Réplique du jour
Cisco Ramon, The Flash
What the FRAK ??? Cisco Ramon, The...
La Suite
Cisco Ramon, The Flash
What the FRAK ??? Cisco Ramon, The...
La SuiteSouvenez-vous, mes mignons.
En 2009, Soso et moi, depuis notre appart vancouvérois, on avait VUE sur l’Orpheum Theatre, le fameux opéra de BSG. C’était là et là. Il était fermé pour travaux pendant tout l’été, on en aurait chialé.
En 2010, j’avais entraperçu l’intérieur de ce lieu mythique à l’occasion du tournage de Fringe, fermé aux visiteurs, sauf l’été. J’y étais en avril. Argh. J’avais fait une photo, elle est aujourd’hui encadrée sur mon bureau.
En 2015, je retourne à Vancouver. Et cette fois, je m’offre la visite guidée, bitches !
Souvenez-vous, mes mignons. En 2009, Soso et moi, depuis notre appart vancouvérois, on avait VUE sur l’Orpheum Theatre, le fameux opéra de BSG. C’était là et là. Il était fermé pour travaux pendant tout l’été, on en aurait chialé. En 2010, j’avais entraperçu l’intérieur de ce lieu mythique à l’occasion du tournage de Fringe, fermé aux visiteurs, sauf l’été. J’y étais en avril. Argh. J’avais fait une photo, elle est aujourd’hui encadrée sur mon bureau. En 2015, je retourne à Vancouver. Et cette fois, je m’offre la visite guidée, bitches ! Remember, remember. L’Orpheum est ouvert sur trois côtés. Le principal accès se trouve sur Granville Street. Ah, le bonheur de fouler ce velours sur lequel a gambadé la petite Héra ! Tenez, il me semble que c’était hier que Laura Roslin lui courait après dans sa jolie veste Armani ! Dommage, s’il n’y avait pas eu un concert le soir même, j’aurais pu monter sur scène et me la jouer Final Five ! (Pas un geek dans le groupe...
La SuiteJ’ai étonnamment bien aimé cet épisode quoique vu en plusieurs fois. (Ce qui veut dire que je me suis endormie dessus au moins deux fois.)
Garth est un personnage assez rafraichissant, marrant et attachant.
J’ai étonnamment bien aimé cet épisode quoique vu en plusieurs fois. (Ce qui veut dire que je me suis endormie dessus au moins deux fois.) Garth est un personnage assez rafraichissant, marrant et attachant. Un comic-relief plutôt bienvenu quand les frères Winchester deviennent trop lourds. (Et vu leur bagage en sept saisons, ils ont de quoi être lourds.) Meilleure réplique de l’épisode : le « come with me if you want to live ». Ça marche toujours ce genre de petite chose ! Et sinon, la super idée : le monstre qu’on ne voit que quand on est bourré ! Une aubaine pour Dean qui s’en donne à cœur joie, dans cet épisode. Et au passage, le fait qu’il soit totalement à jeun quand il s’agit de bousiller le Super de la semaine est plutôt rigolo. Puisqu’on parle booze, c’est vraiment l’occasion idéale de faire revenir BOBBY !!! J’osais pas trop y croire, mais si ! Bobby est un fantôme. Et ces deux abrutis ne le voient pas ! Quand même,...
La SuiteMon bon peuple. Tu n’es point sans savoir que je rentre de trois semaines de vacances dans mon fief vancouvérois. Où j’ai été accueillie par des acclamations, ma dernière visite datant de cinq ans. (Sapristi.)
J’en ai profité pour chasser le gibier local, à savoir l’écureuil gris (très fourbe, redoutable pickpocket), le raton-laveur (équivalent moderne du vélociraptor : quand tu fais « oooooh » devant un spécimen, tu en as deux en embuscade), le grizzli (finalement le moins agressif), le phoque (easy-peasy, on en croise à tous les coins de rue), le renard (très difficile à débusquer) et l’impala (rarissime car répertorié en 1967).
Nan, à vrai dire, j’étais pas arrivée depuis 24 heures que déjà, le Flash se jetait quasiment dans mes bras.
Nan, OK, pas tout à fait, mais quasi. (Si j’exagère pas un peu c’est pas drôle.)
Nan, en fait, j’avais surtout envie de profiter de mes vacances, donc je n’ai pas cherché plus que ça. De toute façon, tous les chemins mènent à Rome, tout vient à point à qui sait attendre, etc etc.
