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201 : A new day in the old town

Wow, retour très solide de Fringe !
Enfin bon, retour pour vous puisque moi, je viens juste de découvrir William Bell.
Non, mais même. En fait, ce season premiere est super. On ne voit rien venir de ce qu’on nous donne à becter, et ça, je trouve ça assez génial, c’est exactement le genre de petite blagounette que Fringe doit nous faire le plus souvent possible.
On attend le monde parallèle, Spock et le World Trade Center ? On se retrouve à Vancouver New York avec plein de voitures en travers de la route. Excellent !

Au passage, regardez un peu ce que la magie de la télévision est capable de faire… Cette scène-là a été tournée dans le centre moderne de Vancouver, au milieu des immeubles de verre, des grands hôtels, sans doute pas très loin du front de mer si j’en juge par le petit raidillon qui plonge (et que je ne connais que trop bien, aïe, ouille).
Le monsieur se retourne, nouvel angle de caméra… et en fait, on n’est plus dans le même quartier de Vancouver.

C’est dans le centre historique de la ville qu’on suit les errances du type étrange qui va s’avérer être un… métamorphe. Tadaaaa !

A part ça, ben je trouve que le changement de lieu de tournage se voit comme le nez au milieu de la figure. Ca doit être parce que je le sais, mais je trouve que Fringe saison 2 ressemble beaucoup visuellement à Supernatural. J’y reviendrai en reviewant le deuxième épisode, assez atypique.
N’empêche… ça me gêne un peu. Surtout pour Harvard dont le bâtiment principal est rouge quand les acteurs ne sont pas devant… et blanc quand ils se trouvent à l’extérieur du bâtiment. Hem. Faut le savoir pour remarquer, j’imagine, mais bon…

Hihihihihihi !
Et donc, effectivement, comme je le supputais, Harvard est désormais filmé à UBC, l’université de Colombie Britannique, ce qui explique pourquoi on est tombés sur eux là-bas, exactement devant ce bâtiment. Il ressemble d’ailleurs beaucoup à l’institut de théologie qui héberge, dans un autre univers, l’Athena Academy.
Voilà. On y reviendra.

Solide entrée en matière, donc. Difficile de décrocher. Il n’y a guère que la nouvelle cops de Peter (attention, je la surveille, celle-là) que j’ai trouvée un peu faible dans les genoux. Trop jeune, trop insignifiante, trop pas crédible. En plus, elle nous fait le coup de la Bible, alors là, au revoir mademoiselle !

Bon, évidemment, deux trucs… allez, trois, se détachent le plus dans cet épisode. D’abord, Olivia… qui ne met pas sa ceinture de sécurité !!! C’est pas bien, ça, jeune fille, même quand on se la pète moi j’voyage dans les mondes parallèles ! TOUJOURS attacher sa ceinture de sécurité !

Moralité, elle nous fait un superbe vol plané à travers le pare-brise.

Problème : ça fait une heure que sa voiture est accidentée. Je vous dis pas le SURSAUT que j’ai fait !

(Je crois même que j’ai un peu crié. Pourtant je savais que ça allait arriver puisqu’un des figurants à la gare avait dit qu’Anna tournait ses scènes avec des cicatrices et qu’elle avait un accident de voiture. Merci pour les spoilers, monsieur le figurant !)

Evidemment, limite on nous l’enterre et tout le monde se met à larmoyer… difficile de faire de même car on se doute bien qu’ils ne vont pas nous l’occire tout de suite, la petite poulette.

Ca reste quand même très intéressant de voir le vieux à la limite des sanglots et d’apprendre que le soir même, il va faire une grande balade avec Prince Valium et ses compères.

Pareil pour le petit Peter qui lutte contre son chagrin à coups de grandes lampées de whisky sec, comme un homme qu’il est.

J’avoue que j’ai adoré le duo inédit Peter/Broyles.

Il a beau serrer ses drôles de mâchoires, le pépère, pté, il a l’air bien atteint lui aussi.
Enfin on s’apprête à débrancher la douce enfant et Peter va pour l’embrasser (on ne saura jamais où) lorsque…

La chère petite se met à nous déblatérer du grec !

(Note pour plus tard : ne boire ni thé ni café devant Fringe. Jamais. Too dangerous.)

J’ai trouvé la gestion du choc tout à fait crédible. Sans blague qu’elle a les mains qui tremblent, eh oh. Ca arrive aux meilleures, hein, d’avoir les mains qui tremblent après un truc pareil. Surtout quand on est persuadé qu’on a un tueur aux trousses. Ce qui n’est pas tout à fait faux.

Histoire de corser le tout, ce tueur est un métamorphe, donc. Très originale la manière qu’a ce brave caméléon de se transformer. Je n’avais jamais vu ça et c’est vraiment pas mal pour relier ça avec la chose scientifique. Si ça avait été un pauvre chien qui se transforme à chaque pleine lune, on aurait bien rigolé.
Cette charmante personne communique avec… euh… l’autre monde, sans doute… au moyen du truc le plus COOL que j’aie vu depuis longtemps… Un ordi ? Une faille qui pue le soufre ? Un mur de flammes ? Un puits sans fond ? Vous n’y êtes pas du tout… Une machine à écrire. Vintage. Alors ça…

(On rigole, on rigole… mais la vilaine machine à écrire veut tuer Olivia ! Iiiiick !)

Pendant ce temps, un méchant sénateur veut faire fermer les affaires non-classées… euuuuh, la division Fringe veux-je dire. (Pardon mais avec le gros plan sur la télé et Mulder dedans au début, ça m’a troublée.)

Ce brave monsieur nous sort un discours du feu de Dieu, et il ne la ramène pas trop après ça, le petit sénateur zélé.

