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304 : Children of Earth, day 4

Bon euh… je sais pas trop par où commencer si ce n’est que j’ai regardé cet épisode avec un mélange d’horreur, d’incompréhension, d’incrédulité… et surtout une grosse boule dans la gorge. J’ai eu l’impression de voir tout mon monde s’écrouler, exactement comme ça doit être le cas d’une nana comme Gwen.
Je ne crois pas que notre génération ait encore vraiment foi en la classe politique, mais… après avoir vu ça, je me rends compte à quel point, pour qu’on en arrive à produire ce genre de fiction, il faut avoir les boules… je sais pas… C’est plus de la SF, là, ça paraît tellement proche, tellement plausible.
D’une manière générale, tout ça ne me surprend nullement parce que ça fait longtemps que j’ai compris que l’homme était vraiment un monstre en puissance mais… le voir comme ça, brut, glacial, raisonné… ça m’a fait dresser les cheveux sur la tête. Ce n’est qu’une nausée, cet épisode.

Alors chapeau bas d’avoir su mettre en mots et en images l’une des plus grandes craintes de notre société. Franchement, RTD, chapeau.

Et puis pour enfoncer le clou, il y a tous ceux qui restent sur le côté de la route. Ceux qu’on perd en chemin, qu’on sacrifie pour le bien du plus grand nombre… et parfois pour rien, comme c’est le cas d’Ianto dans cet épisode. Parce que là, pour le coup, le pauvre choupinet, il y passe vraiment connement, pour rien. Presque bêtement. Et avec ce qui s’annonce derrière, c’est presque anecdotique, exactement comme les morts d’Owen et Tosh. Quel boulot de merde que ce Torchwood qui dévore tellement de braves petites vies.

Le plus ironique, dans l’histoire, c’est que tout part de 1965, du moment où on va recruter un type que le fait de confier douze mômes à des extra-terrestres laisse de marbre. Tout part du fait que Jack Harkness s’en bat les fouettes, qu’il croit faire une affaire en vendant au Croquemitaine douze enfants dont personne ne veut en échange d’un vaccin contre un virus de grippe (!) qui menace de tuer 5% de la population mondiale. Ben ça alors. Comment que ce petit moment de légèreté va lui revenir dans les gencives puissance douze mille 45 ans plus tard, c’est splendide. (Et à nous, donc !)

L’ennui quand on est immortel, c’est qu’on vit pour voir ses erreurs. Un homme normal n’aurait pas été là pour voir les conséquences de cet acte. Jack, lui, va les voir, ces conséquences. Mieux encore, il va devoir payer, avec les intérêts, et ça, ça veut dire en chier pour l’éternité.

Clement : The man who sent me and my friends to die… can’t die himself !

Eh oué. Du coup, quelque part, c’est pas volé. C’est juste dommage qu’il ne soit pas le seul à en chier, justement. Même si lui va payer le prix fort. Et rien que le regard de ses compagnons au moment de la révélation, c’est déjà…

(Surtout d’un en particulier, d’ailleurs. Pauvre Ianto… ces dernières années auront été faites de ça : de déceptions, de découvertes douloureuses assénées avec froideur par un type qui en a vu tellement d’autres. Pfff… )

Car mis en appétit par les onze (et non douze puisque l’un d’eux a été oublié) enfants de 1965, les 456 reviennent sur Terre, et cette fois, réclament 10% de la population enfantine terrestre.
Jusque là, on peut se dire que bon, c’est peut-être pour les emmener faire du poney sur leur riante planète que les Vomitos veulent embarquer la marmaille. Sauf que ces fureteurs de Terriens, qu’est-ce qu’ils font ? Ils envoient un gus avec une caméra pour regarder sous la jupe du 456 qui représente cette joyeuse communauté. Malheur, fallait pas.

Définitivement pas du poney !!!

(Voilà, c’est exactement ce que j’ai fait. En même temps, je le sentais venir, hein ? Ca m’a trop rappelé les Tommyknockers de Stephen King, oh bonté divine, mais quelle horreeeeur ! )

Donc voilà, 45 ans plus tard, voilà ce qu’ils sont devenus, les gnards. Inutile de dire que le pauvre Clem est à deux doigts de nous claquer une syncope en voyant ça.

