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703 : Message of the week

Comme je le laissais entendre dans l’épisode précédent, faire campagne pour la présidentielle, c’est savoir ménager la chèvre et le chou. Et dans le cas d’Arnie Vinick, faire campagne contre le premier candidat latino de l’histoire des Etats-Unis, c’est aussi ne pas pour autant renier le vote des basanés qui jusqu’à présent lui a toujours porté bonheur. Sauf que là, c’est pas si simple.

Coup de projecteur, donc, sur la campagne Vinick. Si dans le dernier épisode, on a mis le nez dans les petits problèmes de la campagne de Matt Santos, côté républicain, ça ne glisse pas forcément comme dans du beurre non plus.

Comme je le laissais entendre dans l’épisode précédent, faire campagne pour la présidentielle, c’est savoir ménager la chèvre et le chou. Et dans le cas d’Arnie Vinick, faire campagne contre le premier candidat latino de l’histoire des Etats-Unis, c’est aussi ne pas pour autant renier le vote des basanés qui jusqu’à présent lui a toujours porté bonheur. Sauf que là, c’est pas si simple. Coup de projecteur, donc, sur la campagne Vinick. Si dans le dernier épisode, on a mis le nez dans les petits problèmes de la campagne de Matt Santos, côté républicain, ça ne glisse pas forcément comme dans du beurre non...

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Posted by on Jan 7, 2008 in The West Wing | 2 comments

702 : The mommy problem

Je vous préviens qu’au cas où vous ne l’auriez pas compris, jusqu’à l’élection en elle-même, c’est-à-dire l’épisode 13 ou 14 de la saison 7, ces reviews, ça va être « Josh Lyman : fulgurance de l’esprit et génie stratégique ». Et ce jusqu’à l’écoeurement, mon seuil de tolérance à ma propre fanattitude étant très élevé. A vous donc de sauter quelques paragraphes si vous trouvez que j’en fais trop.

Pour les courageux, donc, recueillons-nous devant cette phrase IMMENSE signée Sa Magnificence : « People think campaigns are about two competing answers to the same question. They’re not. They’re in a fight over the question itself. »

Je vous préviens qu’au cas où vous ne l’auriez pas compris, jusqu’à l’élection en elle-même, c’est-à-dire l’épisode 13 ou 14 de la saison 7, ces reviews, ça va être « Josh Lyman : fulgurance de l’esprit et génie stratégique ». Et ce jusqu’à l’écoeurement, mon seuil de tolérance à ma propre fanattitude étant très élevé. A vous donc de sauter quelques paragraphes si vous trouvez que j’en fais trop. Pour les courageux, donc, recueillons-nous devant cette phrase IMMENSE signée Sa Magnificence : « People think campaigns are about two competing answers to the same question. They’re not. They’re in a fight over the question...

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Posted by on Jan 6, 2008 in The West Wing | 5 comments

701 : The ticket

Voilà un début de saison qui m’a laissée plus que perplexe. A vrai dire, il m’a presque foutue en rogne. C’est vrai, ça fait un peu chiqué. Voyez donc : trois ans plus tard, inauguration de la graaaaande bibliothèque de l’ancien président Bartlet.

Et là, d’un coup, déferlante de spoilers totalement incontrôlable : tous nos vieux personnages ou presque sont là. C.J. maquée avec Danny (et ce qui fout d’autant plus en pétard, c’est qu’à la fin de la série, la question va vraiment se poser), Will député (admettons), Toby rabiboché (explication à venir, et je dois avouer qu’avec le recul, c’est la partie que je préfère).

Voilà un début de saison qui m’a laissée plus que perplexe. A vrai dire, il m’a presque foutue en rogne. C’est vrai, ça fait un peu chiqué. Voyez donc : trois ans plus tard, inauguration de la graaaaande bibliothèque de l’ancien président Bartlet. Et là, d’un coup, déferlante de spoilers totalement incontrôlable : tous nos vieux personnages ou presque sont là. C.J. maquée avec Danny (et ce qui fout d’autant plus en pétard, c’est qu’à la fin de la série, la question va vraiment se poser), Will député (admettons), Toby rabiboché (explication à venir, et je dois avouer qu’avec le recul, c’est la partie que je...

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Posted by on Jan 5, 2008 in The West Wing | 13 comments

622 : 2162 votes

Pour ceux (enfin, les deux ou trois) qui ont suivi, donc, dans le monde de The West Wing comme dans le nôtre, pour endosser l’investiture du parti démocrate américain et devenir un vrai candidat à la présidentielle, il faut 2162 votes. Votes de quoi ? Ah ah, désolée, même moi, je n’ai jamais franchement compris. Est-ce qu’ils mettent les noms dans un chapeau, qu’ils tirent à la courte paille, qu’ils les sortent pour les mesurer, je l’ignore. Toujours est-il que ces maudits « caucus », chaque fois qu’on pose la question soi-disant à un expert, il vous regarde d’un oeil méfiant, tourne sept fois sa langue dans sa bouche et finit par vous dire que c’est très compliqué. Ah.
Au final, donc, un « caucus » est une assemblée d’électeurs (ceux qui veulent, on force personne !) qui élisent les gens qui vont élire des gens qui vont élire des gens qui vont élire… le candidat !

Pour ceux (enfin, les deux ou trois) qui ont suivi, donc, dans le monde de The West Wing comme dans le nôtre, pour endosser l’investiture du parti démocrate américain et devenir un vrai candidat à la présidentielle, il faut 2162 votes. Votes de quoi ? Ah ah, désolée, même moi, je n’ai jamais franchement compris. Est-ce qu’ils mettent les noms dans un chapeau, qu’ils tirent à la courte paille, qu’ils les sortent pour les mesurer, je l’ignore. Toujours est-il que ces maudits « caucus », chaque fois qu’on pose la question soi-disant à un expert, il vous regarde d’un oeil méfiant, tourne sept fois sa langue dans sa bouche et finit par vous dire que c’est très compliqué. Ah. Au final, donc, un « caucus » est une assemblée d’électeurs (ceux qui veulent, on force personne !) qui élisent les gens qui vont élire des gens qui vont élire des gens qui vont élire… le...

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Posted by on Jan 3, 2008 in The West Wing | 8 comments

621 : Things fall apart

Où commence la réalité, où s’arrête la fiction ? Et vice versa ? C’est ce que je me suis demandée ce matin en lisant (avec une tranquillité toute relative) mon canard au boulot. Ce soir, dans la vraie vie, se tient le caucus de l’Iowa qui ouvre le bal des primaires aux Etats-Unis et je m’en pourlèche d’avance. J’en profite d’ailleurs pour saluer mon lecteur de l’Iowa : coucou l’Iowa !

Où commence la réalité, où s’arrête la fiction ? Et vice versa ? C’est ce que je me suis demandée ce matin en lisant (avec une tranquillité toute relative) mon canard au boulot. Ce soir, dans la vraie vie, se tient le caucus de l’Iowa qui ouvre le bal des primaires aux Etats-Unis et je m’en pourlèche d’avance. J’en profite d’ailleurs pour saluer mon lecteur de l’Iowa : coucou...

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Posted by on Jan 2, 2008 in The West Wing | 11 comments

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