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112 : Kobol’s Last Gleaming (Part 1) *soupiiiir*

Si j’avais encore le moindre doute à propos de ma passion pour BSG, ce double épisode de fin de saison l’a balayé, très largement. Je ne vais pas retartiner sur l’intro de cet épisode. Je l’ai déjà fait sur à peu près tous les forums de la création. C’est une merveille à tous les points de vue. Que ce soit de celui du contenu, avec des personnages qui sont tous sur le point de basculer de manière implacable, ou que ce soit de celui de l’esthétique, qui est parfaite. L’équilibre entre la musique, le visuel et le drame qui se déroule ne pourrait pas être meilleur. C’est une merveille…

Si j’avais encore le moindre doute à propos de ma passion pour BSG, ce double épisode de fin de saison l’a balayé, très largement. Je ne vais pas retartiner sur l’intro de cet épisode. Je l’ai déjà fait sur à peu près tous les forums de la création. C’est une merveille à tous les points de vue. Que ce soit de celui du contenu, avec des personnages qui sont tous sur le point de basculer de manière implacable, ou que ce soit de celui de l’esthétique, qui est parfaite. L’équilibre entre la musique, le visuel et le drame qui se déroule ne pourrait pas être meilleur. C’est une...

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La recette d’un bon podcast

Alors, pour faire un bon podcast, il vous faut :

– Une livre d’épisode de BSG, vu dans la semaine.
– Une livre de commentaire de Ron D. Moore, producteur exécutif de la série, saupoudrée d’un peu de Mrs. Ron, de deux marmots, de quelques chatons, d’une bonne rasade de Sky, d’une dizaine de cigarettes et du ramassage des poubelles.
– Un bon i-pod (qu’on n’aura pas oublié de mettre à jour, c’est mieux).
– Une belle journée de travail, longue, mais pas trop intense.
– Quelques cuillères à soupe de minutes volées par-ci par-là pour s’imprégner des paroles du maître.
– Un gros ordi en état de marche approximatif.
– Un grand café pour se réveiller puis un coca light pour se soutenir.
– Un col roulé pour pouvoir étouffer les ricanements.
– Une goutte d’arsenic pour donner du goût. Si vous n’en avez pas, vous pouvez toujours ajouter une pincée de bave de crapaud en poudre.

Alors, pour faire un bon podcast, il vous faut : – Une livre d’épisode de BSG, vu dans la semaine. – Une livre de commentaire de Ron D. Moore, producteur exécutif de la série, saupoudrée d’un peu de Mrs. Ron, de deux marmots, de quelques chatons, d’une bonne rasade de Sky, d’une dizaine de cigarettes et du ramassage des poubelles. – Un bon i-pod (qu’on n’aura pas oublié de mettre à jour, c’est mieux). – Une belle journée de travail, longue, mais pas trop intense. – Quelques cuillères à soupe de minutes volées par-ci par-là pour s’imprégner des paroles du maître. – Un gros ordi en état de marche approximatif. – Un grand café pour se réveiller puis un coca light pour se soutenir. – Un col roulé pour pouvoir étouffer les ricanements. – Une goutte d’arsenic pour donner du goût. Si vous n’en avez pas, vous pouvez toujours ajouter une pincée de bave de crapaud en...

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Podcast 306 (Torn)

Oh my god ! Cette semaine, Ron est à Cornell, à la fac, dans une classe ! Les connards d’étudiants ! Je les hais ! *secoue le poing en direction du ciel*

Ah oui, pour ça, ça glousse. Bande de jeunes crétins.

Mrs. Ron est également présente…

J’en ai strictement ranapéter de ce que ces morveux mal torchés ont à dire sur Torn, moi ! Je veux Ron ! Je veux Ron (nu), that’s all !

Eh bien, on dirait qu’au début, peu de gens appréciaient cet épisode. Beaucoup le détestaient, même. Apparemment, le scénar était carrément mal écrit…

Oh my god ! Cette semaine, Ron est à Cornell, à la fac, dans une classe ! Les connards d’étudiants ! Je les hais ! *secoue le poing en direction du ciel* Ah oui, pour ça, ça glousse. Bande de jeunes crétins. Mrs. Ron est également présente… J’en ai strictement ranapéter de ce que ces morveux mal torchés ont à dire sur Torn, moi ! Je veux Ron ! Je veux Ron (nu), that’s all ! Eh bien, on dirait qu’au début, peu de gens appréciaient cet épisode. Beaucoup le détestaient, même. Apparemment, le scénar était carrément mal...

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111 : Colonial Day

Les dimanches soir, j’ai souvent envie de prolonger le bonheur BSGien du week-end en me refaisant un vieil épisode. Et comme je n’ai pas encore fini de visionner les épisodes de la saison 1 version DVD, c’est le panard.

Et pour commencer, oh shit, le Cloud Nine me manque.

Ces vues sont magnifiques, surtout la première avec les petits vipers qui longent le superbe vaisseau de luxe…

J’aime beaucoup cet épisode pour un tas de raisons. Pour son visuel différent, celui très particulier du Cloud Nine, avec sa nature reconstituée, son horizon artificiel, ses jardins bien entretenus… Voir nos loustics en « plein air », c’est assez nouveau, et extrêmement rafraîchissant…

Les dimanches soir, j’ai souvent envie de prolonger le bonheur BSGien du week-end en me refaisant un vieil épisode. Et comme je n’ai pas encore fini de visionner les épisodes de la saison 1 version DVD, c’est le panard. Et pour commencer, oh shit, le Cloud Nine me manque. Ces vues sont magnifiques, surtout la première avec les petits vipers qui longent le superbe vaisseau de luxe… J’aime beaucoup cet épisode pour un tas de raisons. Pour son visuel différent, celui très particulier du Cloud Nine, avec sa nature reconstituée, son horizon artificiel, ses jardins bien entretenus… Voir nos loustics en « plein air », c’est assez nouveau, et extrêmement...

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306 : Torn

Elle m’a paru bien longue, cette semaine… Elle A été longue, d’ailleurs. Très longue. Bouh… snirfl… *soupir*

Un peu de beauté et de romantisme pour commencer. Ca faisait longtemps qu’on ne les avait pas vus comme ça, ces deux-là…

Quel contraste avec ce rouge cauchemardesque qui clignote à l’intérieur du basestar et ce piano qui n’est d’ailleurs pas sans rappeler Philip Glass.

Une fois de plus c’est magnifiquement mis en scène et filmé.

Je n’aimerais vraiment pas être à la place de Gaius, sur ce coup-là, entre le marteau et l’enclume. C’est bizarre d’ailleurs que D’Anna soit en blanc et Six en noir… Non ?

Elle m’a paru bien longue, cette semaine… Elle A été longue, d’ailleurs. Très longue. Bouh… snirfl… *soupir* Un peu de beauté et de romantisme pour commencer. Ca faisait longtemps qu’on ne les avait pas vus comme ça, ces deux-là… Quel contraste avec ce rouge cauchemardesque qui clignote à l’intérieur du basestar et ce piano qui n’est d’ailleurs pas sans rappeler Philip Glass. Une fois de plus c’est magnifiquement mis en scène et filmé. Je n’aimerais vraiment pas être à la place de Gaius, sur ce coup-là, entre le marteau et l’enclume. C’est bizarre d’ailleurs que D’Anna soit en blanc et Six en noir…...

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