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[DOWNTON ABBEY] 201 : Episode one

Ah ! Ah la souffraaaaance !!! C’était affreux-affreux-affreux, cet épisode ! Mais rendez-nous les enjeux un peu mous du genou de la première saison genre Lady Mary va-t-elle coucher sous les ponts (genre) ou Mrs Patmore va-t-elle réussir à ne pas saler son pudding ???

Parce que là, pute borgne, qu’on en chie ! Déjà, sympa, on ouvre le bal sur les tranchées, c’est toujours agréable.

(J’adore ce genre de trucs. Je vous ai déjà dit à quel point j’adore les scènes de guerre ? Ah, je l’ai déjà dit un million de fois ? Eh ben ça fera une de plus !)

Notre pauvre héritier. Non mais franchement. Je vous jure que si la Grande Guerre lui ruine ne serait-ce que sa coiffure, je fais un scandale !

C’est assez marrant, ai-je trouvé, de faire le parallèle entre ce premier épisode de saison 2 où ça s’agite dans tous les sens et le tout premier de la saison 1 où honnêtement, ça s’agite de façon extrêmement ordonnée et à deux à l’heure. Désormais, même le clébard de Lord Grantham descend les escaliers en aboyant ! Je vous jure, tout fout le camp.

Mais bon, c’est la Guerre, mes amis, et il faut réunir des fonds quand on est un gros planqué de la gentille campagne anglaise. Pas mal, en tout cas, de jouer sur le contraste de cette fameuse campagne où on tente tant bien que mal de maintenir un style de vie déjà moribond (oh, Carson) et les tranchées où rangs, pognon et privilèges sont balayés par la violence des affrontements.
En même temps… que voulez-vous, on n’en attendait pas moins de « Downton Abbey », pas vrai ?

Donc, sur le front de la patrie, les choses changent, enfin, à une allure folle ! Il y a une nouvelle femme de chambre, Ethel, qui a le malheur, l’infortunée, de traiter O’Brien de vieille peau (muf muf muf), ce qui lui vaut des blagues potaches de la cruauté qu’on imagine. (Et encore, je trouve qu’elle se ramollit, O’Brien.)

On remarquera d’ailleurs que ladite O’Brien fume désormais son mégot toute seule et je jurerais que Thomas a l’air de lui manquer.
Deux ans ont passé et nous retrouvons également une Lady Mary de retour de chez la tante Rosamund… une Lady Mary infiniment changée, je dois bien le dire. Ce qui m’amène à parler de nos petits couples. Et alors là, argh, la souffraaaaaaance !

Déjà, je vous dis pas comment qu’on rayonne de bonheur quand la mère Crawley, dans ses petits souliers, vient nous apprendre que Matthew est fiancé avec une certaine Lavinia-je-ne-sais-quoi. Je ne veux pas avoir l’air de médire d’entrée de jeu, mais si Cendrillon avait eu une troisième méchante belle-soeur, nul doute qu’elle se serait prénommée Lavinia !

Et là, c’est le choc. Oh, ah, comment, mais enfin, et Mary, bordel de diousse ???
Enfin bon, les Grantham, on les connaît, ils ont le coeur sur la main. Tant pis qu’ils se disent, on finira bien par caser notre pète-couilles. Radinez votre Matthew qu’on rencontre la future Lady Grantham.

Evidemment, c’est le jour PRECISEMENT du retour de Matthew que Mary – sans rien savoir – choisit pour rentrer de chez la tante Rosamund. Soulagement, ils ne se rencontreront pas dans le train du retour puisque Matthew débarque en caisse avec Javotte. Euh, Lavinia. Ah ! Alors tout va bien !

Dowager countess : Oh, that’s a relief ! I hate greek drama, you know, when everything happens off stage.

C’est bien, il y a tout de même quelques bricoles qui ne changent pas !