Et que du côté des autres, c’est le gros silence qui tue.

Voire les larmes. Franchement, j’ai moi-même failli chialer.

A partir de là, on n’en peut déjà plus. On doit pourtant affronter la scène la plus surréaliste, la plus épouvantable que j’aie vue depuis bien longtemps. La réunion des grosses huiles de ce pays, de ce monde, qui vont décider quels enfants vont mourir pour sauver la Terre. On redoute tellement de les entendre, ces mots, mais ils arrivent à une vitesse terrifiante : eh oui, après tout une bonne petite purge, de temps en temps, c’est pas si mauvais pour la société. Alors si on enlevait les éléments pourris, ou du moins, ceux qui promettent de pourrir dans un futur proche, qui dit que ça ira pas beaucoup mieux après, hein ??

Member of Parliament : The first responsibility of government is to protect the best interests if this country, right ? Then let?EUR(TM)s say it. In a national emergency a country must plan for the future, and discriminate between those who are vital to future stability and those who are not. Now that we?EUR(TM)ve established that our kids are exempt, the whole principle of random selection is dead in the water. Now look : on the one hand you?EUR(TM)ve got the good schools, and I don?EUR(TM)t just mean those who are producing graduates. I mean the pupils who will go on to staff our hospitals, our offices, our factories… our workforce of the future ! We need them. Set against that you have the failing schools, full of the less able, the less socially useful, those destined spent a lifetime on benefits, occupying places on the dole queue- and in the prisons. Should we treat them equally ? God knows we?EUR(TM)ve tired and we?EUR(TM)ve failed, and now the time has come to choose, And if we can?EUR(TM)t identify the bottom 10% of this country?EUR(TM)s children then what on earth are the league tables for ?

C’est que du coup, le Royaume-Uni doit verser 325 000 enfants aux 456, et que ça passe quand même pas franchement inaperçu, 325 000 enfants qui disparaissent.

Donc nos chers dirigeants devisent, s’indignent à l’idée qu’on touche à un cheveu de leur progéniture à eux, tentent de sauver neveux et nièces, sauf qu’il faut pas abuser, ma chère collaboratrice, il faut savoir payer un peu de sa personne sinon le pays est à feu et à sang.

Bref, c’est innommable. J’avais plus une goutte de sang dans le corps pendant toute cette scène. Et qui dure, et qui dure. Et qu’on vit à travers le regard effaré de Lois Habiba.

Et de Torchwood. Et de nous, forcément.
Sauf que grâce au cran de Lois, Torchwood va réagir et s’exposer…

La surprise des huiles lorsqu’elles voient cet insecte insignifiant demander poliment la parole pour leur expliquer qu’ils l’ont dans le fion, j’ai trouvé ça excellent.

(EXTERMINATE !!! Ben quoi, me dites pas que vous l’avez pas reconnu avec tous les Confidentials que je vous ai reviewés ! Ze voice des Daleks, enfin à l’écran !)

Bref, il se trouve que je n’ai pas de capture d’écran de lui, mais dans cet épisode, on se trouve enfin un grand méchant, le premier ministre qui est juste abject de décontraction et de froideur… je l’ai trouvé monstrueux, j’ai eu envie de lui arracher la figure et de la lui faire bouffer.

Enfin, Torchwood est dans la place en la personne de Jack et Ianto… sauf qu’en fait, c’était pas une bonne idée.

Puisque le 456 de service nous claque un sympathique petit virus de derrière les fagots… Alors à Thames House, on est préparé à ce genre de trucs, ça tombe bien. Du coup, les employés vont tous aller crever tranquillement devant les jolies portes bien hermétiques de cette gentille maison.

Encore une scène ravissante.

Maintenant, je mentirai si je disais que je n’avais pas vu venir la mort d’Ianto. De tous les personnages restants (faut dire qu’ils en reste peu), s’il devait en mourir un, c’était lui, surtout après les comptes qu’il demande à Jack dans l’épisode précédent. Ce genre de déclaration sur la vie éternelle, c’est forcément une condamnation à mort. Pas forcément dans Doctor Who, plutôt métaphoriquement, dirons-nous, mais dans Torchwood, ça pardonne pas. On le saura pour la suite. S’il y a une suite.

