306 : The cornhusker vortex

Comme je suis une grosse maligne qui croyait avoir rattrapé la diff alors qu’en fait non (enfin, techniquement, si, sauf que j’ai été aspirée par un trou noir pendant quinze jours et qu’ensuite un raton laveur est entré chez moi et que… ), vous aurez peut-être la review du 305 plus tard parce que bon, DIE WIL WHEATON, DIE !
Ah, et tant que j’y suis, demain, je m’occupe de mes Weuh qui sanglotent depuis une semaine parce qu’ils croient que je ne les aime plus. J’arrive, mes bichons frisés, j’arrive !

Comme je suis une grosse maligne qui croyait avoir rattrapé la diff alors qu’en fait non (enfin, techniquement, si, sauf que j’ai été aspirée par un trou noir pendant quinze jours et qu’ensuite un raton laveur est entré chez moi et que… ), vous aurez peut-être la review du 305 plus tard parce que bon, DIE WIL WHEATON, DIE ! Ah, et tant que j’y suis, demain, je m’occupe de mes Weuh qui sanglotent depuis une semaine parce qu’ils croient que je ne les aime plus. J’arrive, mes bichons frisés,...

Marge, ce billet est pour toi…

Parce que faire plaisir à ses amis, c’est important.

Parce que faire plaisir à ses amis, c’est...

219 : The dead hooker juxtaposition

Dans mon sprint final vers la diff’ américaine, je laisse filer la délicieuse et très interloquée Summer Glau, mais je ne peux pas m’empêcher de claquer une petite review sur la nouvelle voisine : cet épisode m’a beaucoup divertie. J’ai d’ailleurs résisté aux fleurs de Penny, aussi, juste avant, parce que Sheldon dopé à la caféine, c’est immense. Mais là, on atteint de formidables sommets et je m’en émeus (comme les oiseaux que Joey veut planter) parce que c’est aussi savoureux que du Friends. Devant ce genre d’épisode, on voudrait bien (enfin encore plus que d’habitude) que le temps suspende son vol et tout ça et tout ça. Surtout quand en plus c’est l’heure de la sieste.

Dans mon sprint final vers la diff’ américaine, je laisse filer la délicieuse et très interloquée Summer Glau, mais je ne peux pas m’empêcher de claquer une petite review sur la nouvelle voisine : cet épisode m’a beaucoup divertie. J’ai d’ailleurs résisté aux fleurs de Penny, aussi, juste avant, parce que Sheldon dopé à la caféine, c’est immense. Mais là, on atteint de formidables sommets et je m’en émeus (comme les oiseaux que Joey veut planter) parce que c’est aussi savoureux que du Friends. Devant ce genre d’épisode, on voudrait bien (enfin encore plus que d’habitude) que le temps suspende son vol et tout ça et tout ça. Surtout quand en plus c’est l’heure de la...

Oh my Gods !!!

Devinez qui va faire un passage du côté de BigBang tout bientôt ?! Hiiii ! Devinez ?!

Devinez qui va faire un passage du côté de BigBang tout bientôt ?! Hiiii ! Devinez ?! Oui bon, vous vous doutez bien que vue ma réaction, ça ne peut être que Tricia Helfer, ou Jamie Bamber, ou… KATEE SACKHOFF ! YESSSS ! KATEE SACKHOFF va venir brancher les nerds de BIGBANG !!! Wouhouuuuuh...

Chuck Lorre’s vanity notes

J’adore les petites pensées de Chuck Lorre, le créateur de BigBang, à la fin de chaque épisode. C’est sans doute la seule raison pour laquelle j’aime voir arriver le générique, d’ailleurs. Aujourd’hui, j’ai particulièrement aimé celle de l’épisode 214.

(Bon, à part ça je pense que je vais rattraper la diff’ américaine et zapper les reviews, vu le retard que j’ai… je remplirai la rubrique à l’occasion d’un revisionnage… peut-être… un jour… quand je serai très vieille… )

J’adore les petites pensées de Chuck Lorre, le créateur de BigBang, à la fin de chaque épisode. C’est sans doute la seule raison pour laquelle j’aime voir arriver le générique, d’ailleurs. Aujourd’hui, j’ai particulièrement aimé celle de l’épisode 214. (Bon, à part ça je pense que je vais rattraper la diff’ américaine et zapper les reviews, vu le retard que j’ai… je remplirai la rubrique à l’occasion d’un revisionnage… peut-être… un jour… quand je serai très vieille…...