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Bo saison 4, part 1…

Ouh là là, c’est en boucle dans mes zoreilles depuis des semaines et même pas une ligne dessus sur mon blog, c’est un peu la tehon, ça, ma bonne Sorcière !
Allez, zou, voilà mes impressions sur le CD de la saison 4 de la musique de BSG, par notre Grand Ours des Zétoiles.
Je vous préviens, ça risque d’être long. Hem.

1) Gaeta’s lament :
Ok, donc encore un qui n’a pas besoin de respirer pour chanter, c’est cool, ça fout pas du tout de complexes quand soi-même on s’étouffe à la fin de ses phrases ! Et il le met où, tout cet air, le jeune homme, je vous prie ? *tape Alessandro avec la prothèse de Felix*
Bon, bref, désolée… quand j’entends quelqu’un chanter (correctement, s’entend), je fais toujours gaffe à ses respirations et le AJ, il a un putain de souffle !
Et en plus, il chante bien.
Version longue, donc, de la complainte du moignon. Oué, super, ça plombe pas du tout dès le début !
Donc Alessandro est passé par la case studio pour enregistrer une version longue étant donné que dans « Guess what’s coming to diner », on découvre sa chanson par petits bouts. Très sympa d’avoir une version intégrale propre, d’autant que la plus grande partie de la chanson est inédite.
D’ailleurs, le passage instrumental au milieu du morceau est très beau… Après, on a un peu l’impression qu’on reprend toujours le même segment en brodant de la musique autour. C’est bien le principe de la BO de BSG, mais à la première écoute, j’ai trouvé ça un poil too much. Après, j’ai noté les nuances et l’intensité qu’AJ met dans sa voix et j’ai davantage apprécié. On voit que le garçon ne fait pas semblant de savoir chanter, il a une putain de technique. En tant qu’apprentie chanteuse, j’avoue que j’admire.
Et puis de toute façon, j’ai tellement aimé l’évolution de Felix pendant la saison 4… et le fait qu’il faille la perte de sa jambe pour qu’on découvre qu’il a une si belle voix… bref.
Snif.
La fin avec les percus et l’orchestre… wow.

2) The signal
Impossible de ne pas revoir Saul dans l’airlock, Mister President avec la clé dans la main, Kara dans son viper et la course folle à travers les couloirs du Galactica.
C’est marrant parce qu’au visionnage de l’épisode, j’avais été complètement effarée par cette musique, par le choeur super guerrier. Il chante en samoan, si vous vous posiez la question. On pourrait presque faire un haka dessus, non ?
Bref, comme je le disais, la première fois que j’ai vu cette scène et entendu cette musique, wow. L’ennui, c’est que quelques minutes après ça, on nous claque Diaspora Oratorio, et là, c’est plus la peine !

3) Resurrection hub :
L’une de mes plus attendues. L’ennui quand on a entendu la musique en live avec un ballet, c’est qu’il est très difficile de s’ôter ces images de la tête, d’autant que cette piste ressemble énormément à la version orchestrale, pour la bonne raison qu’une réécriture n’a pas été tellement nécessaire.
Bref, à la hauteur de mes attentes, vraiment. Plus encore, sans doute.
On y retrouve les petits accents d’extrême-orient qui seront développés plus tard lors de l’attaque de la Colonie. Il s’agit d’un autre instrument japonais, je crois, une sorte de guitare traditionnelle, très caractéristique à laquelle Bear a eu recours à de nombreuses reprises dans la saison 4.
Sinon, franchement, je trouve la mélodie sublime, et le choix de placer une musique pareille sur une scène de bataille est hyper osée, même si les taikos sont toujours là pour nous rappeler que ça fait boum-boum. Ca apporte tellement de sens et de profondeur à l’évènement auquel on assiste, au fait d’enlever à tout jamais la résurrection aux cylons… rah. C’est au delà de toute description, je trouve.
Je me souviens très bien de la première fois que j’ai entendu cette musique dans l’épisode. C’est rare que je sois tout de suite prise par la musique. Là, ça a été instantané. Et elle m’a poursuivie longtemps. D’ailleurs, je crois bien que c’est ma piste préférée de l’album… c’est celle que j’ai écoutée le plus depuis que j’ai le CD.