Bon, moi, je me mets à la place de Mary. Si mon mec (qui m’a flanqué un gros râtal dans la chetron la dernière fois qu’on s’est vus, au passage) était à la guerre depuis deux ans et que je ne l’aie point revu depuis, je crois que ça me rendrait à moitié zinzin. Eh bien la Mary, ça lui apporte une sorte d’apaisement complètement inattendu. Elle m’a scié le croupion ! Mais sa réaction quand elle apprend les fiançailles de Matthew, oh, pauvre bibiche.

Et puis leurs retrouvailles. Oh.

Et sa façon de le regarder. Oh.

Et de lui parler en lui touchant le bras. Oh.

(On notera les deux vieilles qui tendent l’oreille tout ce qu’elles peuvent. )

Et de reluquer la belle-soeur de Cendrillon. Oh.

Et comme elle s’empresse de se réconcilier avec lui. Ooooooooh.

Je vous jure, tout cela me fait du mal dans le dedans de moi-même !

Bon, ce n’est pas que j’aie envie de dire du mal ni rien, mais je sens qu’Anastasie… euh, Lavinia… a quand même un super potentiel de biatch, surtout qu’avec son petit tarin bien pointu, elle a l’air d’en flairer long.

(En clair, pitié, faites que ce soit une connasse parce que si elle est gentille je ne le supporterai pas !!!)

Cela dit, perso, mon gars, il s’attarderait un poil de trop auprès de la bonnasse au lieu d’adorer mes genoux à longueur de temps, je n’aurais pas tout à fait les yeux remplis d’arcs-en-ciel non plus !
Mais oublions un peu la future Lady Grantham. J’ai été particulièrement émue qu’à Mary, Matthew ne tente pas de cacher qu’il est incapable de parler de la guerre. J’ai adoré les voir comme ça. Terrible de voir à quel point cette guerre modifie les repères et les habitudes : il y a désormais tellement plus grave que de se prendre la tête sur des questions d’héritage ou de mariage de raison. Malheureusement pour Matthew et Mary, si cette connasse de guerre avait éclaté quelques minutes avant leur confrontation de la fin de saison 1, j’imagine que cela aurait changé bien des choses. Seulement voilà, le mieux qu’ils puissent faire, maintenant, c’est être heureux de s’être réconciliés et se dire que si Matthew ne revient pas, eh bien au moins, ils ne se seront pas quittés fâchés. Snif. Pauvre Mary. Son regard a tellement changé. Je vous jure, j’en étais malade de voir ces yeux-là tout au long de l’épisode. Et puis leur dernière scène, le coup du train. Affreux. (Et tellement roooomaaaaantiiiiique ! )

Disluidisluidisluidislui !!!

Bouhouhouh.

Ce que je trouve génial avec cette série, c’est qu’on n’est jamais dans le too-much. C’est écrit avec tellement d’élégance que même si c’est romanesque à vomir, ça reste tolérable. J’adore le dosage romance-guerre, dans cet épisode. C’est réellement super bien foutu.

Et s’il n’y avait que Mary et Matthew. Oh, j’ai trouvé louche la demande en mariage de Bates. Louche et adorable, évidemment, pffff, les deux scènes où lui et Anna se voient déjà mariés et parents, c’était pratiquement insupportable !

(En plus, ce n’est pas pour dire, mais la mère de Sam Tyler, ça lui va super bien ce genre de scène à zyeux mouillés.)

Mais alors, bonjour la chute pour la pauvre choupinette. Il faut évidemment que la grognasse d’épouse du pauvre Bates (qui était pourtant la sympathique nounou de Dexter) vienne flanquer un grand coup de tatane dans leurs jolis plans.

Grand coup de chapal au passage à Mrs Hughes qui est MERVEILLEUSE !

On ne l’attend pas forcément en train d’écouter aux portes, cette brave dame. Et encore moins d’aller ensuite tout raconter à Carson !
En attendant, je crois que mon coeur a failli exploser de désespoir quand la pauvre Anna se met à courir après son boiteux en brâmant qu’elle veut bien vivre dans le péché avec lui si c’est ce qu’il faut. Atroce. Ca m’a anéantie.

