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[THE BORGIAS] 106 : The French king

Bon, c’est bien joli de partir baguenauder sur l’île de Beauté, mais le problème, c’est qu’on prend du retard ! Allez hop, je bazarde les Borgia de la semaine dernière et je m’en vais m’occuper un peu du Doctor et des Stark ! Un épisode un peu mi-figue mi-raisin, pour moi. Un peu comme c’est le cas depuis l’arrivée de cette odieuse Ursula Bonadeo. Dieux que c’était relou, cette histoire ! Toute son histoire avec César était au mieux insignifiante, au pire carrément gerbante et si je peux vaguement comprendre quel était l’objectif du truc, je reste vraiment perplexe quant à son exécution. (Si seulement.) Et puis pas crédible pour un sou, quoi. La meuf, elle se tape César Borgia et au pieu, elle fait sa lourdingue genre philosophons et tout ça. Mais purée, boucle-la, morue et profite ! Tu sais pas ce que tu boufferas demain ! Tellement pas, d’ailleurs, que cette abrutie, apprenant que César a malencontreusement occis son époux, décide de prendre le voile en arrosant copieusement son amant de...

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Posted by on Mai 3, 2011 in The Borgias | 13 comments

[THE BORGIAS] 105 : The Borgias in love

Où l’on découvre que les Sforza sont véritablement des êtres de lumière. Tous. Bon, vous l’avez peut-être appris cette semaine, je gage que comme pour « Game of Thrones » c’était déjà plié bien avant la diff’, mais les Borgia auront une deuxième saison. En attendant, la perplexité me gagne. J’aime beaucoup cette histoire, j’aime beaucoup le lieu, j’aime beaucoup l’époque, j’adoooore les trois acteurs principaux qui font un excellent boulot et quelques rôles secondaires sont tout à fait délectables… mais je commence à peiner face à l’écriture. Ca devient un peu soûlant de suivre Della Rovere. Les personnages à qui il rend visite ne le sont pas du tout (soûlants), au contraire, ils sont formidables et lui aussi, mais là, par exemple, dans cet épisode, c’était légèrement chiant de voir César passer derrière lui à Florence et le cardinal Sforza aller embrasser son cousin à Milan. Autant ce qui s’y dit et s’y passe est passionnant (même si à un moment donné, on se passerait bien de voir le Duc...

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Posted by on Avr 25, 2011 in The Borgias | 7 comments

[THE BORGIAS] 104 : Lucrezia’s wedding

Alors ? Comment qu’y vont, nos gentils Borgia, hein ? Toujours occupés à couper les copains en tranches ? Mmmmmoui ! C’est bien, il ne faut pas perdre la main parce que nous avons justement un nouveau candidat dont il serait de bon ton de réduire les ambitions, par exemple en lui coupant la tête avec un couteau de table, mon petit César. Parce que dans le genre pas galant, il se pose un peu là, notre maillon faible du jour !
Or donc, à force on l’aura compris, Lucrèce doit se marier. L’ennui c’est que la chère enfant est quelque peu indisposée par la disparition tragiiiique de son bon ami Djem, emporté comme nous le savons tous par une coquine de fièvre.

Alors ? Comment qu’y vont, nos gentils Borgia, hein ? Toujours occupés à couper les copains en tranches ? Mmmmmoui ! C’est bien, il ne faut pas perdre la main parce que nous avons justement un nouveau candidat dont il serait de bon ton de réduire les ambitions, par exemple en lui coupant la tête avec un couteau de table, mon petit César. Parce que dans le genre pas galant, il se pose un peu là, notre maillon faible du jour ! Or donc, à force on l’aura compris, Lucrèce doit se marier. L’ennui c’est que la chère enfant est quelque peu indisposée par la disparition tragiiiique de son bon ami Djem, emporté comme nous le savons tous par une coquine de...

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Posted by on Avr 19, 2011 in The Borgias | 12 comments

[THE BORGIAS] 103 : The Moor

Bon, en ce qui me concerne, je ne sais pas si c’est parce qu’il me manque une petite fixette maladive en ce moment, mais purée, le petit caribou du nom de François Arnaud qui joue Cesare, il me fait BEAUCOUP d’effet ! Pour une gonzesse qui s’est toujours esclaffée aux larmes devant Richard Chamberlain en soutane, c’est UN PEU la tehon, ma petite dame !
Vous avouerez pour ma défense que ce joli petit monsieur-là respire la frustration et que quelque part, on aimerait bien le soulager de… euh… cette pression. C’est bien simple, chaque fois qu’il s’appuie contre un pilier, j’ai l’impression qu’il va se le faire !
Et puis décidément, son personnage est génial. Chaque scène, chaque conversation avec son père, chaque condamnation à mort, chaque frôlement de sa jeune soeur semble le pousser vers le monstre décrit par tant de bouquins. Cela dit, l’avantage, c’est qu’il passerait presque pour un enfant de choeur à côté des autres qui sont pas piqués des hannetons ! Prenons l’exemple du Prince Alphonse de Naples, puisque nous y faisons un tour grâce au très rafraîchissant voyage de santé du Cardinal della Rovere.

Bon, en ce qui me concerne, je ne sais pas si c’est parce qu’il me manque une petite fixette maladive en ce moment, mais purée, le petit caribou du nom de François Arnaud qui joue Cesare, il me fait BEAUCOUP d’effet ! Pour une gonzesse qui s’est toujours esclaffée aux larmes devant Richard Chamberlain en soutane, c’est UN PEU la tehon, ma petite dame ! Vous avouerez pour ma défense que ce joli petit monsieur-là respire la frustration et que quelque part, on aimerait bien le soulager de… euh… cette pression. C’est bien simple, chaque fois qu’il s’appuie contre un pilier, j’ai l’impression qu’il va se le faire ! Et puis décidément, son personnage est génial. Chaque scène, chaque conversation avec son père, chaque condamnation à mort, chaque frôlement de sa jeune soeur semble le pousser vers le monstre décrit par tant de bouquins. Cela dit, l’avantage, c’est qu’il passerait presque pour un enfant de choeur à côté des autres qui sont pas piqués des hannetons ! Prenons l’exemple du Prince...

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Posted by on Avr 11, 2011 in The Borgias | 13 comments

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