Ces scènes magiques qui font FNL (2)
Coach Taylor est formidable. Regardez-le qui tente d’épargner Mrs Coach le plus longtemps possible. Avant de devoir lui asséner la terrible vérité.
Alors non. Malgré la tête de déterré que tire Coach Taylor, sa fille Julie n’est pas atteinte d’une leucémie ou tout autre truc abominable. Et lorsque Tami Taylor se relève d’un bond avec l’expression que voici :
Ce n’est pas non plus parce qu’elle a appris que leur chère enfant a un troisième bras vert qui lui pousse entre les omoplates.
Et si Coach Taylor a toutes les peines à regarder sa chère épouse dans les yeux, et même à parler de cette ignominie…
Ce n’est pas non plus parce qu’il vient de lui avouer qu’il attendait le petit troisième.
Ce qui pourrait expliquer la tête de Mrs Coach, notez.
Non, ce qui provoque une telle gêne, la raison pour laquelle le pauvre Coach Taylor semble avoir avalé sa casquette et la moitié de l’équipe des Dillon Panthers avec, c’est que…
Oui, il a bien surpris leur fille Julie au lit avec Matt Saracen. (Oh l’air égaré de Mrs Coach !!)
Cette série est hilarante. Mais comme on les aime d’être aussi écrasés par cette révélation ! Leur bébé, leur petite fille chérie, la prunelle de leurs œils ! Argh !!!
Et un peu plus tard, lorsque Matt vient chercher Julie pour un ciné (mais juste un ciné, attention, hein, il tient à préciser, hi hi hi) et que Mrs Coach lui dit « Oh tiens, Matt. Coach est dans le jardin, si tu allais attendre Julie là-bas ? », on sent un grand moment de flottement. Voire de pure terreur.
Genre : « Euh. Est-ce vraiment obligé ? »
Oui.
Limite si Coach Taylor ne lui beugle pas : « C’EST MA FILLE, JEUNE CON ! »
Limite. (Merci bien la conversation avec beau-papa, quoi. Ça doit faire plaiz’.)
La scène entre Tami et Julie est hyper mignonne, aussi. Connie Britton est tellement merveilleuse. Et cette petite qui se met à pleurer en voyant sa mère avec les larmes aux yeux et qui ne comprend même pas pourquoi. Aw. C’est tellement vrai.
Mais Coach, ah, Coach. Cette réaction de Papa Ours blessé que personne ne peut comprendre.
D’ailleurs le pauvre Coach ne s’en remettra pas. Au point qu’il faudra le virer du terrain lors du match contre Arnett Mead. Première fois que les Panthers gagnent contre eux et Eric Taylor n’est même pas là.
Bref, faites des gosses.
Hannn Matt Saraceeen! <3 <3 <3
Je les adore. Merci Sorcière de me faire revivre un peu cette série que j'aimais tant!
Il y a aussi le mythique « They had a blanket » durant la saison 1. Le moment de solitude du Coach quand il réalise que même Mrs Coach trouve qu’il a un peu fait l’idiot. Priceless.