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[GOSSIP GIRL] Saisons 1 à… euh… 4 ?

Chers amis, sachez que ces derniers temps, prise d’une nouvelle crise de haine universelle à l’égard de l’espèce humaine à l’exception du Dark Side qui n’est de toute façon pas très humaine, et de quelques rares et bienheureux individus, je ne regarde que de la merde, et j’en suis fort aise.

Vous savez ? C’est comme ces chiens très classieux, qui se la pètent à mort et vous toisent en permanence genre je suis aristo de l’espèce canine et je vous conchie, pauvres larves, qui prennent une pose glam’ à peine vous sortez votre iPhone (non, je ne parle pas DU TOUT du Battlestar, là) et qui dès que vous les lâchez dans la nature se dépêchent de chercher la crotte la plus fraîche et la plus odorante pour aller se rouler dedans.

Eh ben moi, c’est tout pareil ! J’adore les grandes et belles séries portées par un souffle épique et des acteurs de premier rang. Je pourrais me rouler dans du True Detective ? Mais non ! Je me roule dans du Gossip Girl.

Entendons-nous bien. Je ne regarde QUE pour Manhattan. Et les pompes. Et les fringues. Et les sacs à main.
Et aussi parce que c’est sur Netflix et qu’il y a toutes les saisons. (Oui, j’aime bien Netflix, sachez-le. Surtout depuis qu’Abominadopi m’a dans le collimateur.)

Encore une fois, je pourrais regarder Breaking Bad dont toutes les saisons se trouvent AUSSI sur Netflix, mais non ! 😀
Écoutez, franchement, je vais vous dire : en l’état actuel des choses, il vaut bien mieux que je  me moque de Gossip Girl en me faisant les ongles. Pour le reste, j’ai juste pas le temps, pas l’énergie… s’il me restait une once de temps et d’énergie, vous savez bien que je bloguerais ! Quand je pense que le Père Noël m’a apporté l’intégrale de Spartacus…

Enfin ça va. C’est pas comme si je regardais… je sais pas, moi… Under the Dome, par exemple.

Ah, au temps pour moi, j’ai regardé !

Alors, mais dites donc, c’est quoi le pitch de Gossip Girl ? Ah, je suis contente que vous me posiez cette question ! Ben c’est très simple, vous allez voir : y en pas ! Enfin si, mais c’est toujours la même chose.

D’abord, il y a Blake Lively.

C’est grand, c’est blond, ça ne se peigne pas toujours mais comme ça a des jambes de déesse, ça n’a pas trop besoin. Et à partir de la saison deux, ça a aussi une paire de boobs complètement impossible (ça a dû pousser d’un coup, j’imagine), donc encore moins de raison de se peigner !

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Se coiffer, c’est totalement surfait !

Blake Lively joue le rôle de Serena Van-der-Pète-dans-la-Soie, une lycéenne/pétasse de premier rang à Manhattan. Et la voilà qui fait son grand retour dans la Grosse Pomme après un an d’absence injustifiée, sans mot du médecin ni rien. Mais attendez, ne la jugez pas trop vite ! Serena a changé. Elle ne veut plus être une pétasse, se droguer et enchaîner les partouzes à seize ans. Maintenant, Serena est cool. Elle a brûlé son serre-tête, porte des vestes en cuir (et ne se coiffe plus, donc), et puis elle a décidé d’être gentille. Ce qui ne l’empêche pas de se foutre dans des situations abracadabrantes et d’être quand même un peu une connasse de temps en temps. Mais sachez que ce n’est JAMAIS sa faute.

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Bon, d’accord. Serena veut bien quand même se friter avec sa « meilleure amie » Blair Waldorf. Mais c’est une question de survie, vous comprenez ??

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Il faut tout de même savoir que Serena a un énorme défaut. Elle tombe amoureuse à chaque coin de rue. Et je peux vous dire qu’à New York, ce ne sont pas les coins de rue qui manquent ! Ca tombe bien car figurez-vous qu’apparemment, tout le monde veut se faire Serena. Je pense que toute la gente masculine de l’Etat de New York (et peut-être du New Jersey) n’attend qu’une chose : que Serena Van-der-Pète-dans-la-Soie lui tombe dans les bras.
Et à chaque fois, c’est épique, c’est fabuleux, c’est formidable. Mais attention : il faut beaucoup, beaucoup, beaucoup parler de ce qu’on ressent et surtout, surtout, surtout… ne pas précipiter les choses, se vexer à tout bout de champ et aimer remettre le couvert. C’est qu’on a six saisons à tenir, tout de même !