Mais visiblement, quand je vais à Vancouver, la poisse ne m’y suit pas !
Mon bon peuple. Tu n’es point sans savoir que je rentre de trois semaines de vacances dans mon fief vancouvérois. Où j’ai été accueillie par des acclamations, ma dernière visite datant de cinq ans. (Sapristi.) J’en ai profité pour chasser le gibier local, à savoir l’écureuil gris (très fourbe, redoutable pickpocket), le raton-laveur (équivalent moderne du vélociraptor : quand tu fais « oooooh » devant un spécimen, tu en as deux en embuscade), le grizzli (finalement le moins agressif), le phoque (easy-peasy, on en croise à tous les coins de rue), le renard (très difficile à débusquer) et l’impala (rarissime car répertorié en 1967). Nan, à vrai dire, j’étais pas arrivée depuis 24 heures que déjà, le Flash se jetait quasiment dans mes bras. Nan, OK, pas tout à fait, mais quasi. (Si j’exagère pas un peu c’est pas drôle.) Nan, en fait, j’avais surtout envie de profiter de mes vacances, donc je n’ai pas cherché plus que ça. De toute façon, tous les chemins mènent à Rome, tout vient à...
La SuiteHello les gens !
Si vous me suivez sur Twitter et/ou Facebook, vous devez savoir que récemment, j’ai eu la chance complètement dingue de tomber sur le tournage de SPN lors de mes vacances à Vancouver et même de serrer la pince à Cas’. J’ai touché le saint imperméable de l’Ange de Dieu ! Prosternez-vous, humbles mortels !
Du coup, bien évidemment, cela m’a donné envie de faire un petit rattrapage de Supernatural que j’avais laissée sur le bas-côté depuis… pas si longtemps que ça, en fait, puisque j’avais bien avancé dans la saison 7. Seulement deux saisons et demie de retard, donc.
Comme quoi on croit abandonner une série, et… vous n’êtes jamais à l’abri d’une surprise, sur ce blog ! 😉
Je ne tiens pas forcément à faire des reviews longues sur ces épisodes (d’ailleurs, je ne tiens plus forcément à faire des reviews longues sur quoi que ce soit, je n’arrive jamais à les terminer), mais quelques mots, quelques captures… ça peut être sympa. À voir !
Hello les gens ! Si vous me suivez sur Twitter et/ou Facebook, vous devez savoir que récemment, j’ai eu la chance complètement dingue de tomber sur le tournage de SPN lors de mes vacances à Vancouver et même de serrer la pince à Cas’. J’ai touché le saint imperméable de l’Ange de Dieu ! Prosternez-vous, humbles mortels ! Du coup, bien évidemment, cela m’a donné envie de faire un petit rattrapage de Supernatural que j’avais laissée sur le bas-côté depuis… pas si longtemps que ça, en fait, puisque j’avais bien avancé dans la saison 7. Seulement deux saisons et demie de retard, donc. Comme quoi on croit abandonner une série, et… vous n’êtes jamais à l’abri d’une surprise, sur ce blog ! 😉 Je ne tiens pas forcément à faire des reviews longues sur ces épisodes (d’ailleurs, je ne tiens plus forcément à faire des reviews longues sur quoi que ce soit, je n’arrive jamais à les terminer), mais quelques mots, quelques captures… ça peut être sympa. À voir...
La Suite« Be careful of the Murdock boys, they got the devil in them ! »
Chers amis, le monde est grand, le monde est beau, le monde est généreux : Charlie Cox est ENFIN le héros de sa propre série, grâces au Ciel !
En attendant, je suis dans la merde. Je pensais presque m’être enfin débarrassée du mal honteux dont je souffre depuis des années (et que j’ai dû refiler à quelques un-e-s d’entre vous) : la britonnite aigüe. Eh ben non ! Ça me reprend de plus belle ! Et puis là, je me sens très très atteinte, quand même. Enfin, on va dire que c’est une rechute parce qu’en 2013, j’avais déjà beaucoup souffert à cause de Charlie Cox. Il jouait à cette époque dans Boardwalk Empire, et je vous avoue qu’à mes yeux, la série n’a pas survécu à son… hem… départ. J’ai jamais pu en revoir un épisode !
Toutefois… je restai fort troublée par son passage (son passage sur Mrs Thompson, en particulier ) et à cause de lui, quand je reçois une caisse au courrier, je ressens un certain malaise.
Mais bref.
J’en vois déjà quelques un-e-s parmi vous qui se demandent qui est Charlie Cox. Laissez-moi vous éduquer.
