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211 : House arrest

Même si cet épisode m’a paru un peu morne, je dois reconnaître que l’inéluctabilité qu’il dégage est assez prodigieuse. On a là trois personnages qui suivent un chemin sur lequel ils n’ont aucune prise.

Que ce soit l’oncle Junior qui décline à toute vitesse, coincé chez lui par son assignation à domicile, et entouré, il faut bien le dire, de purs larbins… Notamment ce branleur de Richie Aprile et ce grand crétin de Bacala… Pas très motivant, tout cela, même si en cours de route, il renoue avec une bonne amie à lui.

Même si cet épisode m’a paru un peu morne, je dois reconnaître que l’inéluctabilité qu’il dégage est assez prodigieuse. On a là trois personnages qui suivent un chemin sur lequel ils n’ont aucune prise. Que ce soit l’oncle Junior qui décline à toute vitesse, coincé chez lui par son assignation à domicile, et entouré, il faut bien le dire, de purs larbins… Notamment ce branleur de Richie Aprile et ce grand crétin de Bacala… Pas très motivant, tout cela, même si en cours de route, il renoue avec une bonne amie à...

La Suite

Posted by on Août 9, 2007 in The Sopranos | 2 comments

204 : TB or not TB

Etre ou paraître. Pas mal comme trad, pour un titre français. Autant le plus souvent, c’est d’une facilité à pleurer, autant là, ils se sont creusés la tronche deux minutes.

Patient du jour, le docteur Sebastian Charles, qui voue sa vie à sauver celle des petits Africains qui souffrent de la tuberculose. Bien évidemment, la scène d’ouverture, avec tous ces braves gens l’accueillant comme le messie, n’est pas du tout anodine.
Pas plus que la suivante où, d’un coup de seringue vengeur, il sauve un enfant d’une mort certaine, sous le regard mouillé de tout le village.

Etre ou paraître. Pas mal comme trad, pour un titre français. Autant le plus souvent, c’est d’une facilité à pleurer, autant là, ils se sont creusés la tronche deux minutes. Patient du jour, le docteur Sebastian Charles, qui voue sa vie à sauver celle des petits Africains qui souffrent de la tuberculose. Bien évidemment, la scène d’ouverture, avec tous ces braves gens l’accueillant comme le messie, n’est pas du tout anodine. Pas plus que la suivante où, d’un coup de seringue vengeur, il sauve un enfant d’une mort certaine, sous le regard mouillé de tout le...

La Suite

Posted by on Août 9, 2007 in House M.D. | 26 comments

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