Oui, je n’aime pas beaucoup Serena. Serena, devient très vite répétitive. Elle est charmante dans la première partie de la saison 1, puis tourne en rond. (Je veux dire, à un moment donné même le Battlestar a compris que sa queue, c’était… ben sa queue, quoi.)
En sus, Blake Lively a à peu près deux expressions, dont celle que vous voyez plus haut. Et une voix particulièrement traînante et agaçante. Serena : articule quand tu pètes ! Dans la soie.

Mais je dois lui reconnaître quelques qualités. Sa plastique est particulièrement divertissante et je passe de très bons moments à essayer de comprendre comment telle robe parvient à tenir, comment elle peut bien faire pour ne pas flasher sa culotte à tout bout de champ, et comment ses nibards ne jaillissent pas spontanément de son décolleté. C’est captivant ! Outre cela, il faut bien l’admettre : Serena est une fille lumineuse, toujours contente de tout et de tout le monde, pas rancunière pour un sou et j’adore son optimisme, c’est très rafraîchissant ! D’ailleurs, elle a tout intérêt à sourire, ça lui va très bien.

Bref, pour en revenir au pitch : le retour de Serena fait jaser… en particulier une chroniqueuse anonyme qui tient un blog de ragots particulièrement gratinés : GOSSIP GIRL.

Et la voix de Gossip Girl, c’est… Kristen Bell ! Qui nous distille les pires vilenies d’un ton enjoué et satisfait de soi, avec une petite voix sucrée teintée d’un venin extraordinaire… enfin, ce n’est pas la peine que je vous explique, vous êtes des gens bien, vous avez donc tous au moins vu la saison 1 de Veronica Mars. N’EST-CE PAS ???

Bon.

La suite, c’est après. Clicky-click !

Après Serena, dieux merci, nous avons toute une panoplie de personnages qui globalement ne servent à rien à par se mettre les pires taquets dans les gencives avant de tomber dans les bras les uns des autres (à tour de rôle) en se jurant amour/amitié/fidélité devant le grand dieu Louboutin. Qui fournit toutes les savates de la série, si vous croyez que ce genre de détail m’échappe, vous vous trompez.

(Limite on serait déçus que ce ne soit pas le cas. C’est pas comme Vitaminwater dont je doute qu’ils se fassent des gargarismes avec à longueur de journée !)

D’abord, nous avons l’Imposteur. Il s’appelle Dan Humphrey, et il est le fils d’un type qui vit à Brooklyn. Mais attention, nous allons éviter les clichés, hein ? Il ne faudrait pas que ces gens habitent dans un immense loft quasiment sous le pont de Brooklyn avec une vue majestueuse sur la skyline newyorkaise, qu’ils se plaignent d’avoir du mal à boucler leurs fins de mois (j’en doute très très fort), que le père soit un ex-chanteur des années 80 et qu’il bosse vaguement dans l’art, bref, que ces gens soient des gros bobos non-assumés qui louchent avec une envie très mal dissimulée vers l’autre côté de l’East River, tout en jurant leurs grands dieux qu’ils méprisent les gros bourges de l’Upper East Side. Surtout pas !

Comment ?
Quoi ?
C’est le cas ?
Ah.

Bref, histoire d’être tout de suite vachement cohérent, Dan Humphrey fait sa rentrée dans une super école privée pour Gocederiche, avec l’uniforme, la cravate et tout. Mais attention, c’est juste pour s’assurer un bel avenir, hein ? Il ne veut RIEN avoir à faire avec tous ces petits jocrisses de l’Upper East Side. Fi donc !
Alors histoire d’être encore plus cohérent, ben il en pince depuis des années pour Serena Van-der-Pète-dans-la-Soie. (Heureusement, Serena a chan-gé, souvenez-vous.)
Ce que j’adore avec notre Imposteur, c’est qu’au fil des saisons, il cache de plus en plus mal son jeu. Au début, il refuse les cadals chérots de sa copine, il est mal à l’aise dans les événements mondains, et puis petit-à-petit, il se passe des trucs et notre Imposteur – qui, soyons clairs, s’est inscrit dans cette école dans l’espoir de devenir un jour comme ceux qu’il honnit – semble tout à fait content de se mettre à porter des polos Ralph Lauren, à troquer les mugs ébréchés pour la porcelaine et à faire la bise aux simili Paris Hilton. Précisons que j’écris ce petit couplet bien avant d’avoir vu la saison 5, d’accord ? (Laquelle me donnera raison, c’est fou, ça.)

