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Podcast 302 (Precipice)

La suite !

Notre Ronnie explique que la scène entre Roslin et Baltar, au début de l’épisode, est l’une de ses préférées depuis longtemps. Pourquoi ? Parce que dans le ciboulot du pékin moyen, ça fonctionne comme suit : « Laura, c’est la gentille. Je suis pour Laura. Je hais Baltar. C’est lui le méchant. »

Cette scène renverse tout. Et pourtant les personnages restent cohérents. C’est génial. Le public ne sait plus de quel côté se placer.

D’ailleurs, Ronnie s’avoue fasciné par la manière de bosser de Mary McDonnell. Il dit que la regarder jouer sur un plateau, c’est vraiment passionnant.

La suite ! Notre Ronnie explique que la scène entre Roslin et Baltar, au début de l’épisode, est l’une de ses préférées depuis longtemps. Pourquoi ? Parce que dans le ciboulot du pékin moyen, ça fonctionne comme suit : « Laura, c’est la gentille. Je suis pour Laura. Je hais Baltar. C’est lui le méchant. » Cette scène renverse tout. Et pourtant les personnages restent cohérents. C’est génial. Le public ne sait plus de quel côté se placer. D’ailleurs, Ronnie s’avoue fasciné par la manière de bosser de Mary McDonnell. Il dit que la regarder jouer sur un plateau, c’est vraiment...

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Podcast 301 (Occupation)

Youpiiii ! Reprenons les bonnes vieilles habitudes, et notamment celle de l’écoute religieuse des podcasts de tonton Ronnie.

(Même qu’il est fort possible que je revoie les épisodes, uhuhuh !)

Ouh, eh bien ce soir nous avons l’honneur d’avoir avec nous Madame Ron (enfin, la fausse Madame Ron, puisque je suis la vraie Madame Ron mais que ça, le monde ne le sait pas encore) et les chatons qui grimpent partout et qui n’ont pas encore de noms. Fastoche, ils n’ont qu’à leur donner des numéros. Sont compliqués, chez les Moore. Ah donc ce soir, pas de ramassage de poubelles dans la rue de Ronnie. Mais par contre, on entend clairement ces connards de chats flanquer tout le matos par terre. A mon avis, ils ont un plan.

Youpiiii ! Reprenons les bonnes vieilles habitudes, et notamment celle de l’écoute religieuse des podcasts de tonton Ronnie. (Même qu’il est fort possible que je revoie les épisodes, uhuhuh !) Ouh, eh bien ce soir nous avons l’honneur d’avoir avec nous Madame Ron (enfin, la fausse Madame Ron, puisque je suis la vraie Madame Ron mais que ça, le monde ne le sait pas encore) et les chatons qui grimpent partout et qui n’ont pas encore de noms. Fastoche, ils n’ont qu’à leur donner des numéros. Sont compliqués, chez les Moore. Ah donc ce soir, pas de ramassage de poubelles dans la rue de Ronnie. Mais par contre, on entend clairement ces connards de chats flanquer tout le matos par terre. A mon avis, ils ont un...

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302 : Precipice

J’enrage. De ne pas avoir pu profiter de ces deux épisodes comme cela aurait dû être le cas. Ca me donne des envies de meurtre.

Bon, reprenons.

A la fin de la saison 2, je ne donnais pas cher de la peau de ce pauvre Anders. Je suis bien contente qu’il ait récupéré sa santé. Et je me dis que le sort est parfois bien cruel. Après avoir passé des mois à se battre sur Caprica, après s’être cru sauvé, avoir retrouvé sa nana. Après une année à peu près cool, c’est retour à la case départ. Plus de liberté, plus de nana, et des bombes qu’il fait péter au petit bonheur la chance, sans grand espoir d’en sortir un jour…

J’enrage. De ne pas avoir pu profiter de ces deux épisodes comme cela aurait dû être le cas. Ca me donne des envies de meurtre. Bon, reprenons. A la fin de la saison 2, je ne donnais pas cher de la peau de ce pauvre Anders. Je suis bien contente qu’il ait récupéré sa santé. Et je me dis que le sort est parfois bien cruel. Après avoir passé des mois à se battre sur Caprica, après s’être cru sauvé, avoir retrouvé sa nana. Après une année à peu près cool, c’est retour à la case départ. Plus de liberté, plus de nana, et des bombes qu’il fait péter au petit bonheur la chance, sans grand espoir d’en sortir un...

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301 : Occupation

Bon, ok, on va dire que c’est pas forcément une journée top top mais plutôt une journée pleine de petites frustrations de merde, malgré ça, ça reste quand même le Jour-D, le J-Day, ben merde alors, pas question de rougner aujourd’hui ! Et aux chiottes les petits trucs chiants. *tire la chasse d’eau*

Les salauds ! Le previously et direct générique ! Gnuuuuh !!!

Alors pour commencer, un petit changement. Je ne pense pas que cela reste très longtemps, mais pourquoi pas… Ca plonge dans l’ambiance direct.

Bon, ok, on va dire que c’est pas forcément une journée top top mais plutôt une journée pleine de petites frustrations de merde, malgré ça, ça reste quand même le Jour-D, le J-Day, ben merde alors, pas question de rougner aujourd’hui ! Et aux chiottes les petits trucs chiants. *tire la chasse d’eau* Les salauds ! Le previously et direct générique ! Gnuuuuh !!! Alors pour commencer, un petit changement. Je ne pense pas que cela reste très longtemps, mais pourquoi pas… Ca plonge dans l’ambiance...

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107 : Six degrees of separation

Un festival de baltardises dans cet épisode que j’ai vu il y a déjà quelques jours et dont je vais donc parler assez sommairement…

Le truc qui m’a le plus choquée en le revoyant, c’est le nombre de fois où l’on entend le chief qui s’énerve et qui se demande comment Starbuck a bien pu faire démarrer ce truc. Parce que soyons honnêtes, ça fait beaucoup. Et le chief, c’est pourtant pas un manchot. Franchement, rien que d’y penser, ça me fait froid dans le dos… Brrrr…

Un festival de baltardises dans cet épisode que j’ai vu il y a déjà quelques jours et dont je vais donc parler assez sommairement… Le truc qui m’a le plus choquée en le revoyant, c’est le nombre de fois où l’on entend le chief qui s’énerve et qui se demande comment Starbuck a bien pu faire démarrer ce truc. Parce que soyons honnêtes, ça fait beaucoup. Et le chief, c’est pourtant pas un manchot. Franchement, rien que d’y penser, ça me fait froid dans le dos…...

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