Donc pendant que Clem rend lui aussi son tablier, Ianto claque du virus des 456. Dans les bras de son Jack.

Et non, mon petit chou. Je pense qu’il ne t’oubliera pas, Captain Jack.

Jusque là, j’étais encore parvenue à retenir mes larmes, mais lorsque Gwen va chercher ses deux compagnons à la morgue, j’ai pas pu. Depuis le début, c’est à travers ses yeux que je suis cette série, et… la voir encore perdre un membre de Torchwood, surtout Ianto, ça m’a bouleversée. J’ai pas pu me retenir. Je me suis mise à pleurer comme un bébé.

Et d’autant plus après le réveil de Jack.

Parce que tant qu’on ne l’entend pas dire « there’s nothing we can do », ben on ne peut pas y croire.
Et pourtant si. Pffff… Je peux pas le croire.

Non mais vous vous rendez compte comment il faut être malade dans sa tête pour liquider comme ça tout un cast principal en l’espace de cinq épisodes ? C’est du délire ! Pourtant, c’est dur pour un auteur de tuer ses personnages ! J’ai du mal à imaginer. Mais bon… chapeau quand même. Il faut avoir de sacrées couilles pour faire ça, oser arracher un personnage tel qu’Ianto aux fans. En plus, c’est dur d’être en colère… parce que depuis le début, on sait que c’est ça, Torchwood. Mais bon… je suis quand même trop triste… Et puis… franchement, j’admire aussi le fait qu’on laisse RTD faire comme il l’entend. Aux Etats-Unis, je ne pense pas que ça aurait été le cas… ou alors difficilement. C’est tellement compliqué de séduire un public, d’imposer des personnages, un concept. Non, franchement, bravo. C’est horrible, mais bravo.

Enfin, ce qu’il y a de bien, c’est que c’est encore trente fois plus horrible dans l’épisode suivant !
(Que je vais avoir beaucoup de mal à reviewer, je vous préviens.)

Posted by on Juil 11, 2009 in Torchwood | 15 comments

15 Comments

  1. Hmph….
    Bon sinon, il était déjà dans les bandes annonces Mr voice of the Daleks.
    Et aussi, comme c’est la crise ils font du recyclage chez la BBC, parce que nous ressortir aussi tôt le truc qui servait de toclafane pour nous faire le gamin ça passe pas super inaperçu!

  2. Oh bé c’est pas nouveau, ça, et ils ne s’en cachent pas du tout, au contraire. Pis tu vois, tu n’aurais rien dit je ne m’en serais même pas rendu compte, donc bon… j’avoue que j’avais d’autres choses en tête que regarder ce genre de détails à la loupe… je sais pas comment tu as fait pour remarquer ça dans un moment pareil… 😉

  3. Ahlala Ianto…. J’ai prié pour qu’il ne meure pas, j’ai espéré jusqu’a la fin qu’il allait être sauvé, tout en sachant que c’était pas possible 🙁
    Le fait qu’il meure en étant persuadé que dans 100 ans, Jack l’aurait oublié, ça m’a juste dévastée. J’en ai pleuré comme une madeleine!
    Et la scene avec Gwen….j’aime pas beaucoup Gwen, mais dés qu’elle pleure, ben je pleure. La voir pleurer Ianto, ben ça m’a juste achevé ;-(

    Je me suis fait la réflexion qu’a Torchwood les morts ne sont jamais sereines: Suzie s’est suicidé, Tosh est morte sans jamais avoir avoué ses sentiments a Owen, Owen avec le regret d’avoir raté Tosh, et Ianto….

    Par contre j’ai adoré la soeur de Ianto et son mari. Je le prenais pour une beauf de base qui s’est révélé être un vrai middle class hero. L’opposition avec les gars du gouvernement est vachement manichéenne, mais j’ai beaucoup aimé.
    Et comme toi, j’ai été partagée entre la terreur de les voir prendre CES décisions là Si rapidement, et l’horrible sentiment que dans la réalité ça se passerait sûrement ainsi. Ce qui m’a relativement déprimée, pour la journée :-/

  4. Ah ben moi c’est le suivant… m’en suis toujours pas remise, ça m’a fichu un cafard vraiment tenace. :-/

  5. Je te rassures (ou pas) le suivant n’a rien arrangé. J’ai vu les Day 3,4 et 5 hier et bon ça a été une vrai claque assez violente!