Par contre, bien évidemment, l’Imposteur n’oublie jamais de faire la morale à tout le monde, hein, parce qu’étant donné son origine plouc, il vaut quand même vachement mieux que les autres.
Le seul avantage que je lui trouve, c’est qu’il a de beaux cheveux (enfin, jusqu’à la saison 4), une jolie mâchoire, et qu’il a l’air hyper convaincant quand il embrasse les drôlesses. Du coup, quand un épisode se termine et qu’il n’a embrassé personne, je suis généralement déçue.
Sinon, franchement… il parle très vite en bougeant à peine les lèvres, et surtout, sans être repoussant, il a un regard hyper bizarre, ce qui explique l’absence de captures d’écran de lui.

Après, ça me fait mal au cucul de l’avouer, mais à part les deux personnages féminins principaux, je ne le trouve intéressant (enfin, tout est relatif) avec personne. C’est peut-être parce que de base, il est quand même pas très crédible.

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A côté, nous avons la Connasse-avec-un-grand-C, alias ma petite préférée, Blair Waldorf. Qui est donc une Astor. (Le Waldorf-Astoria, ça ne vous dit rien ? Allons, allons, il faut retourner à New York pour réviser, mes mignons.)
Alors elle, elle est MERVEILLEUSE, je l’adore, hi hi hi.

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D’abord, je la trouve incroyablement choupinette. Pas fabuleusement belle, mais authentique. Et avec sa beauté classique, elle est hyper crédible dans son rôle et surtout dans ses sapes. Tout lui va, même le serre-tête jaune. Attention, je ne le recommande pas à tout le monde !

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Mazette, Dorota a dû joliment se faire chier pour repasser son col !

Et sur cette adorable frimousse de poupée de porcelaine, son côté méchante gale ressort encore mieux.

Car nous avons à faire là à de la punaise de compète. Blair, c’est la reine du lycée, qui dirige à la baguette un monde de brebis semi-débiles, de lèche-culs, de martyrs qui tendent le bâton pour se faire battre, et d’amoureux transis, et qui, quand elle se mange un râtal ou un quelconque refus, ne comprend pas comment c’est possible, si ce n’est que c’est forcément la faute des autres, jamais la sienne.

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Elle devient alors très triste et vous savez quoi ? On la plaint. Je sais, c’est dingue.
C’est qu’elle est extraordinaire. Elle pourrait juste être une teigne, mais non. Au fond, elle le cache hyper bien et elle en a sans doute profondément honte, mais… elle est gentille. Et globalement très triste. (Elle pleure d’ailleurs fort bien et j’aime que les gens sachent pleurer avec grâce, sinon c’est juste dégoûtant.)
Elle est capricieuse, pourrie gâtée, mauvaise perdante, se croit plus intelligente que tout le monde, se prend pour la reine du bal… c’est la Scarlett O’Hara des temps modernes.

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Croyez-moi : c’est pas donné à tout le monde d’être aussi crédible en star des années 50. Ces deux-là peuvent tout de suite réserver leur tour de DeLorean. (Par contre, le gus derrière est HYPER flippant !)

Le problème, c’est que Blair s’ennuie un peu facilement et que sa passion, c’est l’intrigue, la bataille, la guerre. Blair aime lever ses armées pour aller marcher contre l’ennemi(e). Et quand ça arrive et que tous les potes, qu’ils soient alors dans ses bonnes grâces ou pas, sont de la partie, ça donne largement les épisodes les plus jubilatoires de la série.

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Malheureusement, comme elle n’est pas si intelligente que ça (en tout cas au début), ben ça fait des histoires et souvent, ça lui retombe sur la tronche. Mais j’aime son côté manipulateur, son tempérament de battante, son dévouement pour ceux qu’elle aime, son look incroyable, ses rêves basés sur des films d’Audrey Hepburn, son complexe d’infériorité si bien caché et surtout sa façon de se mettre en scène et de vivre sa vie en héroïne principale au milieu de milliards de figurants.

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Une pure drama-queen, tout comme votre humble servante !

Mais bon, il faut bien reconnaître que le principal atout de Blair Waldorf, ce n’est pas sa meilleure « frenemy »

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Ce n’est pas sa reum, styliste de renommée mondiale.

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Ce n’est pas son goût parfait en matière de fleurs.

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(Moi c’est pareil : pivoines au sommet de l’Empire State Building ou rien.)

Ce n’est même pas son histoire mouvementée avec…

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(Quoique, ça aide, sauf qu’ils seraient gentils de laisser nos gares tranquilles, merci.)

Non… son atout principal, c’est… DOROTA.