4) The cult of Baltar :
Pareil, une piste très attendue, car on avait eu un très bel extrait à Hagen et j’avais trouvé le thème de toute beauté alors même qu’il n’y avait pas de partie chantée.
En parlant du choeur assuré ici par Raya toute seule, d’ailleurs, c’est splendide. J’aime bien le fait d’explorer des sonorités, des dissonances qui ne nous sont pas familières. D’autant que la voix de Raya Yarbrough est sans âge, elle va plonger dans les très graves avec beaucoup de mystère et reste impeccable dans les aigus.
Clairement, y avait de quoi faire, et il s’est bien amusé, le Bear, à nous dépeindre en musique le mysticisme des groupies de Gaius.
D’ailleurs, le thème « mystique » de Gaius qu’on a ici, il ressemble beaucoup, à deux ou trois notes près, à son thème à lui, celui qu’on entend pour la première fois dans « Baltar speaks with Adama » sur le CD de la saison 1. Ce thème-là, on le retrouve justement repris ici, toujours aussi triste et sombre… Il nous raccroche un peu à la réalité.
Très belles percus, aussi. C’était très planant, en live, je peux vous le dire. En plus, la mélodie de base est très simple. Six notes à peine, répétées pendant toute la piste, mais brodées de plein de petits détails annexes. Genius.
Bon et allez, avouez… qui a pensé comme moi que Raya chantait en sindarin ?
(En vrai, c’est du vieil anglais, de l’anglo-saxon, donc pas étonnant que ça m’ait évoqué la langue elfique de Tolkien… )

5) Farewell Apollo :
La cornemuse et tous ses dérivés devraient être décrétés hors-la-loi !
Nan mais sérieux, vas-y, toi, pour coller des nuances à une peau de brebis ou de yak ou de je sais pas quoi !
Heureusement qu’il y a la flûte qui prend le relais parce que l’indigestion n’était pas loin pour le coup… Ah nan, elle revient, la salope ! Rah, c’est laid, dites ! Enfin bon, il pouvait pas y échapper, au thème du briquet, Apollo-les-gros-biscottos.
Pis bon, ça doit être le truc le moins plombant de toutes cette BO, donc ça fait bien plaisir quand même. Uéééé, vazy Mister-President-dans-ton-petit-pull-moulant !
(Au passage tout le monde s’en fout, mais Mister President porte aussi son costume que c’est le mien dans cet épisode, « Six of one », je viens de retomber sur les captures d’écran, uhuhuh.)

6) Roslin escapes :
Nan d’un chien. Je ne me souvenais pas que la musique qui accompagne l’évasion de Laura dans « Blood on the scales » était aussi dingue !
Sacré taf ! Et toujours ces instruments japonais de partout, mais cette fois avec des accents plus européens. L’Ours est joueur, dites donc.

7) Among the ruins :
Nan. Nan mais nan, quoi. Ca me glace les sangs, moi, cette musique, c’est atroce. J’ai l’impression de me retrouver moi aussi sur cette plage maudite et hantée.
Terrible. On retrouve certains échos du mandala, dans « Maelstrom ». Il y a la même idée de malédiction, de mauvais rêve, de truc qui vous échappe et contre lequel vous ne pouvez rien, de folie latente.
C’est très sombre… et je revois beaucoup trop distinctement la tronche de Dualla dans le raptor. Brrrr.
Très étonnée d’entendre la reprise du thème de Saul (« Martial law ») à la fin. En même temps, il est le premier personnage qu’on voit dans cet épisode, et aussi le dernier. Et c’est lui qui nous donne le Final Fifth.

8) Laura runs :
Rohlala, j’adore ce morceau ! L’euphorie mêlée de désespoir de la course de Laura, qu’est-ce qu’on la sent bien dans cette musique ! D’ailleurs, je me demande même si ce n’est pas grâce à ça que ça transparaît si bien dans l’épisode ! Très chouette, j’aime beaucoup. Et j’aime tellement le fait qu’on retrouve une fois de plus un thème familier, celui de Roslin et Adama, décliné d’une manière toute nouvelle. C’est agréable à l’oreille, inconsciemment, devant l’épisode, ça nous permet de comprendre de quoi il s’agit dans cette scène, et quand on s’y entend un peu en musique, c’est super intéressant.
Merci, Bear.

9) Cally descends :
Il y a des morceaux qui sont pas faciles à écouter et que je n’écouterai pas souvent. Celui-ci en fait partie, avec « Among the ruins ». C’est trop dur d’avoir la folie de Cally et sa mort dans les oreilles.
La voir errer dans les couloirs du Galactica avec son marmot sur les bras, hagarde, c’était très pénible.

