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Oh mon DIEU, le rêêêêve !!! :-D

Si vous n’avez pas vu la fin de l’épisode 505 de Doctor Who, surtout ne cliquez pas !

Si vous n’avez pas vu la fin de l’épisode 505 de Doctor Who, surtout ne cliquez pas ! Arf, non mais sérieux, est-ce que vous n’aviez jamais rêvé de voir le Docteur se faire courser par une companion, toutes lèvres dehors, autour d’un plumard ? Est-ce que c’était pas le fantasme absolu ? Est-ce que c’était pas la rigolade assurée ??? Si. Eh ben bonne chance pour faire mieux que ça, les loulous, parce que perso, j’en pisse encore de rire. Cette scène, je l’ai tellement vue souvent dans mon esprit malade, à chaque fois que le Docteur esquivait habilement les avances de ses petites copines, je rêvais qu’il se mange ça dans les dents. Mais Rose n’aurait jamais osé, Astrid était trop angélique, Martha trop pétrifiée, Donna trop amicale, les autres trop vieilles… Seule Cristina aurait pu mais il n’y avait pas de plumard dans le coin… et elle avait sans doute encore trop de classe pour courir après un bonhomme, fût-il Seigneur. Sauf que là… on a quand...

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Posted by on Mai 2, 2010 in Doctor Who Episodes | 19 comments

505 : Flesh and stone

Donc lorsque j’ai laissé mon Doctor et ses petits camarades il y a de ça quatre mois (quatre mois, Sweet Djizeusse, mais où sont-ils passés, ceux-là ?), ils étaient en train de sauter. Ca fait long, un saut de quatre mois, me direz-vous, sauf qu’avec le Docteur, tout est possible.
Pourquoi ces quatre mois ? Eh bien parce que cet épisode m’a laissée plus que perplexe. Il y a certains éléments que j’ai adorés. D’autres qui m’ont légèrement gavée. Du coup, je n’arrive pas à me faire une opinion, c’est terrible. Et je sens qu’il faudrait que j’adoooOOOooore ce double épisode mais j’ai beau me forcer, pas possible.
Déjà, il y a des détails techniques que je ne comprends pas, ce doit être à force de fréquenter Arthur Pendragon, mon crâne s’est épaissi et refuse d’intégrer certains trucs genre… quand ils sautent, paf, ils se retrouvent pendus au plafond. Blablablabla « artificial gravity », rien entravé ! C’est très joli, très décoratif, c’est totalement farfelu comme il se doit… eh ben ça m’a contrariée.

Donc lorsque j’ai laissé mon Doctor et ses petits camarades il y a de ça quatre mois (quatre mois, Sweet Djizeusse, mais où sont-ils passés, ceux-là ?), ils étaient en train de sauter. Ca fait long, un saut de quatre mois, me direz-vous, sauf qu’avec le Docteur, tout est possible. Pourquoi ces quatre mois ? Eh bien parce que cet épisode m’a laissée plus que perplexe. Il y a certains éléments que j’ai adorés. D’autres qui m’ont légèrement gavée. Du coup, je n’arrive pas à me faire une opinion, c’est terrible. Et je sens qu’il faudrait que j’adoooOOOooore ce double épisode mais j’ai beau me forcer, pas possible. Déjà, il y a des détails techniques que je ne comprends pas, ce doit être à force de fréquenter Arthur Pendragon, mon crâne s’est épaissi et refuse d’intégrer certains trucs genre… quand ils sautent, paf, ils se retrouvent pendus au plafond. Blablablabla « artificial gravity », rien entravé ! C’est très joli, très décoratif, c’est totalement farfelu comme il se doit… eh ben ça m’a...

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Posted by on Mai 2, 2010 in Doctor Who Episodes | 19 comments

504 : The time of Angels

Bon, vous allez voir que je vais être très claire dès le début. J’adore Stephen Moffat, je pense très sincèrement que c’est un des meilleurs raconteurs d’histoires qui existent et qu’un dîner avec lui, Alan Ball et Ronald D. Moore, ça doit donner. En plus, ça a l’air d’être une très belle personne. Et effectivement, comme il le dit dans le Confidential, il est désormais à la tête de Doctor Who, il a droit de vie et de mort sur les personnages, encore plus quand ce sont SES personnages et SES monstres, bref, le gars, il fait ce qu’il veut, il est tout puissant, et il a bien raison de s’en vanter. Seulement si on m’avait demandé mon avis à moi personnel, j’aurais dit : honhon. Faut pas rameuter les Weeping Angels. Pour moi, ce sont des monstres magiques, élégants et mystérieux et je n’ai pas spécialement envie d’en savoir plus sur leur vie, leur oeuvre. Excepté qu’ils sont méga-flippants.
C’est comme Sally Sparrow. Je ne sais pas si elle aurait conservé une telle aura et une telle grâce si on avait dû se la traîner pendant une saison. Maintenant, qui suis-je pour juger de ce qu’un scénariste veut faire de ses bébés ? Personne. Donc je ne me suis ni réjouie ni frappé le front de désespoir. J’ai attendu de voir.
Et j’ai vu.