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Oh, Dorota, tu es mon rêve, sache-le ! Qui ne voudrait pas d’une Dorota dans sa vie ???
Dorota, c’est la suivante de Mademoiselle, son âme damnée, sa Jiminy Cricket, celle qui est de toutes les combines, qui prépare ses œufs le matin… bref. Dorota est polonaise, Dorota est de tous les complots, de tous les secrets, Dorota voue un culte à Blair et se laisserait manger vivante pour elle, même si elle n’est pas toujours d’accord sur tout, Dorota est drôle à mourir. Dorota, c’est la Mary Poppins de Cracovie. Je rêve que Dorota soit Gossip Girl mais j’ai bien peur que les scénaristes ne soient pas assez futés pour ça. Ou alors qu’ils le soient trop et que ce soit juste un leurre.
Et en plus, Dorota est en réalité comtesse. Je suis comblée.

Ensuite, nous avons l’Amibe. Comme vous avez tous vu Veronica Mars, c’est bien simple : le Duncan Cane de Gossip Girl, c’est lui, Nate Archibald, un Vanderbilt du côté de sa mère. Il est donc de la famille d’Anderson Cooper, hi hi hi. Si vous êtes allés aux Etats-Unis, vous êtes forcément restés bloqués devant CNN à vous demander comment ce type peut réellement exister. Et surtout pourquoi vous n’arrivez pas à changer de chaîne. (Ils y font une allusion dans la saison 6, mon bonheur fut complet.)

Bon, là, avec Nathaniel, on risque pas de rester bloqués sur CNN ni où que ce soit !

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Alors lui, vraiment, il ne sert à rien. C’est la bonne poire qui se fait toujours entuber, le type qui subit, le bouche-trou quand on ne sait plus quoi se mettre sous la dent. Il est fiancé depuis sa naissance à Blair Waldorf et il se fait chier à cent sous de l’heure, d’autant que son but dans la vie, c’est de faire plaisir à tout le monde, surtout aux quadragénaires en mal de jeunots ! (Coquinou, va.)

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Notez que j’ai de l’espoir pour lui, parce que je trouve que depuis la saison 2, il se met à intriguer sec. Aurait-il enfin compris ?
Au demeurant, je le trouve très mignon et il a de jolis sourcils. En plus, j’ai été étonnée de voir ce qu’il y avait sous ses costumes Armani. C’est pas dégueu ! Et avec son air de ne pas y toucher, je crois bien qu’il s’est déjà tapé toutes les nanas de la série ! J’imagine que maintenant qu’il a fait le tour complet, il va recommencer à zéro ? Ah… suis-je bête. Il a déjà recommencé à zéro. 😉

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Ah, et son grand-père, c’est Michael Bower, ce qui fait qu’il est quasiment le beau-fils de Tony Micelli !
J’ai quand même failli me faire dessus quand Aaron Tveit a débarqué pour jouer son cousin. Il faut prévenir, dans ces cas-là !

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(Retourne à Broadway, mon mignon, tu chantes trop bien pour te fourvoyer à la télé.)

Ce qui m’amène à… Chuck Bass, alias le Centre de l’Univers.
Alors là, je vais vous faire une confession : je ne comprends pas ce personnage. Il est d’un ridicule absolu. Je veux dire, le mec, il porte un nœud papillon couleur lavande au saut du lit, quoi ! Je l’ai vu UNE fois avec le col de la chemise ouvert ! Il parle de lui à la troisième personne du singulier ! Il est moche de chez moche, il plisse les yeux en faisant une moue hideuse, il parle toujours tout bas d’un air mystérieux parce que hé oh, les gens n’ont qu’à tendre un peu leurs esgourdes pour écouter Chuck Bass leur parler de la vie ! Il ne se déplace qu’en limousine, se réveille avec minimum deux gonzesses à côté de lui, bref, c’est n’importe quoi… tellement que la première fois que j’ai essayé de regarder cette série, j’ai arrêté aussitôt qu’il a débarqué et ouvert la bouche.

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Iiiiiik !
Eh bien c’est mon personnage préféré. Et je ne comprends PAS. C’est inexplicable, tout simplement. C’est dire si cette série est débile !
Après, j’imagine que son côté « je suis un être sulfureux et je me fous de tout » couplé à « papa m’aime pas » et à « j’suis love de la meuf de mon meilleur pote mais faut pas le dire », ça aide. J’ai honte. Vraiment. Non mais le type, il appelle sa suite la « Bass-Cave », quoi !
Et puis les fringues, doux Jésus.

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Curieusement, au fil de la série, il devient presque potable… et surtout, le personnage se craquèle fort agréablement.

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Oh, et puis zut, en vrai il est british, j’ai dû le sentir d’entrée de jeu, j’ai un flair, pour ça.