Voici la magnificence en question. Ça vous a une certaine James Callis-vibe, non ? (En beaucoup plus choupi, le genre de type qui est tellement mignon quand il souffre, gnihihi.)
Le pire, c’est qu’on ne m’avait même pas prévenue, non mais je vous jure, tout se perd.
On me dit : « Y a une série Daredevil. »
Je réponds : « Ah, le Daredevil qu’ils avaient fait un film pourri dessus avec Ben Affleck ? »
« Lui-même. »
« Bon. »
Après, je me rends compte que nous sommes en avril, que je suis en vacances en Corse et qu’il est de bon ton de faire des choses absolument passives, du genre de rester parfaitement à l’horizontale et de regarder des séries en bavant sur l’oreiller. De préférence des séries qui ne sont pas une source perpétuelle de déception. (Sivouvoyezcequejeveuxdire.)
Et là, cette conversation me revient. Il se trouve que je me suis abonnée à Netflix parce que je suis très paresseuse et que télécharger, ça me fatigue. Et Netflix que désormais je bénis a fort bien compris le principe du comportement addictif de ses abonnés et sort ses séries homemade tout d’un bloc.
Je jette donc un vague œil sur la chose et là, bing, c’est Charlie Cox.
Du coup, j’ai annulé toutes mes activités verticales et j’ai décidé de passer 48h sur la question.
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’en plus de cette foutue britonnite qui me pourrit ma life, j’ai toujours eu un faible pour les gars masqués. À quatre piges, j’étais en transe devant une souris masquée. À six, je ne respirais plus le samedi soir devant Zorro. Et j’ai un souvenir parfaitement intact des scènes où il se fait démasquer. (Dont celle avec son darron, je vous jure, je suis traumatisée à VIE.)
Ensuite, Tim Burton a réinventé Batman, bien sûr… et il y a eu tous les autres.
Alors, est-il réellement besoin que je rappelle le pitch de Daredevil ? Oui ? OK, vite fait, alors : Daredevil, c’est l’histoire de Matthew Murdock, fils de boxeur, qui à l’âge de neuf ans se flanque sous une bagnole pour éviter à un papy de se faire écraser. (Capital sympathie : + 20 000)
Neuf ans et déjà un héros, donc.
Bien évidemment, histoire de pimenter un peu le tout, comme certains de ses illustres collègues (dont son grand pote Peter Parker), le mouflet se mange dans la tronche des produits chimiques, enfin le coup classique : le voilà aveugle. Oui, mais attention ! Il devient aveugle, certes, mais comme tout bon superhéros placé en présence de substances bizarroïdes, ses autres sens sont décuplés (voire démilluplés si vous voulez mon humble avis).
Mais attention Jean-Claude, ce qu’il y a de bien dans cette série, c’est que toute Marvel qu’elle soit, elle est hyper-réaliste. Donc pas de trucs fantastiques ou de dieux nordiques venus d’une autre planète. (C’est bien dommage, mais que voulez-vous, ça coûte cher ces petites choses-là.)
On est dans le même univers, d’ailleurs qui sait si tout ce petit monde ne finira pas par se croiser ? J’ai même cru relever quelques fines allusions même si je n’ai pas aperçu la tour Stark, mais bon, mes connaissances dans le domaine sont assez restreintes, je l’admets. (En même temps vous avez maté l’ampleur de l’œuvre, un peu ? GRRM, c’est de la rigolade à côté.)
Bon, la suite, c’est ici. Cliquez, braves gens.
« Be careful of the Murdock boys, they got the devil in them ! » Chers amis, le monde est grand, le monde est beau, le monde est généreux : Charlie Cox est ENFIN le héros de sa propre série, grâces au Ciel ! En attendant, je suis dans la merde. Je pensais presque m’être enfin débarrassée du mal honteux dont je souffre depuis des années (et que j’ai dû refiler à quelques un-e-s d’entre vous) : la britonnite aigüe. Eh ben non ! Ça me reprend de plus belle ! Et puis là, je me sens très très atteinte, quand même. Enfin, on va dire que c’est une rechute parce qu’en 2013, j’avais déjà beaucoup souffert à cause de Charlie Cox. Il jouait à cette époque dans Boardwalk Empire, et je vous avoue qu’à mes yeux, la série n’a pas survécu à son… hem… départ. J’ai jamais pu en revoir un épisode ! Toutefois… je restai fort troublée par son passage (son passage sur Mrs Thompson, en particulier ) et...
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