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Pourquoi, J. Michael Straczynski, mais pourquoi?

À toi, mon lecteur assidu, non je ne t’ai pas oublié. Je sais que tu dépéris depuis 48 heures devant ton écran, l’index tétanisé par trop de pressions successives sur le rongeur. Oui, je suis en retard et je te présente mes plus plates excuses. Mais c’est qu’il s’est passé une chose incroyable, cette semaine.

Je te raconte: le temps a subi des successions incontrôlées de contractions et d’accélérations subites depuis 10 jours. Je te parlerai plus longuement de ce phénomène fascinant de physique quantique dans un prochain hebdo-post, suite à mon récent visionnage des expériences de M. Olivier Dubois sur cette thématique (ne cherche pas, tu comprendras la semaine prochaine).

Suite à ces glissades temporelles récurrentes, le milieu de semaine s’est retrouvé décalé jusqu’à vendredi, soit aujourd’hui. Une élégante démonstration qui te prouve sans aucune ambiguïté que non, en fait je ne suis pas en retard. Cette semaine, le vendredi s’est imposé comme milieu de la semaine. Ce sont des choses qui arrivent, et qui d’ailleurs risquent de se renouveler de temps en temps. Car c’est imprévisible, la physique quantique. CQFD.

À toi, mon lecteur assidu, non je ne t’ai pas oublié. Je sais que tu dépéris depuis 48 heures devant ton écran, l’index tétanisé par trop de pressions successives sur le rongeur. Oui, je suis en retard et je te présente mes plus plates excuses. Mais c’est qu’il s’est passé une chose incroyable, cette semaine. Je te raconte: le temps a subi des successions incontrôlées de contractions et d’accélérations subites depuis 10 jours. Je te parlerai plus longuement de ce phénomène fascinant de physique quantique dans un prochain hebdo-post, suite à mon récent visionnage des expériences de M. Olivier Dubois sur cette thématique (ne cherche pas, tu comprendras la semaine prochaine). Suite à ces glissades temporelles récurrentes, le milieu de semaine s’est retrouvé décalé jusqu’à vendredi, soit aujourd’hui. Une élégante démonstration qui te prouve sans aucune ambiguïté que non, en fait je ne suis pas en retard. Cette semaine, le vendredi s’est imposé comme milieu de la semaine. Ce sont des choses qui arrivent, et qui d’ailleurs risquent de...

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Posted by on Juin 20, 2008 in Choix et reviews du Dark Side | 16 comments

A.P. de la postérité: Babylon 5

Babylon 5 a eu cette excellente idée de nous faire, sur la fin de la série, un petite épisode tout seul inutile, et pourtant tellement significatif du propos de la série. Une question les intéresse : comment une histoire, que l’on connaît pour l’avoir vécue ou y a voir assisté, passe-t-elle l’épreuve du temps?

Babylon 5 a eu cette excellente idée de nous faire, sur la fin de la série, un petite épisode tout seul inutile, et pourtant tellement significatif du propos de la série. Une question les intéresse : comment une histoire, que l’on connaît pour l’avoir vécue ou y a voir assisté, passe-t-elle l’épreuve du temps? Ayant miraculeusement récupéré une connexion internet, je vous fais enfin part de cette petite « review réflective » qui traîne depuis un long moment (j’aime bien donner des noms ronflants à mes articles, en plus ça fait pas du tout j’me la pète), au sujet de l’épisode final de la saison 4 de notre bien-aimée série qui claque tout, j’ai nommé Babylon 5 of course !! Je vous resitue l’épisode: Sheridan et Delenn, accompagnés de leurs fidèles acolytes, ont triomphé des Ombres et sauvé la Terre. On est contents, tout va bien, c’est la fête. You-hou… Cet épisode va nous narrer comment va évoluer l’appréciation et la compréhension de ce moment au cours du temps, en...

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A.P. de la disparition: Babylon 5

La magie de Babylon 5 : nous donner des épisodes juste pour prendre le temps de penser.

La magie de Babylon 5 : nous donner des épisodes juste pour prendre le temps de penser. On continue dans les vieilleries, mais cette fois-ci avec un épisode de clôture. (Vous n’échapperez pas pour autant à des épisodes plus anciens, désolée. En fait pas tant que ça!!). Cet épisode, qui peut sembler inutile à certains à cause de son absence de narration et de sa déconnexion d’avec toute intrigue interne à la série, est pourtant capital si l’on veut appréhender le propos sous-jacent aux cinq saisons de B5 (prononcez bifaiv’; c’te classe…). Si l’épisode précédent était centré sur la transmission, le passage, la poursuite de l’? »uvre après le départ des protagonistes initiaux, celui-ci au contraire nous prépare à la disparition de ce qui fut. Bien évidemment, la disparition qui sert de fil rouge à l’épisode, c’est la mort programmée de Sheridan depuis la saison 4. Lorien: And then, one day, he will simply…. stop C’est l’occasion de confronter les personnages principaux à leur façon de gérer la mort imminente...

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Semaine du trac

(Oui bon je sais je suis en retard mais c’est pas comme si c’était pas la folie au boulot… et c’est pas non plus comme si vous aviez attendu ça toute la semaine, hein!)

Brrrr la semaine du trac, pas ma préférée….. du tout du tout du tout.

(Oui bon je sais je suis en retard mais c’est pas comme si c’était pas la folie au boulot… et c’est pas non plus comme si vous aviez attendu ça toute la semaine, hein!) Brrrr la semaine du trac, pas ma préférée….. du tout du tout du tout. ça commence en général de la manière suivante, et la semaine écoulée n’a évidemment pas fait exception à cette règle implacable: Ce grand moment de solitude absolue où l’on se sent humilié par sa simple présence sur scène. La première note n’a pas retenti et déjà on se demande pourquoi on est là. On nous verrait la culotte, on sentirait pas pire. Il n’y a guère qu’avoir en plus la non-coiffure de Kate le ragondin (cf Lost) qui arriverait à empirer la situation. Et puis bon ça démarre. Le menton tremblant, la lèvre humide et le regard apeuré, il faut bien suivre le piano. A croire que les gens ne voient pas l’appel au secours vibrant dans notre voix hésitante et...

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Posted by on Mai 7, 2008 in Les folies du Dark Side | 3 comments

A.P. de la caricature: My Name Is Earl

Oyez, oyez, voici de quoi vous repérer dans mon espace hebdomadaire. Sous l’acronyme « A.P. », se cache le thème abordé dans la semaine. Ici et aujourd’hui, ce sera donc A Propos de la caricature. Vous donc, qui ne cliquez compulsivement sur le bandeau du blog que dans l’espoir angoissé de voir apparaître la dernière review du dernier BSG tout droit sorti du four, vous pourrez ignorer tout ce qui commence par Semaine de, A.P. de, Le monde selon, ou encore Pourquoi, …? (et d’autres encore à venir, j’essaye de laisser quelques surprises à mon très probable seul et unique lecteur). De même, si tout ce qui a plus de 3 mois n’est plus de la télé pour vous, passez votre chemin, ici on déterre des vieilleries, parce que les vieux trucs, c’est cool. Nous commencerons donc par illustrer notre propos (vous avez vu, pluriel de majesté, je m’éclate) sur la caricature grâce à My Name is Earl, et attention le pilote s’il vous plaît (oui je sais il a deux...

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