10) Funeral pyre :
Brrrr… la musique de Great notion est tellement sombre, c’est à peine écoutable. Entre « Among the ruins » et ça…
Très intéressant, en tout cas, d’entendre le thème religieux de Laura (initié sur Kobol, il me semble) réécrit de manière aussi morbide.
Pareil pour le thème de Kara, plus triste, déchirant et funèbre que jamais.
C’est déjà super dur d’entendre les scènes où Laura brûle son bouquin et où Kara brûle sa propre carcasse, mais le coup de grâce, c’est bien le fredonnement qui accompagne les dernières minutes de Dualla. J’espérais secrètement qu’on n’y aurait pas droit… mais si. C’est d’une grâce morbide, à vous glacer le sang.
Et c’est bien la voix de Kandyse que l’on entend. Elle a improvisé ça sur le plateau (chapeau à elle), sans qu’on lui demande quoi que ce soit, et c’est resté.
Michael Nankin qui a réalisé cet épisode a donc appelé Bear pour qu’il insère ça directement dans la musique de l’épisode et il lui a expressément demandé de mettre ça dans la BO. Et il a tout à fait raison quand il dit que ça lui rappelle le fredonnement de Mia Farrow dans « Rosemary’s baby ». C’est tout à fait ça.
Beuh. *déprime à mort*

11) Roslin and Adama reunited :
« I love you. » « About time ».
Que c’est brillant d’avoir récupéré la deuxième partie du thème des deux vieux qui est tellement remplie d’espoir alors que la première est plus mesurée. J’adore, c’est magnifique.

12) Gaeta’s lament instrumental :
La complainte du moignon version instrumentale. M’y attendais pas du tout !
Et c’est fou comme les toutes premières notes sont caractéristiques. C’est pas un thème qu’on nous rabâche depuis quatre saisons et pourtant, en deux, trois notes, c’est identifié. Ca, c’est de la composition efficace. J’aime vraiment bien, d’ailleurs, c’est pas trop lourd, on a le sanglot derrière, accompagné par les percus et… je sais pas trop, ça pourrait être un instrument à cordes électriques, mais c’est difficile à identifier, qui ajoute un petit côté foufou un peu flippant. Très bon.
En plus, la version instrumentale permet bien de muscler le truc… très chouette, j’aime vraiment beaucoup. Je trouve qu’elle en dit très long sur l’évolution de Felix, cette piste.
La deuxième partie, encore plus enlevée est vraiment excellente.
J’ai ouï dire qu’Alessandro Juliani s’était servi de ce thème comme de sonnerie de portable pendant un certain moment. C’est-y pas très meugnon, ça ?

13) Elegy :
Bouah, comment que c’est beau ! Je suis agréablement surprise de retrouver autant de piano. C’est vrai que c’est un élément clé de la deuxième partie de la saison 4, mais c’est vraiment sympa parce que c’est quelque chose qui nous raccorde vraiment à la série. Une sonorité familière, bien occidentale de chez nous…
En plus, je trouve que ce morceau est très cohérent par rapport à « Metamorphosis » de Philip Glass, utilisé dans la saison 2 et supposé être une oeuvre du père de Kara.
J’adore le côté introspectif de ce morceau. Non vraiment très très bien. Et une petite pause bienvenue dans cet album, à côté de tous les autres morceaux qui en mettent plein les esgourdes.

14) The alliance :
Pas grand-chose à dire, j’aime bien l’intensité de la première partie et le thème des FF dont la reprise souligne le soulagement de pouvoir désormais vivre leur vraie nature au grand jour.

15) Blood on the scales :
Le début, c’est le thème de Zarek. (La fille qui a vu les épisodes deux cents fois.)
Et encore ces accents bien japonais, c’est choueeeette ! Hop, on nous remet le thème de Felix… très joli de mêler les deux têtes de la mutinerie comme ça, j’aime beaucoup. Ouh là, un coup d’Apollo ! (La fille vraiment pathétique qui connaît tous les thèmes par coeur.)
Hop, re-un coup de Zarek. Je trouve ça génial, j’ai l’impression de prendre une leçon de musique-à-la-télé chaque fois que j’écoute les compositions de Bear.
Finir ce morceau sur « To have her please just one day wake » (sans les paroles, of course), c’est un très chouette moyen de dire au revoir à Felix.
(*PAN!*)

16) Grand old lady :
Trop de reprise tuerait presque la reprise surtout que je ne suis guère fan de ce thème (« Wander my friend », encore et toujours), mais là, c’est court, c’est concis, et on décide de faire péter le Galactica, donc bon. A la vôtre, les pépés.