Broyles : Yes, senator, I have a job. The same job I have had in three administrations and six wars : to defend our national security. And I assure you we are not secure. Yes, sometimes a threat is familiar. But I have come to learn that sometimes it is far worse. And when it is worse, when the threat is unimaginable, that is when we are at the door. And you should thank God for that.

En guise de punition… euuuuuh, de récompense, Broyles a droit à un très gros bisou de sa petite camarade de classe Nina.

(Je l’ai vu venir, la coquine. Ouh là mais c’est qu’elle va… ah, c’est fait, donc. )

Gourmande !

En tout cas, Broyles qui boit, Broyles qui est triste, Broyles qui chope, Broyles qui est à CA de sourire à Peter… Wow. C’est la fête du slip, mon petit Phillip.

(Je vous assure qu’il ENVISAGE de sourire, là !)

Broyles : You surprise me, Mr. Bishop.
Peter : Thanks.

Et même que c’est un petit peu aussi la fête du petit Peter qui a droit à une crème anglaise pour son anniv’. Et à une vache coiffée d’un chapeau pointu.

Toi aussi fais-toi organiser un anniversaire par Walter Bishop, le roi de la fiesta incongrue ou inconvenante, comme tu veux tu choises. Clairement, y a un filon à exploiter. J’apprécie tout particulièrement le fait de battre le sabayon entre la bouse de vache et la boyasse du monsieur mort, personnellement.

En revanche, c’est pas trop trop la fête de l’agent Charlie Francis, dites voir.
Déjà, la scène où il est tout gentil avec Olivia, ben c’était une scène d’adieu, et c’était très joli.

Ensuite, Peter est un âne. Pardon, mais sachant qu’il y a un métamorphe dans le coin, tu y crois tout de suite, toi, que le gars il est blanc comme neige alors que tu trouves un cadavre par terre ?
Je peux vous dire que ça, c’est quelque chose qui ne serait JAMAIS arrivé avec les frères Winchester. Ils auraient mis tout le monde d’accord en chatouillant les pieds du suspect à coups de gros sel, d’eau bénite ou de lance-flammes !

Au revoir, donc, mon pauvre Charlie. Je comprends mieux pourquoi les gens avaient l’air si étonnés de voir Kirk Acevedo sur nos photos du tournage à UBC, maintenant.

Euh, sinon, je serais curieuse de savoir comment Olivia connaît les mots que la maman de Peter lui disait le soir avant le dodo.
C’est très futé, en tout cas, de ne rien nous révéler de ce qui s’est passé dans l’autre monde lorsqu’il y était. De ne pas lâcher un mot sur le mystérieux M. Spock Bell. J’imagine que tout ça va se développer avec une lenteur exquise tout au long de la saison et que la prochaine apparition du sieur nous fera encore sauter au plafond. Hi hi. Ca démarre quand même très très bien, tout ça.

Et non, je n’ai pas vu l’Observateur ! J’étais trop occupée à admirer Vancouver. D’ailleurs, je suis très emmerdée, je ne comprends pas où ils ont tourné Washington.

Soit ils sont allés à Victoria qui est la capitale de la Colombie Britannique pour filmer des bâtiments administratifs car il y en a pas mal, et des bien vieux, soit ils ont tout monté en images de synthèse et vu la dégaine de la coupole derrière, ça ne m’étonnerait pas qu’il n’y ait que les escaliers de vrais. Si quelqu’un à la réponse à cette question, je suis très très curieuse.

Ce bâtiment-là me dit également fortement quelque chose mais je n’arrive pas à le remettre… peut-être qu’en repassant mes photos…

Ah, et puis ça…

Hi hi ! C’est pas « notre » côté, mais c’pas grave, c’est chouette, quand même !

Posted by on Sep 28, 2009 in Fringe | 5 comments

5 Comments

  1. Bien aimé cet épisode mais j’ai été un peu perdue au début ; à un moment, quand Peter se pointe et que son accréditation a été mise hs et que la nouvelle (me rappelle plus son nom) a l’air d’être très connue, je me suis dit qu’ils avaient sauté dans le temps… Mais non, c’est une autre ville.
    Je trouve un peu trop facile la manière dont cette nouvelle est amenée d’ailleurs.

    Pour Olivia, elle met bien sa ceinture il me semble, la brave petite ! Ils le disent en inspectant la voiture, que c’est tout comme si elle était dedans, sauf qu’elle n’y est pas. Et moi j’ai eu peur qu’ils la tuent. Je les voyais déjà aller chercher la seconde Olivia du monde parallèle.
    La rencontre dont il est question, c’est avec Bell, je suppose ?

    Pour Charlie, j’ai trouvé ça gros, mais groooos par contre. Bon on va dire qu’ils sont tous sous le choc pour être tombés dans un panneau pareil. Et j’ai pas compris comment le corps dont le métamorphe se débarrasse peut-être celui de Charlie. il s’est pas transformé en infirmière ? Ou bien après un moment il redevient ce qu’il était de son vivant ? Mais pour le premier ça n’a pas été le cas, non ?

    Bon allez, vivement la suite !

    Et pour finir, sympa l’inversement des rôles où la division Fringe devient à présent son propre "chef" d’une certaine manière.

  2. La mort de Charlie, j’aime pas. ça fait trop Alias en plus. ça reste à voir, mais pour le moment c’est pas mon truc !

  3. Fringe reste solide ( malgré la reduction du temps des épisodes, que je trouve trop rapidement baclés) je reste sceptique mais je continuerai à suivre la série

  4. Naaaaaooooon mais euuuuuuh, je voulais pas savoir quand c’était, je l’ai dit, en plus !!!!

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