307 : The guitarist amplification

Méééééé, il m’a pas fait rire DU TOUT, cet épisode, il était super triste ! Et chiant, aussi ! Pas drôle, j’ai même pas souris ! Enfin sauf à la fin. Pauvre Sheldon, c’est trop triste.

Et les autres, ah les emmerdeurs, les trous du cul, dites ! On peut dire que ça a sacrément beuglé tout du long (il fallait bien évidemment que la mère d’Howard y apporte son grain de sel pour que le tableau soit complet), moi aussi je crois que j’aurais sorti le blender et les glaçons tellement ils sont GAVANTS Leo et Penny, avec leur dispute de merde.

Tout ça parce que MADAME est complexée par son cerveau à peine plus gros qu’une noix et que MONSIEUR est complexé par son petit mètre quarante deux.
Cela dit, du côté de Leonard, je me dis qu’il y a un peu de progrès. Dans une autre relation, je suis certaine qu’il ne l’aurait pas ramenée et qu’il aurait laissé la gonzesse faire tout ce qu’elle veut sans moufter, de peur de se faire planter. Là, il monte au créneau, ça prouve bien qu’il prend cette histoire au sérieux.
D’autant que perso, si j’avais un mec et qu’une de ses copines mannequin venait pieuter sur son canap’, j’en ferais de la charpie, de la girafe.

Maintenant, faire un foin pareil parce que Francis Lalanne vient ronfler dans le salon de Penny, je ne suis pas sûre que ce soit vraiment nécessaire.

De toute façon, une fois de plus, qui vient voler la vedette aux deux enragés ? Sheldon, of course.
Pauvre biquet, il m’a rappelé Chandler qui pète un câble lors de la rupture de Ross et Rachel. Un vrai bébé. Sans mentir, quand on le retrouve assis au milieu de ses BD, dans son petit nid, mon pauvre coeur s’est serré très fort.

Personne ne voit sa détresse, trop occupés qu’ils sont tous à brailler comme des porcs.
Le passage chez Raj, par contre, était presque drôle tellement il est désolant. Ses parents m’éclatent. La réplique sur le fait que ce qu’ils ont de plus proche d’une belle-fille, c’est Wolowitz, wow. Laissez un peu retomber la joke, les gars, avant de la rejouer, ça fait beaucoup d’homosexualité suggérée d’un coup, là !
Bref, Sheldon avec ses bédés et ses robots. Brave petit. On l’imagine trop se faire acheter un robot après une grosse dispute de ses parents. Quelle enfance radieuse, hein ? Entre le foot forcé et les gueulantes.

Penny : Look, Leonard and I are in a relationship, and occasionally, we’re going to fight. But no matter what happens between us, we will always love you. Right, Leonard ?
Leonard : Always is a long time. Sure. Always.
Penny : You know, how about we buy you this robot, and then we all go home ?
Sheldon : I want that one.

Penny : Okay, you can have that one.
Leonard : Oh, come on, he’s just going to play with it twice, and then it’ll end up in his closet with all the other junk.
Penny : Buy him the robot, Leonard.
Sheldon : Can I get this comic book, too
Penny : Yes, you can.

Wow, la classe, man, quel talent ! Si j’avais eu un robot à chaque fois que ça gueulait à la maison, ma collection aurait une autre dégaine !

Enfin voilà. J’ai voulu regarder cet épisode à midi pour me mettre en condition avant d’aller me faire emplafonner par ma prof de piano car ça fait quinze jours que mon instrument prend la poussière. Il m’a fallu tout mon courage pour ne pas tirer le plaid sur ma tête et rester là tout l’après-midi à attendre que ça se passe.

Ah ! Et je voulais dire aussi que j’aime de plus en plus Stuart le vendeur de BD. Il est mille fois meilleur que dans Ugly Betty !

Stuart : I was thinking of closing early and going home, but, let?EUR(TM)s face it, that?EUR(TM)s just a slightly smaller, lonely room filled with comic books.

Enorme !