17) Kara remembers :
Raaaaaaaah, merveeeeeeille !!! J’osais pas espérer qu’elle soit in-extenso, celle-là (mais il te manque une case, ma pauvre Sorcière, il allait pas zapper un tel truc !).
Revivre les petites hésitations de Kara sur le clavier et la révélation, c’est ENORME ! Et n’avoir que la musique comme support, c’est encore plus génial.
Bref… c’est magique. Décidément, ces albums apportent énormément à la série et à la manière qu’on a de la vivre et de la revivre.
Ptain, j’oublierai jamais le moment où Papa Thrace prend son élan pour plaquer ZE accord et moi qui comprend ENFIN c’est quoi qu’est-ce comme zik. J’vous jure… et ça essaye d’être musicienne.

18) Boomer takes Hera :
Pas tellement de commentaires à faire sur cette piste… de toute façon, il lui a toujours manqué une case, à cette pauvre Boomer, donc bon.
Oui, oui, je la revois très bien choper la gamine et tout ça, tout à fait. Ca me refait penser à une autre piste d’un précédent CD, mais je ne sais plus laquelle… Ah oui, ça y est ! « Standing in the mud » !

19) Dreilide Thrace Sonata N°1 :
Absolument magnifique. Que dire de plus ? Comment il fait pour composer tant de trucs tellement différents, ce garçon ?
J’adore le piano et je suis très sensible à ça. En entendre autant dans ma série préférée, forcément…
Tain, mais les variations, quoi. On dirait qu’il raconte une histoire, Papa Thrace, avec ce morceau.

20) Diaspora oratorio :
Sans hésiter l’oeuvre majeure de cet album, si ce n’est de tous les albums. Chapal à l’artiste. Il a su mettre en musique tellement d’espoir, d’euphorie, de soulagement, de tristesse, de vide aussi. C’est une splendeur, ce morceau. D’une ambition et d’une complexité vraiment hors normes. Quel talent. Le seul ennui, c’est que ça a beau être presque cinq minutes (dont deux minutes et demie d’extase totale), c’est vraiment trop court. Tout comme leur joie, me direz-vous. Pauvre Coloniaux. En écoutant ça, on comprend à quel point la chute est rude quelques instants plus tard.
Si ça vous intéresse, allez donc lire à quel point Bear McCreary a dû sortir ses tripes et la souffrance qu’il a traversée pour composer ces quelques minutes de musique. C’est édifiant. Quelque part, il fallait sans doute bien ça pour illustrer la fin – croit-on – du voyage.
Pour info, le choeur chante en latin… Et les premières notes qu’on entend au début du morceau, ce sont celles qu’on entend pendant tout le reste du morceau. Juste six notes… mais six notes magnifiques qui mettent le coeur à l’envers.

Voilà, that’s it… Hein ? Comment ? Quoi ? Il y a un autre CD ??? Rah, zut, c’est ballot, j’ai déjà passé deux heures et demie cet après-midi à mettre en forme toutes mes notes jetées de-ci de-là ces dernières semaines sur le premier CD, à réécouter et à me documenter… alors si vous voulez bien, je ferai un billet exprès pour le disque intégralement dédié à « Daybreak ». Il le vaut bien.

(Et désolée d’être si longue, j’imagine qu’il y en a deux ou trois qui auront été jusqu’au bout, guère plus, mais ça me fait vraiment plaisir de parler musique, surtout quand j’ai tant de choses à dire dessus… )

Posted by on Juil 20, 2009 in Battlestar Galactica divers | 12 comments

12 Comments

  1. Et à côté de ça, il faut aussi absolument voir les documentaires qui sont sur les DVD (et Bluray) de la saison 4.5 ; ça ajoute beaucoup à ce CD, en montrant l’envers du décors, que ce soit (un peu) par rapport à la composition que par rapport à la réalisation.. qui est tout simplement titanesque ! Bref, maintenant je m’imagine tous les instruments et les artistes derrière cette musique, et je tombe toujours sur le derche..

