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305 : On the day before

Quand on roupille, voilà ce qui arrive, on ne comprend plus rien. Si j’ai à peu près saisi, c’est la première fois depuis le début de son mandat que Bartlet oppose son veto à un projet de loi. Seulement voilà, son veto risque d’être surmonté par… Oh, une mouche qui vole !!

Hum…

Autre dossier délicat, un attentat suicide en Israël qui semble avoir été dirigé contre deux étudiant.es américains… J’en profite pour dire que je commence à beaucoup aimer Nancy McNally. Ouais. Elle est cool, cette nana ! Et elle est… euh… conseillère en sécurité, ou quelque chose du genre ? Ils devraient nous le rappeler à chaque fois…

Ah, un dîner très prout prout doit avoir lieu. Josh est sacrément endimanché… Et devinez qui est suspendu à son cou pour lui faire son noeud pap ?

« Josh, j’ai un truc à te dire, c’est important… »

Ouais, vas-y, qu’on rigole ! Mwahahahahah !

A l’occasion de ce dîner, Josh doit rencontrer en privé le gouverneur du… euh de… comment dire…

Ca va pas fort, moi en ce moment…

Hum, gouverneur qui fout la pression concernant… ptain mais c’est pas croyable !! J’oublie tout !

Enfin une chose est sûre, moi, si j’étais Josh, je me méfierais… Ce type-là, il a une gueule à vous annoncer qu’il est votre père histoire de vous piquer un rein… (mais oui, roh, le père de Locke !)

Et je trouve qu’en pingouin, Josh fait très « Corleone »…

Entre le président et la First Lady, ça a l’air d’aller un peu mieux. Jed en profite pour lui confier que les deux gamins qui ont été tués en Israël étaient deux frères… et qu’il s’inquiète pour Zoey…

(Puisque je black-out sur toute l’intrigue politique, au moins je donne des nouvelles de tous ces braves gens… )

Bon ce qui est intéressant, c’est toute la manip mise au point par l’équipe de Bartlet qui ne pouvant convaincre les démocrates de se mettre de leur côté pour cette histoire de projet de loi, finit par dévergonder des républicains. Et à propos de républicain, d’ailleurs… A la fin de l’épisode, Donna va avouer à Josh son aventure avec le loustic… Et là, mamma mia, tous aux abris !

« You can’t see him anymore… » « Okay… » « You can’t see him anymore !! »

Oui, c’est bon, on a compris. Si j’ai tout bien capté, Cliff est en fait membre d’une commission de surveillance de je ne sais pas quoi, mais c’est un ennemi, quoi. D’après ce qu’il a dit à Donna, il n’y est plus… Josh veut quand même être sûr qu’aucun journaliste ne les a vus ensemble…

Il est très très fâché…

L’épisode se termine sur Bartlet qui appelle lui-même les parents des deux étudiant.es américains…

Bartlet : « Mr. and Mrs. Levy, this is Jed Bartlet. I have three children. I really don’t know what to say… »

C’était très bien !

Posted by on Juin 19, 2006 in The West Wing | 4 comments

4 Comments

  1. Le président des E.U. qui appelle lui-même les parents, sans caméra, ni rien, tu crois ça possible dans la vraie vie ?

  2. Oui, je pense. Des fois, nous, à la rédaction, on le sait. Y a pas mal de bruits de couloir. Et parfois dans les dépêches, c’est dit. Que le président a appelé lui-même les familles. Mais bon, dans cette série, ils se montrent tous très choqués par ce qui arrive. Dans l’épisode que j’ai regardé ce matin, C.J. est sous le choc d’apprendre que des indiens attendent depuis quinze ans je ne sais quoi… Je pense que dans la vraie vie, soit on ne serait que moyennement étonné, soit on serait un peu résigné, mais je ne pense pas qu’on se montrerait aussi horrifié et surpris. Maintenant, moi je suis quelqu’un d’un peu blasé. Mais je pense que quand on bosse dans ce milieu, on est un brin moins « candide ». C’est la réflexion que je me suis faite ce matin, en tous cas. Mais bon, le personnage de Bartlet est très sensible à ça. Il se projette énormément en tant que père. Ca ne m’étonne pas qu’il demande à ses conseillers de sortir et qu’il passe ce coup de fil. Après, nos dirigeants à nous, on ne les connaît pas dans l’intimité. C’est donc difficile à dire.

  3. En fait, je ne pensais pas à nos dirigeants à nous. Je pensais à G Bush. Je ne l’imagine pas du tout dans cette situation. Mais ce n’est sans doute qu’une idée préconçue de ma part.

  4. Bush est évidemment le président qu’on sait, mais rien ne nous dit que ce ne soit pas un homme sensible et très attaché à sa famille… Au contraire, même… Je veux dire, il a deux filles… Il peut probablement imaginer ce que c’est que de perdre un enfant… dans le cas présent, deux en même temps. Brrr…

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