Bon, vous allez voir que je vais être très claire dès le début. J’adore Stephen Moffat, je pense très sincèrement que c’est un des meilleurs raconteurs d’histoires qui existent et qu’un dîner avec lui, Alan Ball et Ronald D. Moore, ça doit donner. En plus, ça a l’air d’être une très belle personne. Et effectivement, comme il le dit dans le Confidential, il est désormais à la tête de Doctor Who, il a droit de vie et de mort sur les personnages, encore plus quand ce sont SES personnages et SES monstres, bref, le gars, il fait ce qu’il veut, il est tout puissant, et il a bien raison de s’en vanter. Seulement si on m’avait demandé mon avis à moi personnel, j’aurais dit : honhon. Faut pas rameuter les Weeping Angels. Pour moi, ce sont des monstres magiques, élégants et mystérieux et je n’ai pas spécialement envie d’en savoir plus sur leur vie, leur oeuvre. Excepté qu’ils sont méga-flippants. C’est comme Sally Sparrow. Je ne sais pas si elle...

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Posted by on Avr 28, 2010 in Doctor Who Episodes | 50 comments

503 : Victory of the Daleks

Voilà un épisode que je qualifierais de correct. Disons qu’il équilibre quelques clichés et lacunes scénaristiques par deux ou trois scènes qui vous laissent gentiment sur le croupion. Et qu’il y a la Doctor touch. Après la traversée du désert de 2009, perso, je fais déjà moins la fine bouche !
Alors, évidemment, j’ai tout de suite reconnu le nom du scénariste, Mark Gatiss. D’abord, c’est l’infâme Lazarus de la saison 3, ensuite, c’est le scénariste de l’épisode avec Dickens et de Idiot’s lantern. Et un pur taré de fan de Doctor Who. Mais genre le fan hystéro, quoi. Le mec que t’arrêtes plus quand il commence à en parler. Le mec qui a dû faire « hiiiiiii » en agitant les mains dans tous les sens et en sautillant sur place quand on lui a proposé d’écrire des épisodes de la nouvelle série. Arf.

Voilà un épisode que je qualifierais de correct. Disons qu’il équilibre quelques clichés et lacunes scénaristiques par deux ou trois scènes qui vous laissent gentiment sur le croupion. Et qu’il y a la Doctor touch. Après la traversée du désert de 2009, perso, je fais déjà moins la fine bouche ! Alors, évidemment, j’ai tout de suite reconnu le nom du scénariste, Mark Gatiss. D’abord, c’est l’infâme Lazarus de la saison 3, ensuite, c’est le scénariste de l’épisode avec Dickens et de Idiot’s lantern. Et un pur taré de fan de Doctor Who. Mais genre le fan hystéro, quoi. Le mec que t’arrêtes plus quand il commence à en parler. Le mec qui a dû faire « hiiiiiii » en agitant les mains dans tous les sens et en sautillant sur place quand on lui a proposé d’écrire des épisodes de la nouvelle série....

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Posted by on Avr 25, 2010 in Doctor Who Episodes | 17 comments

502 : The beast below

Oh la la, je vais gagater, je vous préviens, je vais GAGATER, mais d’importance ! Nan mais c’est quoi ce deuxième épisode de foliiiie ? D’habitude, les deuxièmes épisodes de saison, ils sont sympa, mais pas démentiels comme ça, eh oh, faut qu’on se remette de nos émotions, quand même !
Et là, le délire total, t’avances, t’avances et tu te dis qu’il faut se calmer, là, qu’il faut tenir sur la durée, tout ça. Eh ben non. Le père Moffat, vlan, il te sort l’artillerie lourde deux semaines d’affilée sans aucune arrière-pensée, genre : « Mange, fan de base. Hein ? David qui ? »
Rah. En plus, c’est double voire triple effet Kisscool parce que le truc, il te poursuit genre trois jours après !
Evidemment, on n’échappe pas aux pauvres chtit’gnenfants qui, c’est sûr, se font dévorer là en bas parce qu’ils ont eu de mauvaises notes. Les gnards, ça coûte pas cher et c’est garanti que ça fait pleurer dans les chaumières, zou.

Oh la la, je vais gagater, je vous préviens, je vais GAGATER, mais d’importance ! Nan mais c’est quoi ce deuxième épisode de foliiiie ? D’habitude, les deuxièmes épisodes de saison, ils sont sympa, mais pas démentiels comme ça, eh oh, faut qu’on se remette de nos émotions, quand même ! Et là, le délire total, t’avances, t’avances et tu te dis qu’il faut se calmer, là, qu’il faut tenir sur la durée, tout ça. Eh ben non. Le père Moffat, vlan, il te sort l’artillerie lourde deux semaines d’affilée sans aucune arrière-pensée, genre : « Mange, fan de base. Hein ? David qui ? » Rah. En plus, c’est double voire triple effet Kisscool parce que le truc, il te poursuit genre trois jours après ! Evidemment, on n’échappe pas aux pauvres chtit’gnenfants qui, c’est sûr, se font dévorer là en bas parce qu’ils ont eu de mauvaises notes. Les gnards, ça coûte pas cher et c’est garanti que ça fait pleurer dans les chaumières,...

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Posted by on Avr 24, 2010 in Doctor Who Episodes | 55 comments

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