Sinon, nous avons Little Jenny, la petite soeur de 14 ans de Dan Humphrey. Toute mimi au début.

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Ça devient très vite tout à fait n’importe quoi.

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Sachez que je souffre PHYSIQUEMENT à chaque fois qu’elle nous balance ses affreuses extensions à la tronche.
Son histoire ? D’abord, elle est mignonne. Ensuite, elle décide de renverser l’ordre établi par Blair Waldorf et de devenir calife à la place du calife. Ce qui la rend absolument démoniaque ! Après, elle redevient à peu près mignonne. Puis ça recommence. Puis elle regrette… puis… bref. Ad lib ! J’imagine que quand ils ne savent plus quoi faire, les scénaristes se regardent et disent : « Tiens, et si Little J. redevenait chiante, pour voir ? »
A part ça, elle se plaint beaucoup et ça fait beaucoup de drama avec le jeune frère de Serena qui ne sert pas à grand-chose non plus, sauf quand on se souvient qu’il est gay.

Dans le genre chiant et qui ne sert pas à grand-chose sinon à faire un peu de bordel en plus dans la valse des couples, nous avons Vanessa.

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Alors elle, c’est bien simple, je ne peux pas la blairer ! Sous prétexte qu’elle habite à Brooklyn, elle juge et dénonce beaucoup, et pourtant ! Quand l’occasion se présente de gravir à son tour les échelons (ou de sortir avec un mec de l’élite new-yorkaise), je peux vous dire que d’un seul coup, toutes ses valeurs sont bien vite abandonnées, elle qui accuse son meilleur pote Dan d’oublier qui il est parce qu’il fréquente la haute.
Ah. Et puis j’aime pas ses cheveux. Et je déteste sa voix. D’ailleurs la seule chose que j’aime, chez elle, c’est sa mère. (Ma bien aimée Gina Torres. <3)

Bref, pour faire court : Vanessa nous emmerde. Vingt fois on lui dit de se casser parce que personne ne l’aime. Vingt fois elle revient pour asséner des leçons. C’est prodigieusement agaçant.

Et il y a les parents relous. Alors là, croyez-moi, y a du matos.
D’abord, la reum de Serena. Elle est très gentille, et j’aime beaucoup Kelly Rutherford qui nous prouve ici qu’on peut se faire botoxer sans ressembler à Ronald McDonald, mais alors… reum of the year, quoi ! Il lui faut un temps fou pour percuter qu’elle ne fait que de la merde et pourtant, elle est pleine de bonnes intentions. C’est juste que voyez-vous, certaines personnes ne devraient JAMAIS devenir parents.

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Heureusement, avec RufESSE Humphrey dans le coin, il faut croire que la double dose de lose s’annule. Et tous les deux, ils sont tellement occupés à être stupides l’un envers l’autre qu’ils en oublient presque d’être des parents lamentables.

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RufESSE avec sa mèche respectable de Grand Ministre des Gaufres et du Chili de l’Upper East Side. On a envie d’en rire, mais peut-être qu’il vaudrait mieux en pleurer !

Une autre qui est formidable, c’est la mère de Blair. Alors là… waouh. Et pourtant, encore une fois, elle meurt d’envie de bien faire et elle reconnaît elle-même qu’elle est à chier ! Mais à force d’attendre le meilleur de sa fille et de traquer le moindre de ses faux-pas tout en valorisant les enfants des autres (une espèce TRÈS répandue), boum, une fille obsessionnelle, tétanisée par l’idée de l’échec, boulimique et control-freak.
Encore une fois : la venue d’un mari extérieur est une bénédiction pour sa couvée. Les enfants adoptifs sont globalement très bien traités, dans cette série.

Bon, Bart Bass, je ne vais pas m’éterniser dessus, quand on voit le résultat, tout est dit.

Le père Van-der-Pète-Dans-la-Soie, on ne va pas trop tirer dessus vu qu’il est déjà à deux doigts de craquer suite à son dernier lifting.

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(Non, on ne va pas dire du mal, ce ne serait pas bien. Mais vraiment William Baldwin… c’est pas une réussite, ta chir.)

Finalement, le meilleur, c’est peut-être le papa de Blair. Oui, celui qui s’est fait la malle avec un homme. (Peut-être parce qu’il n’est jamais là ? Hi hi hi.)

Ah, et sinon, nous avons ma bête noire. C’est simple : aussitôt qu’ils se sont mis à parler d’elle, je SAVAIS qui allait jouer ce rôle. Michelle Trachtenberg.

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La présidente du club des TB. Les Truites Béantes.

