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Le Pot-Pourri très pourri #1

Le Pot-Pourri très pourri #1

Ah ben parfait, je ne suis pas du tout en retard sur mon planning ! Voici le billet que je devais publier vendredi, tout va bien !
Enfin, c’est pas grave.

Ce qu’il y a de bien, avec cette mutation de chaudron, c’est que je ne me sens plus obligée de faire court, ah ah !

Ça vous dit un petit plongeon purulent dans le pot-pourri de la semaine ?
Eh bien c’est parti !

 

 

Ah ben parfait, je ne suis pas du tout en retard sur mon planning ! Voici le billet que je devais publier vendredi, tout va bien ! Enfin, c’est pas grave. Ce qu’il y a de bien, avec cette mutation de chaudron, c’est que je ne me sens plus obligée de faire court, ah ah ! Ça vous dit un petit plongeon purulent dans le pot-pourri de la semaine ? Eh bien c’est parti !     – Sinon, ça va les Potterheads ? Cette semaine, direction Poudlard ! Je suis tombée sur deux articles qui se sont amusés à jouer les Choixpeaux et à envoyer des célébrités dans leurs maisons. Il est de notoriété publique que le Dark Side et moi-même sommes de bonnes Serpentardes et fières de l’être. J’ai même un fanion Serpentard au-dessus de mon bureau pour me rappeler d’être la plus mauvaise possible, oui madame ! Alors voilà ceux qui nous rejoignent, entre autres, dans cette illustre maison : Harrison Ford, George Lucas, Johnny Depp (direct de corvée...

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Posted by on Sep 18, 2016 in Fourre-tout | 11 comments

Dans les salles obscures (ou pas) #1

Greetings, tout le monde !
Ah, c’est sympa de (re)parler un peu de cinéma, n’est-il pas ?
Bon, cette semaine j’ai beaucoup de choses à raconter… ce qui ne sera peut-être pas toujours le cas.

Au menu de cette première édition : du mutant, des oreilles pointues et cerise sur le gâteau, un peu d’ectoplasme, aussi !

Je vous dis tout, mais d’abord… ben cliquez !

 

 

Greetings, tout le monde ! Ah, c’est sympa de (re)parler un peu de cinéma, n’est-il pas ? Bon, cette semaine j’ai beaucoup de choses à raconter… ce qui ne sera peut-être pas toujours le cas. Au menu de cette première édition : du mutant, des oreilles pointues et cerise sur le gâteau, un peu d’ectoplasme, aussi ! Je vous dis tout, mais d’abord… ben cliquez !     – Bien pratique, il y a deux mois et demi, j’avais commencé une WitchWeek dans laquelle je parlais d’un film vu avec les Dark : X-Men Apocalypse. Hop, un petit copier-coller et la moitié du boulot est fait ! Eh bien écoutez, je pense que nous avions touché le fond avec Days of Future Past et qu’il était impossible de faire pire (à moins bien sûr d’engager des acteurs de merde). Du coup, cet opus est un peu moins pourri, tout en étant quand même un peu pénible avec son méchant très très méchant qui fait des choses complètement incohérentes, genre...

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Posted by on Sep 15, 2016 in DVD, cinéma, et autres... | 7 comments

Witchweek (semaine 36)

Witchweek (semaine 36)

Bonjour mes petites biches ! Comment ça va chez vous ? Bon, ici ça va à peu près, donc je me suis dit que j’allais reblouguer un peu. Wouhouh !

À vrai dire, une bonne partie de cette Witchweek a été écrite il y a deux mois et demi, mais bon, je n’allais pas jeter ça aux orties, pas vrai ?
Alors désolée si certaines news sont un peu vieilles, c’est pas si grave, n’est-ce pas ? C’est que j’ai eu un été chargé, voyez-vous. (Et pas chargé QUE de vacances, nope.)

Puisque c’est la rentrée, je vous dois une confession. Un secret me pèse : je n’ai toujours pas vu la fin de la saison 6 de The Walking Dead. Oh pas parce que j’ai peur de qui va mourir, mais plutôt parce que j’ai peur de CELUI qui va le ou la buter !
Franchement, avoir casté Jeffrey Dean Morgan pour jouer Negan, c’est proprement DÉGUEULASSE. ???

Negan

Je peux pas. Je peux juste pas. Bouhouhouh. ? (Et pourtant je sais qu’il va être formidable et qu’il faut bien en passer par là, ouip.)

Allez, pour en savoir plus sur les séries que j’arrive à regarder, elles, je vous donne rendez-vous on the other side…

 

Bonjour mes petites biches ! Comment ça va chez vous ? Bon, ici ça va à peu près, donc je me suis dit que j’allais reblouguer un peu. Wouhouh ! À vrai dire, une bonne partie de cette Witchweek a été écrite il y a deux mois et demi, mais bon, je n’allais pas jeter ça aux orties, pas vrai ? Alors désolée si certaines news sont un peu vieilles, c’est pas si grave, n’est-ce pas ? C’est que j’ai eu un été chargé, voyez-vous. (Et pas chargé QUE de vacances, nope.) Puisque c’est la rentrée, je vous dois une confession. Un secret me pèse : je n’ai toujours pas vu la fin de la saison 6 de The Walking Dead. Oh pas parce que j’ai peur de qui va mourir, mais plutôt parce que j’ai peur de CELUI qui va le ou la buter ! Franchement, avoir casté Jeffrey Dean Morgan pour jouer Negan, c’est proprement DÉGUEULASSE. ??? Je peux pas. Je peux juste pas. Bouhouhouh. ? (Et pourtant je sais...