    "Laura Runs" (dont la compo et réalisation sont détaillés dans les bonus DVD) se joue régulièrement dans ma tête, du coup… =)

    Cet album est juste magnifique… Chaque fois que je l’écoute, je remercie Bear, mais faudrait vraiment que je le fasse en personne un jour.. (Bon les gens.. on se cotise pour lui payer le billet d’avion ? 😀 ) Et dire qu’il a fait sa rock star avec le vieux Olmos comme MC à San Diego, pendant la Comic Con…

  2. Génial comme review 😉
    tu as fait du bon boulot, tu peux aller dormir 😉 hin quoi pas maintenant ? 😉

  3. Non, ne te restreint pas, c’est trop agréable de te lire. Surtout quand, comme moi, on n’est pas du tout musicienne. Et j’aime tes explications.

  4. Je crois qu’on est plus que 3 à être allés jusqu’au bout 😉 Tes analyses sont comme toujours super intéressantes… grâce à toi, la prochaine fois, j’écouterai encore d’une autre oreille…

  5. Raaaah louée sois tu Sorciere d’avoir publié si tôt après ton retour cet article que jattendais baaah depuis le 28^^.

    Très bel article, dans l’analyse et dans l’émotion, j’ai eu l’impression d’entendre la BO en même temps.

    ??a tourne en boucle aussi pour ma part. J’aime beaucoup Gaeta,s Lament’s et j’ai limite eu un orgasme auditif sur kara’s remembers. Ouai carrement! Moi qui est fait de la flute traversière pendant 8ans, cet album me pousserait limite vers le piano le plus proche pour tenter de faire moi même ces quelques notes hésitantes.

    Enfin bref, une oeuvre a part entière, clairement. Bear a du donner de soit pour ces 2 albums. Vu son succès et son degré daboutissement, c’est largement mérité.

    Un grand merci pour lui et pour Sorciere, et bon courage pour la reprise demain 🙂

  6. C’est vraiment génial dans l’ensemble, mais quelques passages à souligner :
    – le Military theme dans "Blood on the Scales" (01’50") est majestueux !
    – la fin de "Among the Ruins" après des dizaines de secondes de calme (entre 06’46" et 07’06") est un de mes passages préférés de cette BO alors que je n’étais pas spécialement fan de Martial law, je trouve les 20 secondes fabuleuses
    – Elegy dans son ensemble est vraiment spéciale

  7. Among the ruins : moi j’ai été hanté par le Destiny Theme de Kara de ce zode pendant des mois… Je suis content de l’avoir, même glissé dans un morceau plus grand.

    Cally descends : Malgré la noirceur de l’épisode, je trouve un certain rythme à ce morceau. Si je n’y pense pas trop, il passe bien… C’est un peu le successeur de Wayward Soldier pour moi.

    En tout, c’est très très bon ! Merci Monsieur Ours ! 🙂

  8. Très sympathique review. Merci pour le nom de la zik au piano dans la saison 2, j’ai revu l’épisode en question ce WE et j’ai essayé de la retrouver dans les 4 BOs, mais sans espoir …

    J’adore Elegy/Gaeta’s Lament et Diaspora pour ma part. Elegy c’est un peu le Battlestar Sonatica des humains, tout aussi hypnotique comme musique au piano …

  9. Ohlalala le truc quoi…
    Déjà que j’étais tout excitée à voir le petit CD made in USA qui venait d’arriver chez moi, alors quand je me suis prise deux bonnes heures pour l’écouter à fond au calme…mais quel pied, mes amis !!!
    C’est magnifique…(bon, on passera le fait que ça me fout quand même le cafard, en même temps qu’une nostalgie pas possible).
    Et puis terminer en lisant ta review, Sorcière… voici une écoute rondement menée ! 😉
    Donc, comme d’habitude, un immense MERCI !!!

  10. Oui et bien je n’arrive pas à me procurer cette BO !!!
    Rupture de stock !!!!!
    Et maintenant on me propose une précommande qui me semble être environ 10 euros plus chère !!!!!!!
    Un conseil à me donner ?

    Je ne doute pas de la qualité de la BO .

  11. Diaspora oratorio

    *bave et surbave*

    C’est tout ce que j’ai à dire !!!

  12. 1) Gaeta’s lament :
    ————
    Rhololo, je m’arrête pas de l’écouter. Le matin, au magasin, en boucle avant l’ouverture. Ce soir, en boucle en bossant. Le morceau dont je me suis tellement moquée "who knew he had such a beautiful voice" muhahahaha, et ben maquarelle c’est beau.

    17) Kara remembers :
    Raaaaaaaah, merveeeeeeille !!!
    ——————–
    La meilleure version entre toutes les versions. C’est splendide. Ca c’est le réveil en ce moment. Et le truc qui porte la fin de journée !

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