Pauvre Bates, forcé de démissionner par l’ignoble Vera. Ah je vous jure. j’aime bien Lady Mary mais elle aurait mieux fait de se casser une patte le soir où elle a décidé d’aller visiter la Turquie !
Et vas-y que Lord Grantham lui en met plein la tronche, et vas-y que l’autre encaisse et part sans moufter.

Bien sûr que Carson (qui est un gros shipper, au passage) est sublime d’aller raconter toute l’affaire au patron… mais… est-ce qu’on n’a pas tous un peu peur que celui-ci apprenne la vérité au sujet de sa chère fifille ? Ben si, tiens ! Non parce que ça, pour le coup, je ne suis pas sûre qu’il s’en remettrait et j’imagine déjà la scène avec Mary… brrrrr. On a VACHEMENT besoin de ça en ce moment !

Déjà qu’il est super vexé parce qu’on ne veut pas de lui au front et qu’il se balade, tel un paon enfariné, dans son bel uniforme qui ne sert à rien.

Heureusement, il se passe des petites choses mignonnes.

Uh uh !

Heureusement aussi que Lady Sybil nous fait un gâteau surprise sous les yeux extasiés de sa môman.

(Et du chauffeur.)

Hélas, notre pauvre Sybilounette qui s’apprête à grandir un grand coup, des bricoles l’attendent elle aussi. J’ai vraiment adoré la lumière que l’on pose sur Sybil dans cet épisode. C’est très élégamment fait et le personnage le mérite infiniment.

J’ai eu beaucoup de peine pour Cora, aussi, qui laisse partir sa plus petite, si innocente encore, mais si déterminée, aussi. Elle a de quoi être fière, la Lady Grantham.

(Non parce que c’est pas avec Edith qui sait VAGUEMENT tenir un volant que bon.)

Hélas, trois fois hélas, c’est au moment où la benjamine s’apprête à entrer dans son école d’infirmières que l’infortuné Branson se décide à faire sa déclaration. Pauvre bichon. Ca m’a brisé le coeur pour lui. Non vraiment.

Mais enfin, mais je ne comprends pas ! Sybil, voyons ! Faut vraiment avoir des tranches de saucisse devant les yeux pour ne pas voir que… mais Branson, quoi !!!
Sybil est lesbienne. Je ne vois que ça.
Je ne sais pas trop comment on va retomber sur nos pieds avec cette histoire. J’y croyais super fort, moi. Pis le pire c’est que j’y crois encore !

Bon, toutes ces amours contrariées sont extrêmement éprouvantes et limite on frôlerait presque un peu l’overdose. Pas d’inquiétude, tout ce qui a trait à la Guerre est super bien géré. Des gonzesses qui distribuent des plumes blanches aux « pleutres » qui restent à l’arrière, aux ficelles que l’on tire pour garder certains domestiques parce qu’on les aime bien et qu’on ne veut pas faire de peine à leurs parents, en passant par les tranchées.

C’est dur de voir les soldats se manger banane sur banane dans la Somme. C’est dur aussi de voir un Lord Grantham ronger son frein parce qu’il a le sentiment de ne servir à rien, ou un Molesley avouer sans détour ou presque sa lâcheté et demander à être exempté par le toubib. Mais le plus dur, sans doute, outre la prière discrète de Mary dans sa chambre…

… c’est sûrement cette scène.

Celle-là résume à elle seule toute l’horreur de la chose. J’ai adoré détester Thomas jusqu’à ce jour. J’ai ricané quand il a cru trouver son salut et la porte de sortie de sa vie de domestique en s’engageant. Mais là, j’ai été pétrifiée d’horreur et de pitié.

Thomas : Thank you. Thank you for my deliverance.

