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718 : Requiem

Mine de rien, ça commence à sentir sérieusement la fin.
Notre nouveau président est donc élu, et l’enterrement de Leo, c’est un peu aussi celui du double mandat Bartlet.
Nous avons donc là l’indispensable épisode hommage à Leo. Drôle de redescente sur Terre après les montagnes russes du double épisode précédent.

??videmment, ce n’est pas un moment qu’on peut qualifier de gai, mais c’est indispensable. La première séquence, très douce, avec tous les personnages qui se préparent à aller rendre hommage à leur ami, est tout bonnement magnifique.

Mine de rien, ça commence à sentir sérieusement la fin. Notre nouveau président est donc élu, et l’enterrement de Leo, c’est un peu aussi celui du double mandat Bartlet. Nous avons donc là l’indispensable épisode hommage à Leo. Drôle de redescente sur Terre après les montagnes russes du double épisode précédent. ??videmment, ce n’est pas un moment qu’on peut qualifier de gai, mais c’est indispensable. La première séquence, très douce, avec tous les personnages qui se préparent à aller rendre hommage à leur ami, est tout bonnement...

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Posted by on Jan 23, 2008 in The West Wing | 1 comment

717 : Election II

« He died, Josh. »

Aïe, ouille, malheureuse, que n’avez-vous pas dit là.

(Moi, j’imagine les scénaristes en réunion de crise après la mort de John Spencer. Mais que faire de ça ? Remplacer l’acteur ? Ridicule. Faire mourir Leo ? Oui. Mais comment, dans quelles circonstances, à quel moment ? Et tous de s’activer à réécrire frénétiquement la fin de la série.)

Et puis il y a quand même le facteur émotion. Leo ne saurait tirer sa révérence sans faire pleurer la moitié de la planète. Ce sera le cas. A commencer par la pauvre Annabeth qui, toute haute comme trois pommes qu’elle est, n’en verse pas moins plusieurs hectolitres. Pov’ petit bouchon qui croyait laisser dormir son Leo et qui en fait était en train de le laisser crever.

« He died, Josh. » Aïe, ouille, malheureuse, que n’avez-vous pas dit là. (Moi, j’imagine les scénaristes en réunion de crise après la mort de John Spencer. Mais que faire de ça ? Remplacer l’acteur ? Ridicule. Faire mourir Leo ? Oui. Mais comment, dans quelles circonstances, à quel moment ? Et tous de s’activer à réécrire frénétiquement la fin de la série.) Et puis il y a quand même le facteur émotion. Leo ne saurait tirer sa révérence sans faire pleurer la moitié de la planète. Ce sera le cas. A commencer par la pauvre Annabeth qui, toute haute comme trois pommes qu’elle est, n’en verse pas moins plusieurs hectolitres. Pov’ petit bouchon qui croyait laisser dormir son Leo et qui en fait était en train de le laisser...

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Posted by on Jan 20, 2008 in The West Wing | 4 comments

716 : Election day I

Fraktastic ! Ca nique tellement dans cet épisode que j’ai failli perdre un oeil !
Ah ça, pour exulter, les corps exultent ! Comme jamais !

Première scène absolument surréaliste, donc, dans une série où la scène la plus sexy doit être celle où Jed annonce que ça fait 70 jours qu’il n’a pas honoré maman et que ça commence à faire long.

Nous sommes à la veille de l’élection. Nos braves petits soldats de la campagne Santos débouchent une bouteille de tord-boyau pour se murger d’importance en attendant l’ouverture des bureaux de vote. Et un par un (ou plutôt deux par deux), sous le regard incrédule de Josh qui n’a jamais rien vu venir, les fidèles lieutenants s’en vont célébrer la fin de la campagne sous la couette. « Getting on board », comme ils disent.