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Posted by on Sep 11, 2016 in WitchWeek | 13 comments

Happy Birthday Star Trek et « Téléportation 2161 »

C’est fou, c’est dingue, on n’y croit pas et pourtant, c’est bien vrai : Star Trek fête ses cinquante ans aujourd’hui. Je me pince pour y croire !

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Alors je pourrais vous citer des tas d’articles de journaux sur les anecdotes méconnues et autres petites histoires croustillantes qui font la grande histoire de Star Trek, mais j’ai finalement décidé de vous parler d’une série documentaire disponible sur le site d’Arte : « Téléportation 2161 ».

C’est fou, c’est dingue, on n’y croit pas et pourtant, c’est bien vrai : Star Trek fête ses cinquante ans aujourd’hui. Je me pince pour y croire ! Alors je pourrais vous citer des tas d’articles de journaux sur les anecdotes méconnues et autres petites histoires croustillantes qui font la grande histoire de Star Trek, mais j’ai finalement décidé de vous parler d’une série documentaire disponible sur le site d’Arte : « Téléportation 2161 ». Je ne vous raconte pas d’âneries, cela fait quelques années que ma chaîne s’intéresse à Star Trek. Le visage de Spock en couverture d’Arte Magazine (titré : « Il va y avoir du Spock ») m’avait quasiment fait tomber de ma chaise et je l’ai même fait encadrer ! Aujourd’hui, on y trouve un blog dédié à Star Trek et la chaîne a même diffusé un cycle Star Trek. Bonheur, joie et oreilles pointues ! Bref, cette websérie signée Arte Creative vous raconte la saga, ses différents aspects, tenants et aboutissants, et ce qu’elle a changé dans le...

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Posted by on Sep 8, 2016 in Star Trek | 2 comments

Poldark, saison 1 (owi, owi !)

Poldark, saison 1 (owi, owi !)

Donc bonjour.

Ah, aujourd’hui, pour changer, je vais remercier Netflix, sans qui je ne serais pas là. (Enfin si, mais bon.)

Donc Netflix a eu la brillantissime idée, en juillet, d’ajouter la série Poldark à son catalogue. Ça faisait un petit moment que j’entendais les gensses (et surtout les gensses féminines) vanter les mérites de cette fiction de 8 épisodes estampillée BBC, soit le sceau de l’excellence.

Alors, pourquoi donc ai-je attendu si longtemps avant de regarder cette série-là ? Eh bien, très honnêtement parce que j’avais peur que ce soit un peu cucul la praloche. (Dit celle qui pourrait liquéfier les bouquins de Jane Austen  pour se les passer en intraveineuse.) Et aussi parce que j’avais peur de virer un peu trop gniiiiiikilébokilémignonkiléchou devant Aidan Turner. Pas trop ma came à la base, mais j’avais senti le gros potentiel dans Being Human et encore plus dans le Hobbit où il était quasiment impossible de résister à la bestiole même en essayant très très fort. C’est pourtant pas faute d’avoir eu Richard Armitage pour lui faire de l’ombre d’un côté et Evangeline Lilly ??? pour le plomber de l’autre.

(Eh oui, dix ans plus tard, je ne peux toujours pas la blairer, c’est magique.)

Bon, eh bien là, raté. J’ai tenu cinq minutes avant de faire hihihi et uhuhuh : Aidan Turner est absurdement adorable. ???

Poldark_Saison1_6

Même avec un tricorne sur la tête, ce qui n’est pas donné à tout le monde, je vous ferais dire.

En plus, il se trouve que j’entretiens un amour absolument désespéré pour les Cornouailles (pas LA Cornouaille bretonne, hein, LES Cornouailles) et que si j’osais conduire mon balai à gauche comme ces béotiens de Britonnie, j’y passerai probablement toutes mes villégiatures.
Mais comme j’en suis infoutue, je me contente de pleurer dans mon coin et d’aller en Corse, d’où je vous écris présentement.
Ça va, je vous rassure. J’en chie mais je m’accroche.

Eh ben là, Poldark, ça se passe en Cornouailles. Donc il y a toujours quelque chose à admirer, que ce soit les paysages, Aidan Turner et bien d’autres.

Trêve de palabres.
D’abord ça parle de quoi, c’te série ? Eh bien c’est l’adaptation d’une série de romans (que dis-je, un monument de la littérature anglaise) qui se passe au dix-huitième siècle, ce qui est bien sympathique car nous sommes à quelques décennies de la révolution industrielle et cela se sent.