Pour moi, Downton a vraiment réussi à négocier le tournant vers la guerre, qui est un thème particulièrement casse-gueule. Y compris pour moi personnellement qui ai horreur des scènes des guerre. Faudrait d’ailleurs pas qu’ils m’en balancent trop, des tranchées.
Du coup, je dois reconnaître une assez grande naïveté en la matière puisque à quelques exceptions près, je fuis les fictions qui traitent de ce sujet comme la peste. En tout cas, je trouve l’évolution des personnages dans ce contexte vraiment bien gérée. Mais purée que c’est dur… je repense avec nostalgie et tendresse au premier épisode où l’on noyait de très très loin les héritiers de Downton Abbey, en plein Atlantique. Elle est bien loin, cette époque…

Posted by on Sep 19, 2011 in Downton Abbey | 20 comments

20 Comments

  1. Et ben voilà ! C’est là que j’ai pleuré comme une nouille : la scène de l’orchestre !!

    Sinon, je ne dirais qu’un moment : Sybil en Jeyne Westerling et les autres au placard !!
    La Vera (aussi ex Reine Catherine des Tudors, je me rappelais plus de son passage dans Dexter oO) est une belle paire de saleté à elle toute seule et le 2nd épisode n’augure rien de bon…
    Comme d’hab’, pour les secondes saisons de séries particulièrement réussies, c’est jamais facile de rebondir mais Downton Abbey gère très bien la chose et il suffit de te lire (et ne pas oublier d’aller voir l’épisode) pour le comprendre !

    Je spoilerais pas la suite au cas z’où, mais j’en brule d’envie *o*

    PS : Mon dieu le Thomas… Je crois que la dernière scène m’a achevé…

  2. J’ai vu la suite mais peut-être pas tout le monde. Et de toute façon, on ne parle des épisodes que dans les commentaires des épisodes en question. Donc, épisode 1 ! LOL

  3. Je ne dirais rien of course ! RDV sur l’épisode 2 !

  4. Super review comme d’hab et +10000 à tout!! et +10000000000 sur Mary/Mathew et re+10000000000 sur mon bébé Branson! Moi non plus, je ne perds pas espoir de ce côté surtout qu’Allen Leech a laissé entendre sur son tweeter que
    -a) Branson n’abandonnait jamais
    B) qu’on devait avoir la foi…
    Alors prions pour que Sybil enlèves ses tranches de saucisses devant les yeux xD

  5. cet épisode était parfait, à l’image de ta review….
    non mais oui, la dernière scène avec Thomas, hyper bien filmée, une merveille, et pis le pov gars, même s’il est con comme une pelle et méchant comme une teigne, ça m’a fait mal pour lui…

    la scène du train, mais quelle douleur absolue, mais raaaaaaa
    et not’ ptite bonne heureuse comme jamais qui dégringole le temps de le dire, j’ai cru que j’allais arrêter de regarder tellement c’était DUR! pov bichette, quoi!

    il n’y a que Sybil pour illuminer l’épisode, et encore, le fait qu’elle éteigne le pov chauffeur pourtant super intéressant et mignon comme pas permis, raaaaaa quoi….

    bon, ok, vivement la suite, tiens 🙂

  6. Je ne trouve pas les stfr et je souffre un peu quand même ! Il n’y a qu’Anna que je comprends vraiment tout le temps bien.

    Sinon, je ne sais pas si vous avez remarqué mais… Mary n’est pas la fille de son père ! Dans la famille, tout le monde a les yeux bleus, sauf elle ! 😀 Je pense que c’est totalement involontaire et que les casteurs n’ont pas fait attention à ce détail génétique mais c’est marrant à remarquer.

    Revenons à nos moutons. Super épisode aussi, je suis d’accord. J’étais juste surprise que Mary ne soit pas encore casée, ni même Edith. Même si ce n’est pas la plus jolie, loin de là, elle est suffisamment aimable pour se trouver un bonhomme qui veuille l’épouser. Sybil est un peu jeune.

    Vous aussi, vous voulez entrer dans le décors pour expliquer à Matthew qu’il déconne avec sa Swann et que Mary est faite pour lui ? Je ne suis pas une shippeuse, mais là, faut pas pousser quoi !!! Ils vont tellement bien ensemble.