Fraktastic ! Ca nique tellement dans cet épisode que j’ai failli perdre un oeil ! Ah ça, pour exulter, les corps exultent ! Comme jamais ! Première scène absolument surréaliste, donc, dans une série où la scène la plus sexy doit être celle où Jed annonce que ça fait 70 jours qu’il n’a pas honoré maman et que ça commence à faire long. Nous sommes à la veille de l’élection. Nos braves petits soldats de la campagne Santos débouchent une bouteille de tord-boyau pour se murger d’importance en attendant l’ouverture des bureaux de vote. Et un par un (ou plutôt deux par deux), sous le regard incrédule de Josh qui n’a jamais rien vu venir, les fidèles lieutenants s’en vont célébrer la fin de la campagne sous la couette. « Getting on board », comme ils...

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Posted by on Jan 19, 2008 in The West Wing | 4 comments

715 : Welcome to wherever you are

(Et voilà. Le premier épisode que je revois depuis fin décembre. Vous voyez, je ne fais pas les choses n’importe comment, hein. Enfin, c’est surtout que j’ai pensé que ce serait un peu brutal de plonger directement dans le double épisode des élections. Une petite préparation physique s’imposait, avant. C’est fait.)

Les cinq derniers jours de la campagne : un souk extraordinaire, une véritable course contre la montre, des feuilles qui volent dans tous les sens, des hurlements de partout… et deux papas sous pression.

(Et voilà. Le premier épisode que je revois depuis fin décembre. Vous voyez, je ne fais pas les choses n’importe comment, hein. Enfin, c’est surtout que j’ai pensé que ce serait un peu brutal de plonger directement dans le double épisode des élections. Une petite préparation physique s’imposait, avant. C’est fait.) Les cinq derniers jours de la campagne : un souk extraordinaire, une véritable course contre la montre, des feuilles qui volent dans tous les sens, des hurlements de partout… et deux papas sous...

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Posted by on Jan 18, 2008 in The West Wing | 2 comments

714 : Two weeks out

(Courage, les non-West-Wingiens, la fin est proche… Pour vous récompenser, quand j’en aurai terminé, vous aurez trois épisodes de House, sans compter les divers DH, UB et autres… )

Ah, quel personnage fascinant, cet Arnie Vinick. Z’avouerez que dans le genre, il est quand même increvable. Et pourtant, il a de ces moments où le vernis se craquèle et laisse apparaître l’homme vulnérable qu’il peut y avoir, peut-être (mais on en est pas sûr), en dessous de cette carapace d’homme politique souriant et compassé.

(Courage, les non-West-Wingiens, la fin est proche… Pour vous récompenser, quand j’en aurai terminé, vous aurez trois épisodes de House, sans compter les divers DH, UB et autres… ) Ah, quel personnage fascinant, cet Arnie Vinick. Z’avouerez que dans le genre, il est quand même increvable. Et pourtant, il a de ces moments où le vernis se craquèle et laisse apparaître l’homme vulnérable qu’il peut y avoir, peut-être (mais on en est pas sûr), en dessous de cette carapace d’homme politique souriant et...

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Posted by on Jan 18, 2008 in The West Wing | 12 comments

713 : The cold

(Ouééééé, une review-fleuve avec plein de gros morceaux de « ship » dedans. Profitez, dans The West Wing, c’est aussi rare que dent de poule.)

Je ne vais pas jouer les ingénues : je savais que dans cet épisode, il y avait de la bisouille dans l’air. C’est un peu ça, le problème, quand on voit une série un ou deux ans après tout le monde, on cherche de l’info sur un épisode, sur un acteur, sur une intrigue, et on se retrouve à lire : « Oui, c’est trop bien quand Josh embrasse Donna parce que Santos a rattrapé Vinick dans les sondages. »

(Ouééééé, une review-fleuve avec plein de gros morceaux de « ship » dedans. Profitez, dans The West Wing, c’est aussi rare que dent de poule.) Je ne vais pas jouer les ingénues : je savais que dans cet épisode, il y avait de la bisouille dans l’air. C’est un peu ça, le problème, quand on voit une série un ou deux ans après tout le monde, on cherche de l’info sur un épisode, sur un acteur, sur une intrigue, et on se retrouve à lire : « Oui, c’est trop bien quand Josh embrasse Donna parce que Santos a rattrapé Vinick dans les...

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Posted by on Jan 17, 2008 in The West Wing | 24 comments

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