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[Law & Order UK]101 : Care

Eh ben ouais, c’est la saint Jamie Bamber (vous saviez pas ?), et je peux vous dire qu’il n’y avait probablement que lui sur Terre pour être capable de me faire regarder un truc qui s’intitule Law & Order. Non passque franchement, rien que le titre me fait frémir d’horreur et dans une situation normale (c’est-à-dire sans Jamie Bamber), aucun doute : je n’aurais pas survécu plus d’une minute trente. Qu’est-ce que c’est sec, ces machins-là !
Ptain, les transitions au couteau de boucher, les gars qu’ont pas le temps de finir leur phrase que PAF ! Fondu enchaîné minimal et on enchaîne ! On change de coupable toutes les dix secondes entre deux regards atterrés des personnages, bref… non, vraiment pas ma came.
Mais bon. Les petits Français se mettent bien à apprendre l’allemand à cause de Tokio Hotel, La Sorcière peut bien se mettre à Law & Order à cause de Jamie Bamber.

Eh ben ouais, c’est la saint Jamie Bamber (vous saviez pas ?), et je peux vous dire qu’il n’y avait probablement que lui sur Terre pour être capable de me faire regarder un truc qui s’intitule Law & Order. Non passque franchement, rien que le titre me fait frémir d’horreur et dans une situation normale (c’est-à-dire sans Jamie Bamber), aucun doute : je n’aurais pas survécu plus d’une minute trente. Qu’est-ce que c’est sec, ces machins-là ! Ptain, les transitions au couteau de boucher, les gars qu’ont pas le temps de finir leur phrase que PAF ! Fondu enchaîné minimal et on enchaîne ! On change de coupable toutes les dix secondes entre deux regards atterrés des personnages, bref… non, vraiment pas ma came. Mais bon. Les petits Français se mettent bien à apprendre l’allemand à cause de Tokio Hotel, La Sorcière peut bien se mettre à Law & Order à cause de Jamie...

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Posted by on Mar 4, 2009 in Fourre-tout | 9 comments

[Californication] 103 : The whore of Babylon

Hank : Once upon a time, I wrote a book. People seemed to dig it, so I wrote another and one after that. That’s when Hollywood came knocking at my back door. As soon as I cashed that check, I wrapped my lips around the mighty erection that is the film industry and sucked hard, just like a good whore should. Unfortunately, I had to be taught not to orphan the balls.
Todd : Moody !
Hank : Ladies and gentlemen, Todd Carr, the caramel-coated, chrome-domed auteur who took my precious little novel, wiped his ass, and transformed it into the craptastic crowd-pleaser also known as Crazy Little Thing Called Love.

Hank : Once upon a time, I wrote a book. People seemed to dig it, so I wrote another and one after that. That’s when Hollywood came knocking at my back door. As soon as I cashed that check, I wrapped my lips around the mighty erection that is the film industry and sucked hard, just like a good whore should. Unfortunately, I had to be taught not to orphan the balls. Todd : Moody ! Hank : Ladies and gentlemen, Todd Carr, the caramel-coated, chrome-domed auteur who took my precious little novel, wiped his ass, and transformed it into the craptastic crowd-pleaser also known as Crazy Little Thing Called...

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Posted by on Fév 5, 2009 in Fourre-tout | 8 comments

[Californication]102 : Hell-A woman

Bon, ben, une fois de plus, j’échoue à vous produire une review de House ou du Docteur. Pas la grande forme, ces temps-ci, dites donc.

Donc voilà. Après un premier épisode qui pose les bases de la série, on va rentrer tout de suite dans la mise en situation. Et là, il est fort, le Moody. Parce que pour moi, cet épisode, c’est surtout UNE scène. Celle-ci.

Increvable. Mon premier gros fou rire devant cette série. Ces deux grands adolescents qui se fument un pèt’ tranquille dans la chambre de leurs hôtes avant de décider de niquer, et puis qui, au moment de se faire choper, dégueulent de concert, c’est fabuleux !

Bon, ben, une fois de plus, j’échoue à vous produire une review de House ou du Docteur. Pas la grande forme, ces temps-ci, dites donc. Donc voilà. Après un premier épisode qui pose les bases de la série, on va rentrer tout de suite dans la mise en situation. Et là, il est fort, le Moody. Parce que pour moi, cet épisode, c’est surtout UNE scène. Celle-ci. Increvable. Mon premier gros fou rire devant cette série. Ces deux grands adolescents qui se fument un pèt’ tranquille dans la chambre de leurs hôtes avant de décider de niquer, et puis qui, au moment de se faire choper, dégueulent de concert, c’est...

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Posted by on Déc 31, 2008 in Fourre-tout | 7 comments

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