    Et congratulations pour tous les Emmys !

  7. Bon… comme dans la saison 1, les nobles sont très gentils, très généreux, posés, justes, miséricordieux, limite trop quand même parfois…

    Donc j’avoue avoir pris un certain plaisir à voir Monsieur le Comte se faire ridiculiser avec son uniforme, même si là encore c’est pour montrer qu’il est courageux, porté au sacrifice, proche de son peuple, etc… etc…

  8. Sauf la vieille, quoi ! LOL Nan mais c’est pas faux. En même temps, le truc, c’est qu’ils ont vraiment les moyens – et le temps ! – d’être un peu sympa. S’ils ne l’étaient pas, ce serait juste des gros cons, quoi. Moi, perso, j’ai envie de coller des claques aux filles quand elles se font habiller et tresser les cheveux. C’est bon, quoi, tu peux te saper toute seule, t’as quel âge ? LOL

  9. D’un autre côté, pour mettre un corset c’est plus simple d’être aidée, comme pour faire un chignon complexe. Moi c’est plus de voir les mecs se faire présenter leur machin et leur truc qui me fait halluciner…

  10. Non mais la scène où le Comte engueule Bates et se reprend immédiatement sur l’air du "excusez-moi je n’aurais pas dû vous parler comme ça…", ça quand même, c’était limite…

    Je voudrais UNE fois voir l’un des upstairs se montrer un peu mesquin, ou tout simplement énervé, envoyer balader sa bonne de façon injuste…
    Ne me dites pas que ça n’arrive jamais !

  11. Pour Bates, c’est surtout le côté « vieux copains » qui reprend le dessus, non ? Je trouve quand même que par moments, on sent bien qu’ils s’en branlent un peu. Genre le « Daisy, c’est ça ? » d’Edith au moment où elle a besoin que la môme dise des trucs sur la frangine… genre la gonzesse elle sait même pas quels sont les insectes qui bossent chez elle, quoi ! Après, il y a forcément des liens qui se créent, ici, Anna qui est clairement la confidente de Mary, ou Carson qui l’a vue grandir… ça, ça me paraît normal et vraiment humain. Même chez des gros bourges. LOL Sinon, c’est assez subtil, mais pire encore qu’envoyer péter les Downstairs, il y a ce petit côté infantilisant qui ressort parfois et qui est vraiment horripilant.

  12. Super review, merci, j’ai pensé pratiquement tout pareil.
    Quel plaisir de retrouver tout le monde… et quelle surprise de voir Maria Doyle Kennedy, en méchante pour une fois (chacun ses références: pour toi c’est Dexter, pour LL c’est les Tudors, mais pour moi elle sera toujours d’abord Natalie dans The Commitments). Je me réjouis d’avance des scènes entre Bates et Vera! Vivement la suite!

  13. Super review, merci, j’ai pensé pratiquement tout pareil.
    Quel plaisir de retrouver tout le monde… et quelle surprise de voir Maria Doyle Kennedy, en méchante pour une fois (chacun ses références: pour toi c’est Dexter, pour LL c’est les Tudors, mais pour moi elle sera toujours d’abord Natalie dans The Commitments). Je me réjouis d’avance des scènes entre Bates et Vera! Vivement la suite!

  14. *hips* … Internet a le hoquet … 🙂

  15. T’es bien comme Matthew, Sorcière !

  16. Ah voui, pourquoi donc ? Parce que je peux me faire une pauvre tresse toute seule ? LOL

  17. C’est exactement ce qu’il dit (enfin il ne parle pas de tresse) dans les 2 premiers épisodes : je peux m’habiller seul, je peux me servir seul etc…

  18. Je ferais une très mauvaise nobliote. 😀

  19. LOL ! Faut croire qu’on ne peut pas être à la fois un bon Time Lord potentiel et une bonne nobliote en même temps 😉

  20. Je crois que Catherine d’Aragon se venge à sa manière ici de ce qu’elle a subi avec Henry dand Les Tudors ! Je ne vois que ça ! Lol

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