C’est l’histoire de Popol, enfin, Ross Poldark (vu qu’ils s’appellent tous Poldark, mieux vaut utiliser leurs petits noms).
Ce brave jeune homme est en réalité un capitaine qui revient d’Amérique où il a été blessé au cours de la guerre d’Indépendance. Mais genre bien bien blessé, quoi, pas une pauvre pichenette et oh il est tombé.

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Blessé avec du sang et tout.

Il arbore donc une impressionnante cicatrice sur le visage. Seulement depuis Geoffrey de Peyrac, on sait tous que ça ne le rendra que plus canon.

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Je confirme.

Mais du coup, il tire grave la tronche, le gars. Et il va la tirer pendant un grand moment, je dirais à peu près la moitié de la première saison où les sourires seront aussi rares que dents de poule. Un vrai festival de bouderie, entre les bouclettes et le regard qui tue, on croirait le cousin de Jon Snow.
Mmmmh, aurais-je un problème avec les bruns révoltés ? Apparemment. Sur moi, le côté écorché de la vie de Ross Poldark a fait son petit effet, en tout cas.

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« Je m’appelle Ross Poldark et j’vous pisse tous à la raie. »

Du coup, après cinq minutes (j’ai calculé), j’adore déjà le gars, je le plains, je veux recueillir l’oiseau blessé, le soigner, lui bourrer les joues de Smarties.
Après six minutes, il débarque chez son oncle et esquisse un vague sourire face à la famille réunie. Je suis amoureuse.
À huit minutes, il découvre que son cousin épouse son ancienne flamme et ses yeux lancent des éclairs. Je me meurs.

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Car Popol, fait donc irruption chez son oncle, le frère aîné de son père fraîchement canné, et je vous dis pas la grosse ambiance au repas, tout le monde l’ayant cru occis depuis perpète. Ce qui est un peu gênant. C’est qu’on attendrait quelque effusion, tout de même.

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Voilà, voilà, tout le monde est si content ! Surtout la fiancé du cousin, donc, qui voit débarquer son ancien mec et bon, comment dire…

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C’est pas qu’il est vilain, le cousin, mais c’est sûr qu’à choisir, l’énervé aux sourcils froncés et à la bouclette rebelle est tout de même vachement plus excitant !

Là-dessus, Popol reprend possession de sa propriété (et de ses dettes) et on peut bien le dire, son vieux a fait du beau boulot.

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Il lui reste un pauvre corps de ferme tout pourrave, une terre ingrate, une mine moribonde et un couple de serviteurs voleurs, paresseux et avinés qui passent leur temps à dire des méchancetés entre leurs dents pourries.

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Comme on dit : un p’tit pour la route !

Après avoir un peu couiné pour la forme…

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… Ross va prendre son courage à deux mains, retirer sa chemise (hihi), faire des bras d’honneur à tout le monde et tenter de ramener son domaine à la vie pour donner du boulot à ses métayers et ne pas se retrouver à la rue comme un va-nu-pied.

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(Fan service ? Non, je ne vois pas de quoi vous voulez parler.)

C’est l’histoire d’un type courageux mais tourmenté, qui fait fi des conventions, s’élève contre le système (déjà) des banquiers et des négociants, mouille sa chemise avec ses vassaux (enfin, quand il en porte une), tente d’oublier son ancien amour sur fond de paysages épiques, mais tombe parfois dans la connerie par volonté de trop bien faire et parce qu’il est un brin soupe-au-lait.
Et puis il se passe un truc.

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Une gamine crasseuse flanquée d’un cabot mangé aux mites qu’il ramasse au village parce qu’il a bon cœur malgré son air pas commode, et dont il fait sa servante. 
C’est là que j’ai été définitivement charmée. Plus encore que par Aidan Turner, je crois.

Pour résumer : vous voulez de la romance improbable ? Du bourgeois venimeux ? Du mineur huilé et de la rousse piquante ? Bah cliquez, nom de Zeus, vous allez être servis ! ?

 

 

Donc bonjour. Ah, aujourd’hui, pour changer, je vais remercier Netflix, sans qui je ne serais pas là. (Enfin si, mais bon.) Donc Netflix a eu la brillantissime idée, en juillet, d’ajouter la série Poldark à son catalogue. Ça faisait un petit moment que j’entendais les gensses (et surtout les gensses féminines) vanter les mérites de cette fiction de 8 épisodes estampillée BBC, soit le sceau de l’excellence. Alors, pourquoi donc ai-je attendu si longtemps avant de regarder cette série-là ? Eh bien, très honnêtement parce que j’avais peur que ce soit un peu cucul la praloche. (Dit celle qui pourrait liquéfier les bouquins de Jane Austen  pour se les passer en intraveineuse.) Et aussi parce que j’avais peur de virer un peu trop gniiiiiikilébokilémignonkiléchou devant Aidan Turner. Pas trop ma came à la base, mais j’avais senti le gros potentiel dans Being Human et encore plus dans le Hobbit où il était quasiment impossible de résister à la bestiole même en essayant très très fort. C’est pourtant pas faute...

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Posted by on Sep 7, 2016 in Fourre-tout | 9 comments

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