Elle joue comme un pied (on lui pardonne, son personnage est tellement abscons), elle est si peu crédible que d’un seul coup, tout devient encore plus invraisemblable que ça ne l’est déjà. Bref, dès que je la vois arriver, j’entends la musique des dents de la mer et je sais que des requins vont se mettre à sauter de partout. Et j’ai écrit ça avant qu’elle débarque avec le marmot, hein !
En même temps, je dois reconnaître que c’est rigolo et j’adoooooore quand les autres sont méchants avec elle, gnihihihi. C’est la seule avec qui on peut se montrer ignoble tellement elle est irrécupérable.

Bon, et sinon, que font tous ces gens ? C’est très facile. Ils boivent, font la fête, se mélangent, pouf, ça fait des couples. Ensuite ils se prennent la tête, intriguent à mort les uns contre les autres, ça explose dans tous les sens, les couples se refont différemment. Et au bout d’un moment, ça repète dans l’autre sens et ceux qui étaient fâchés se réconcilient comme par miracle, avec force larmes, décidant que finalement, ils ne sont pas si méchants. Et après, ben ça recommence. Ça fait quatre saisons que ça fonctionne et vous voyez, je ne suis même pas fatiguée.

Pourquoi ?

Mais parce que New York, quelle question ! Au moins, on SAIT qu’on est à New York. On ne cherche pas l’arnaque, y en a pas !

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On a tous fait cette photo, pas vrai ?

Du coup, c’est génial de se retrouver dans ces endroits. Perso, je connais pas mal Manhattan, particulièrement Midtown et Flatiron District, sans parler des marches du Met, et j’adore cette ville. D’ailleurs, c’est après avoir écumé un paquet de films qui se passent à New York que j’ai fini par m’échouer devant cette série. Et je ne regrette pas. New York dans tous ses états, dans toutes ses saisons. Avec de la vraie neige.

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Bon, pour celle-là j’ai quand même des doutes, je ne comprends pas bien où ni comment c’est possible…

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Voilà. A part ça, j’ai pas grand-chose à en dire. Je serai probablement plus méchante sur les deux dernières saisons, parce que c’est absolument n’importe quoi !
On en recausera. Peut-être.

Sur ce, bien le bonsoir !

Posted by on Jan 3, 2015 in Gossip Girl | 15 comments

15 Comments

  1. trop contente de te lire de nouveau !
    je crois que si tu nous racontais le bottin, je lirais de toutes façons 😉
    je ne suis pas sûre de me lancer dans cette série mais au moins j’ai souris un moment
    merci

    • J’imagine que c’est un peu plus drôle quand on a vu la série. 😉

  2. Ah ah ! J’adore ! Ton article résume parfaitement bien la série !

  3. Ah, c’était juste hilarant! Un plaisir de te lire comme toujours Sorci! Et qui plus est je suis d’accord avec absolument tout ce que tu as écrit, à un point où ça en devient inquiétant! xD

    Bon, il faut avouer que je n’ai pas tout vu (ce qui finalement est le plus avouable) mais j’ai vu quand même quelques épisodes avec Michelle Trachtenberg (avant l’histoire du bébé) et c’était pas possible! Je l’ai revu l’année dernière dans NCIS Los Angeles et on s’est un peu reconciliées mais le traumatisme « Buffy » ne s’effacera jamais je crois xD!

    Bref, à l’évidence, pas les intrigues du siècle, mais ça fait tellement de bien de dire du mal de ce genre de séries! ^^

    Bon courage pour le visionnage de la suite si ce n’est pas déjà fait! 😉

    • Merci, car ça devient très très difficile ! (Netflixou m’indique que j’en suis à l’épisode 5 de la saison 6.)
      Il va définitivement falloir que je me rince le bec avec True Detective, après. Brrrr…
      En même temps, j’aime bien péter dans la soie, moi aussi !

  4. hooooooooooooo sorci , ça me fait trop plaisir de te savoir de retour
    par contre je dois dire que j’ai quelques inquietudes , nan mais serieusement quoi, « gossip girl »????? je me suis toujours dis que pour regarder cette serie , il fallait etre soit tres tres jeune et donc, ne jamais avoir connu la profonde debilité des productions AB soit….. etre au 36eme dessous.oui ba je sais , parfois ça arrive , je ne jetterais donc pas la premiere pierre.donc je l’avoue sans honte, moi meme parfois ,je me laisse aller et puis pour ma defense la telecommande est tres loin, si c’est vrai si,je ne peut meme pas l’atteindre avec mes pieds,c’est tout dire l’etat de fatigue dans lequel je me trouve. et en plus je ne suis pas abonnée a netflix et je dois me contenter de la tnt , voyez mon malheur, bref » real housewives of beverly hills », oui ben vous moquez pas, c’est les memes, 20 ans plus tard elles ont finalement epousé leur chirurgien esthetique(tellement pratique) les louboutins sont plus clinquantes les cailloux au doigt toujours plus gros, les maisons immenses, nan parce que tu comprend, new york c’est fun , mais on est trop les uns sur les autres dans ces petits apparts étiqués, et ça se bouffe le nez pareil ça boit souvent beaucoup, bref les memes en vieilles , et la tu te dis quand meme que ta vie est pas si nulle que ça , que ça vaut pas le coup de prendre des anti depresseurs, en plus je viens de retrouver la telecommande,. bonne journée sorci ,bises sur tes verrue, lechouilles au battlestar

