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603 : Never judge a lady by her lover

Alors, où j’en suis dans DH… Ah ben j’en suis là, c’est-à-dire pas très loin. Faut bien dire que je n’attends plus grand-chose de la série, donc ma foi, je regarde ça avec décontraction en attendant le moment fatidique où je vais irrévocablement décrocher et laisser tomber pour tout regarder d’un coup en avril ou en mai. Pour l’instant ça va, même si Susâne est en train d’atteindre tout doucement le point de non-retour et que les Scavo sont des crétins.
Eh bien n’empêche, ils m’ont fait rire, ces débiles-là.
La manière qu’ont leurs gamins de les considérer comme des semi-retardés, c’est un ressort comique quasi-inusable. Sans compter qu’ils doivent être ravis de voir débarquer deux usines à caca dans leurs petites vies d’ados à grands pieds.

Parker : Not to mention it’s so gross you’re still doing it.

La petite Penny, on ne l’entend pas souvent ouvrir le bec, mais quand elle le fait…

Penny : If they’re boys, I’m outta here.

Sans blague ! Pauvre gosse ! Ca doit être déjà VACHEMENT sympa d’avoir trois grands frères aussi relous qu’ils sont roux !

C’est très con, mais j’ai également bien ri au dîner où Tom vide tous les verres de pinard de Lynette parce que celle-ci n’ose pas avouer à Carlos qu’elle est enceinte. Ce qui est vraiment très énervant, au passage. Elle pense pouvoir planquer ça encore longtemps ?

Tom : Remember last time you were pregnant with twins ? Every part of you swelled up. It was like sleeping next to a body they dragged out of the river. (Sympaaaaaa, Knorr !)
Lynette : You said I was beautiful !
Tom : I had to. You were twice my size !

Et elle ne pouvait pas y penser avant, que ce serait chaud avec le taf ? Ca ne lui a pas suffit d’oublier sa gamine dans la voiture en plein soleil parce qu’elle était overbookée et pensait pouvoir tout gérer ? Mais ces gens n’apprennent vraiment rien, dites ?

Enfin, j’ai rigolé, c’est déjà ça.

Tom (très paf) : You’re boobs arrrre greeeeat in that dress !

Nan mais c’est bien ! Ils arrivent encore à me faire poiler, c’est bon signe !
Du côté des Solis, j’ai eu très très peur. Il faut dire que Gabrielle est tellement subtile dans sa manière de se conduire quand elle croise son ancien amant que bon. Ca donne quand même un peu envie de lui balancer des tartes.

Oui, voilà, c’est exactement comme ça !
Enfin, dès le début, je me suis dit que Carlos n’avait pas de souci à se faire. A part aller loucher sur de vieilles photos bien planquées, m’étonnerait fort que Gaby ait le temps d’aller batifoler avec un ancien jardinier désormais divorcé. Elle est sûrement bien trop crevée par l’élevage de ses petites punaises de bois de lit qui la font tourner en bourrique toute la journée. Sans compter la petite dernière aux 17 printemps.

Bree m’a également bien fait marrer, j’avoue. Il ne se passe vraiment pas grand-chose, mais les situations sont bien rigolotes. Le coup de l’huile balancée sur la piste de danse pour faire d’une pierre deux coups et flanquer à terre mari gênant et rencard de son amant, c’était fabuleux. Surtout avec les petites attitudes pincées de Marcia et la tronche ahurie de Kyle MacLachlan.

J’adore !

Pareil, les sourires crispés de Bree, je crois vraiment qu’ils sont inusables, je ne m’en lasse jamais.

Ben n’empêche qu’elle a gagné, la rouquine. C’est pas ce soir que Karl ira s’amuser avec miss Nez-roqué.

Par contre… hanlala, la mère Delfino, c’est plus possible. Mais quelle TANCHE !!!

Non mais n’importe quoi. Ok, c’est vrai que les nouveaux voisins sont chelous au possible, surtout le paternel, d’ailleurs, woh putain, il me fait flipper, lui, avec sa bonne tête !

Et la reum… ah oui, oui, qui est très au courant qu’une dame s’est fait péter le caisson dans sa baraque et que ça n’empêchera, ma foi, pas de dormir.

Eh ben ça m’a fait bien plaisir de la voir sortir avec la batte de base-ball, la mère du gamin, quand la Delfino débarque pour en faire de la galette.

Nan mais elle nous pompe avec son engeance de fille, la Susan, là.
Cela dit, j’ai trouvé la fin plutôt sympa. Je ne suis pas sûre que ça ait tout à fait fait le tour chez Madame Delfino, mais c’était joli. A part que c’est vraiment tous des chacals, dans ce quartier.

Bon, ça vole quand même pas super haut, heureusement qu’il y en a quelques uns qui font assez les pitres pour que ça me tienne éveillée.

Posted by on Oct 29, 2009 in Desperate Housewives | 1 comment

1 Comment

  1. « A part que c’est vraiment tous des chacals, dans ce quartier. »

    Ouais, c’est même de pire en pire?EUR? on est passé de la gentille banlieue proprette au ghetto de riches fachos, c’en est flippant.

    Pour le reste, rien à redire, si ce n’est qu’à mes yeux, seule Gaby trouve grâce, parce que je le trouve très touchante, dans ces derniers épisodes (spécialement dans le 604, je ne sais pas si tu l’as déjà vu donc je me tais). Et l’intrigue Bree/Karl me fait bien rire aussi.

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