pour ne pas arriver en retard, il faudrait que je maîtrise la téléportation… surtout que mes deux acolytes sont toujours rigoureusement à l’heure. Ces vicelardes-là poussent même parfois la traîtrise jusqu’à arriver en avance rien que pour voir ma mine déconfite de bonne dernière. Je le SAIS !)

Adoncques, hier soir, la Chéché, Labell’A et mon humble personne allâmes au cinéma. Bravant toutes les intempéries que vous pouvez imaginer. Je fus héroïque, malgré une Chéché qui a tenté de me griller lors d’un sprint final mémorable la place de « deuxième » à laquelle je ne suis pas habituée. (Oui, c’est un petit jeu entre nous… je crois que pour ne pas arriver en retard, il faudrait que je maîtrise la téléportation… surtout que mes deux acolytes sont toujours rigoureusement à l’heure. Ces vicelardes-là poussent même parfois la traîtrise jusqu’à arriver en avance rien que pour voir ma mine déconfite de bonne dernière. Je le SAIS...

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Posted by on Déc 11, 2007 in DVD, cinéma, et autres... | 44 comments

Sense and Sensibilty

Comment vous dire à quel point j’aime ce film… Déjà, recadrons un peu. La première fois que je vois ce film, nous sommes en 1998, je finis ma deuxième deuxième année (hum… faut dire que je me fais sévèrement chier), et le lendemain, je dois aller voir mes résultats avec le fol espoir de passer… en troisième année. Sivouplé. Non parce qu’elle est sympa cette deuxième année, mais bon, une troisième deuxième année, il n’en est juste PAS question ! Bref, avec une copine qui est dans le même cas que moi, on décide de se murger comme il faut et de se faire une nuitcinémadans mon 18m2 sous les toits. Zyva, au moins si on est défaites le lendemain, ce sera pour quelque chose. Je prépare Star Wars, elle rapplique avec la cassette de Raisons et Sentiments. « Kestu m’fé avec tes robes empires et tes bouclettes, toi ! » que je m’exclame. « C’est pas avec ça qu’on va s’éclater ! »
Que dalle. On s’est éclatées devant ce film, même qu’on a chialé à la fin et qu’on s’est endormies à quatre heures du mat’ et qu’on a fait de beaux rêves.

Comment vous dire à quel point j’aime ce film… Déjà, recadrons un peu. La première fois que je vois ce film, nous sommes en 1998, je finis ma deuxième deuxième année (hum… faut dire que je me fais sévèrement chier), et le lendemain, je dois aller voir mes résultats avec le fol espoir de passer… en troisième année. Sivouplé. Non parce qu’elle est sympa cette deuxième année, mais bon, une troisième deuxième année, il n’en est juste PAS question ! Bref, avec une copine qui est dans le même cas que moi, on décide de se murger comme il faut et de se faire une nuitcinémadans mon 18m2 sous les toits. Zyva, au moins si on est défaites le lendemain, ce sera pour quelque chose. Je prépare Star Wars, elle rapplique avec la cassette de Raisons et Sentiments. « Kestu m’fé avec tes robes empires et tes bouclettes, toi ! » que je m’exclame. « C’est pas avec ça qu’on va s’éclater ! » Que dalle. On s’est éclatées devant ce film, même qu’on...

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Posted by on Sep 12, 2007 in DVD, cinéma, et autres... | 19 comments

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