    • Nan. La téléréalité ça reste quand même pire que Gossip Girl. 😉
      Et c’est pas aussi débile que les Vacances de l’amour, quand même. (Disons que c’est nettement mieux filmé et qu’au moins les répliques sont drôles, hé hé.)

      Et en guise d’antidépresseurs… Spartacus, bien sûr !!

  5. Quel plaisir de te lire et quel plaisir de voir que tu reviens pour parler de Gossip Girl !
    Ma série nulle préférée ! Je suis en manque de nullité depuis sa fin, alors ton article me fait du bien.
    Je te rejoins sur la plupart des personnages, Blair est la meilleure on est d’accord, sauf sur Chuck que je trouve insupportable et ridicule, et c’est bien tout !
    En fait en te relisant, je me rends compte qu’à part Blair, je trouve tous les personnages inintéressants et bêtes et malgré tout j’ai regardé jusqu’à la fin !
    New York, les fringues et les fêtes quotidiennes dans des décors toujours plus beaux y sont pour beaucoup.

    Les deux premières saisons étaient quand même moins mauvaises que les autres, ça restait un feuilleton pour ado, écrit avec les pieds et mal joué, mais les intrigues restaient correctes. La 3 et la 4 ça commence à mal tourner et alors la 5 et la 6 c’est clairement du grand n’importe quoi, ils ne savaient clairement plus quoi inventer ! (allez nous sortir le prince de Monaco !!!)

    En revanche, je n’ai pas bien compris les critiques suite à la révélation de qui est Gossip Girl. On se doute bien dés les premiers épisodes qu’il ne peut pas y avoir de Gossip Girl, les scénaristes ont clairement fait n’importe quoi sans vraiment se soucier de cette question. Ils ont du tirer au sort avant le dernier épisode « Bim ce sera toi GG, tant pis si dés le premier épisode de la série on voit que ce n’est pas possible ».

    Depuis la fin de cette’ série, je cherche désespérément une remplaçante, histoire d’avoir ma dose de nullité entre quelques bonnes séries (The affair et The good wife en tête) mais sans succès.

    • Pas encore vu la fin mais entre temps, je sais qui est GG.
      En fait, je crois qu’on s’en fout, ça n’a pas trop d’intérêt, et effectivement, c’est pas du tout cohérent, mais la série ne l’est vraiment pas non plus. 😉
      Après six saisons, de toute façon, aucun des personnages qu’on a pu voir n’aurait pu être GG, à part peut-être Nelly Yuki, ça aurait été hilarant et totalement justifié. Bref, je verrai à la fin de la série.

      Non, franchement, je regarde pour NYC, les répliques cinglantes qu’ils se foutent en travers de la tronche, les robes, les godasses… et les sacs à main. 😀
      Ca me fait plus marrer qu’une sitcom ! J’essaie d’anticiper les rebondissements moisis, des fois j’y arrive !

  6. Je me disais aussi… Je m explique :à l’époque où je regardais, tu ne voulais pas en entendre parler… alors qu’elle ne fut pas ma surprise quand j ai vu ton post sur FB… C est bon, suis rassurée, hein?! (Et Chuck Bass est merveilleux, si si!)

  7. Ca fait plaisir de voir du neuf sur le blog ! 😀

    Ah Gossip Girl, c’était presque sympa au début, mais bon c’est clair qu’on se prend pas la tête en matant.
    Et puis quand je regardais, j’avais 15 ans et j’étais garçon manqué, alors j’m’en batais les steaks des robes et des shoes, aujourd’hui p’tet que ça me sauterait plus aux yeux xD
    En tout cas, la poitrine de Serena, c’est clair qu’elle est magique, elle tient tout de seule !

    Ah lala, il en faut parfois des guilty pleasures, ça fait du bien !

