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110 : Safe

« Just when you thought things couldn’t get any weirder… »

Tu m’étonnes, mon petit Peter !
Gros épisode, on peut le dire… Ze épisode qui a enfoncé le clou, en ce qui me concerne. On peut assez facilement passer à côté des infos capitales qui sont parsemées dans ces quarante et quelques minutes, sauf que ce jour-là, exceptionnellement, j’étais presque attentive !

Faut dire que ça démarre très fort avec un fantasme siouuupeuuurbe : celui du passe-muraille. Exceptionnellement, pas de petite fille à nom de chat à l’horizon, non… Dans Fringe, c’est une machine qui permet de traverser les murs, par exemple pour vider un ou des coffre-forts. Voilà qui est fort commode !

Sauf que des fois, oups, la machine, elle a des ratés.

Et hop ! Comme c’est sympathique !

Evidemment, on est à moitié sous le choc, La Sorcière s’évente vigoureusement pour se remettre de ses émotions, toute la compagnie fronce le nez…

Mais on peut toujours compter sur Walter pour faire preuve d’un enthousiasme débordant (mais guère communicatif) en présence de cette bizarrerie.

Tout cela est délicieux, parfaitement délicieux. J’aime beaucoup.

Et cela nous vaut encore un superbe éclat de notre génie perturbé qui n’a pas encore retrouvé tous ses repères en matière de ce qui se dit et de ce qui ne se dit pas devant une vendeuse du Bricomarché du coin.

Vendeuse : Can I help you guys find something ?
Walter : Oh, yes. We’re looking for an electric saw. Preferably variable speed with an easily replaceable blade system.
Vendeuse : What are you cutting, wood ?
Walter : Human tissue. Flesh and bone. It’s more sinuous than you may expect.

Peter : It’s really not that dire.
Walter : Oh, actually, potentially it’s far worse.

Vendeuse : Um, I think that the saw you’re looking for is around the corner, next to the routers.

Moralité…

Donc ça. Mais il se décompose quelque peu, notre Walter, lorsqu’il s’avère que les cambrioleurs sont venus piller SES coffres. Afin de récupérer SES affaires. Donc une machine… à téléporter.

Bon, là j’avoue qu’ils ont failli me perdre. Attendez, je résume : Walter a un fils. Il est malade, le fils. De la grippe aviaire (euh, je croyais que c’était un virus super-récent, les gens !). Mais un type a trouvé un remède (euh, vaccin, les gens ?), dans les années 30. Et il est mort, forcément. Et de toute évidence, le remède (vaccin, les gens ?) est mort avec lui ! (Les gens, ça devient super bizarre, là.)
Alors que fait mon Walter ? Faciiiile. Hop, il se construit une machine à voyager dans le temps, hop, rien de plus simple ! (Et là, La Sorcière toute petite et très très loin agite sa main minuscule à l’horizon.)

Bon. Admettons, les gens. Admettons tout ça. Vous avouerez quand même que pof, le fait que le petit se soit guéri tout seul est quand même relativement indigeste. Hmmm ?

Donc voilà. La chose qu’on retiendra quand même, c’est que sa machine, elle est capable, je cite ou presque : « De récupérer n’importe qui n’importe où… « 
Ooooooh, fais le public attentif. Comme c’est intéressant !

Bref.

A part ça, j’ai adoré la scène où Olivia va voir la veuve du passe-muraille qu’a pas pu passer. C’était super. Mais siiii, madame la Veuve, tu te souviens pas, on a bouffé ensemble, sur cette table, c’était trop bieng ! Ah bah non, c’est ballot, c’était John, en fait ! 3615, je suis deux ! Pour le meilleur et pour le pire, hein ?

Et puis super, aussi, de voir Peter et Olivia enquêter en se faisant passer pour frère et soeur (« Brother, uh ? »). J’adore le sourire d’Anna Torv…

C’était très sympa de voir les deux jeunes socialiser un peu plus.

Et le retour dans la chambre de Walter était hilarant.

Peter : Walter, wake up, this is important.
Walter : Oh. Oh ! Do you two want to use the room ?

Arf !

Pour finir, Mr. Jones dit donc au revoir à la Wissenschaft Prison. C’est pas des malins, à la Science Zonzon. Il leur faudra trois épisodes pour réagir. Suckers.

Pendant ce temps, mon Olivia qui a d’un seul coup complètement oublié qu’elle était un agent du FBI formé pour tirer en cas d’attaque court tout droit dans les bras de ses ravisseurs. Smart girl.

(Et oui, j’ai bien vu l’Observateur dans la caméra de sécurité.)

Posted by on Août 20, 2009 in Fringe | 1 comment

1 Comment

  1. J’ai adoré cet épisode qui a ranimé mon excitation pour la série. La situation dégueu et marrante, t’as tout bien rendu !
    Et vraiment John Noble…. :radote:

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