  8. Haha Gossip Girl ! Hé, pourquoi pas ? Tous ceux qui l’ont regardé ont apprécié au fond.

    Mon Dieu, « Rufesse »… Il pourrait être le grand frère de Dan.
    Les fringues, c’est vrai qu’elles sont sensas. J’adorais le style de Blair quand j’étais au lycée, mais maintenant je crois que je préfère celui de Serena.
    Pas étonnée de voir que tes préférés sont Chuck et Blair. Et j’ai jamais plus blairer Vanessa non plus. Le genre de perso qui se pointe avec une caméra et te filme pour le journal de l’école ça m’a toujours exaspéré.
    J’adore le fait que l’on voit Nate et seulement lui sur les jolies captures de New York. C’est vrai qu’il est décoratif (c’est là sa seule fonction).
    Ça me donne presque envie de regarder la suite, je m’étais arrêtée à la saison 3 ou 4 et j’ai juste regardé les dernières minutes de l’épisode final. C’est toujours un plaisir de te lire.

    Sinon, c’est bien Netflix, hein ? Mais y’a pas beaucoup de choix en France.

  9. La sorcière, Gossip Girl, sérieusement ? Oo ça a de quoi surprendre !
    Mais après tout, pourquoi pas, et je me retrouve totalement dans ta critique. C’était bien sympa au début, puis ça a commencé à totalement tourner en rond, mais ça restait des plans de NY, jamais deux fois les mêmes fringues, des répliques à en mourir de rire, et des intrigues qui n’ont plus aucun sens au bout d’un moment ^^
    Mais je suis totalement d’accord avec toi, Nate n’a aucun autre rôle que celui d’être beau, Serena est vide, Dan est stupide et Jenny tourne en rond…
    Blair et Chuck sont le seul intérêt de cette série, et pourtant, je les ai détesté dès le début. Mais c’est plus fort que tout le monde, ils sont géniaux.
    Quant à Dorota… C’est Dorota 😀

  10. J’ai moi-même fini par basculer dans le côté obscur. Après toutes ces années (à me dire non non non !!), j’ai fini par regarder cette série… et jusqu’au bout. Tout a commencé, il y a environ deux semaines, lorsque la fin de X-Files Revival m’a basculée dans le plus grand désespoir (toujours pas d’annonce d’une saison 11, tuez-moi !). J’avais fait le tour de tout ce que je voulais voir, Sherlock ne démarrait pas son prochain tournage avant des mois, il me fallait donc un genre d’antidépresseur. Un truc… pas prise de tête… mais quand même distrayant… dont je pourrais me moquer… mais tout en étant un petit peu accrocheur. J’avais lu ton billet, il y a longtemps, j’en pouvais d’ailleurs plus de rire, au passage, et je me suis dit allez, voyons ce truc. En plus, y a un anglais au regard vaguement Robert Pattinsonnien, alors tentons au moins le Pilot. Et là miracle, j’ai accroché. D’abord, les morceaux choisis dans cet épisode, sont excellents. Voir toute cette bande de crétins sur fond de Timbaland, Amy Winehouse… Bravo !
    Question décor, je n’ai jamais visité NY, mais les prises de vues sont superbes (surtout en automne !) et entre les fringues de luxe et les chaussures de créateurs, ça fait très Sex and the city…version ado. On a le sexe (même quand on s’en contrefoutrait royalement), une ville inépuisablement exploitée, le luxe, le Soap Opera et surtout…surtouuuut… et oui : le couple royal Chuck et Blair !
    Mais que Dieu les bénisse c’est deux-là ! Ce visionnage maintenu jusqu’au bout, c’est grâce à eux. Et ce, quand tous les autres eurent fini (rapidement !) de m’épuiser mentalement. C’est dire… Faut reconnaître que quand la monotonie s’installe, en générale quand Serena (me fait ronfler dans la soie) se tape ENCORE un autre homme ou qu’elle en est à sa 53 ième rupture avec Dan, Bonnie et Clyde débarque avec une nouvelle intrigue, un autre combat à mener ou pour nous offrir des scènes d’une sensualité incroyable. oui, j’ai bien dit, incroyable. Franchement, ils sont doués pour s’échanger d’assez puissants regards, ou d’offrir des scènes frémissantes d’un Chuck laissant courir ses lèvres sur la peau de Blaire. Chuck fonctionne sans filtre, il veut, il dit, il prend et Blair sait lui tenir la dragée haute à la perfection. Je suis ravie pour eux deux ! Quant à Georgina, l’entrée en matière était ratée, mais alors quelle jouissive caricature de la bad Girl de service elle nous offre ensuite. C’est tellement poussé à l’extrême qu’elle en devient prodigieusement drôle et on lui donne vraiment de bonnes répliques.

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