  6. Je me suis forcée à faire une pause d’une journée à chaque fois, mais je me suis dépêchée de regarder le 5 ce matin histoire de ne pas me faire spoiler… ben j’aurais pas dû !

  7. Si les négociations avec les 456 de l’épisode précédent m’avaient glacé le sang, c’est la réunion des grosses huiles qui m’a donné la nausée. On dira ce qu’on veut du Prime Minister, mais la Denise (?) (que c’est aussi la secrétaire de Jackson Lake dans State of play) qui protège ses fesses tout en sacrifiant les plus démunis, quelle horreur…
    Et de se dire qu’au pied du mur, effectivement on ne peut pas rester réfléchir trois plombes…

    Ianto ? La cerise sur le gâtal. *tête > mur*

  8. Tout à fait, d’autant plus qu’ils doivent gérer un problème que leurs prédécesseurs ont mis en route un demi-siècle avant… mais l’empressement qu’ils mettent à choisir les sacrifiables… putain que c’est humain.

  9. Pareil cet épisode, et surtout celui d’après que j’ai vu aujourd’hui, m’ont pourri mes journées. Je pensais pas que ça pouvait être pire après celui-là et ben si !
    J’ai craqué au moment où Gwen découvre Ianto, ça m’a achevé après le discours qu’il venait de tenir à Jack sur le fait qu’il allait l’oublier… Pauvre Ianto, vraiment dégoutée qu’on nous le tue pour rien…
    Cet épisode m’a scotché sur ma chaise du début à la fin, effarée devant les discussions froides entre politiques et sur le fait que finalement d’une certaine façon, on comprenait leur choix, ce qui rend le truc encore plus éc? »urant.
    Vraiment horrible cette saison, RTD nous a pondu un truc vraiment insoutenable ! Je suis à ramasser à la petite cuillère, comme beaucoup…!

  10. "Pis tu vois, tu n’aurais rien dit je ne m’en serais même pas rendu compte, donc bon… j’avoue que j’avais d’autres choses en tête que regarder ce genre de détails à la loupe… je sais pas comment tu as fait pour remarquer ça dans un moment pareil…"

    Sincèrement pendant que je regarde pour la première fois un épisode d’une série je ne cherche pas du tout les détails insignifiants, mais c’est vrai qu’en général une fois qu’il est fini j’analyse plus la forme que le fond, c’est plus simple surtout quand c’est un épisode un peu dur.

    Cela dit, pour le coup lui (ou elle) ça m’a sauté aux yeux. Dès que je l’ai vu j’ai pensé "the stars are made of diamonds" et ça faisait vraiment écho parce que dans l’univers du Docteur la seule chose aussi abjecte que cette histoire d’enfants c’est bien celle des Toclafanes.

    Maintenant que j’y repense, qu’est ce qu’ils ont tous ces aliens à vouloir nous ponctionner de 10% des enfants ou de l’humanité? C’est déjà ce qu’avait fait le Master à l’époque… et dans le fond il n’était pas si sadique, lui ne nous a pas laissé cette espèce de non choix…

  11. Mais… maintenant que j’y repense, les Toclafanes, c’était pas des enfants mais juste des gens, non ? Evidemment, là on avait l’exemple d’un enfant puisque cette quiche de Martha Jones avait sympathisé avec un, mais sinon, c’était juste des gens de tous âges et tous sexes, non ? J’avoue que je ne vois pas bien le rapport… ça doit être parce que je suis encore dedans et que je n’ai pas envie de le voir ni de penser au Docteur, là tout de suite… je suis encore trop sous le choc, et j’ai même super mal dormi. Pour moi, c’est vraiment pas comparable, le seul truc qui m’a rappelé un autre épisode, c’est le premier Christmas Special et les gens postés sur les bâtiments à cause de leur groupe sanguin. En même temps, j’ai une mémoire de merde, donc bon. Là, en l’occurrence, ça m’arrange. Je préfère me concentrer sur un génocide à la fois. 😉

  12. Le rapport c’est l’abjecte, bon on est d’accord qu’en général ce qui se passe dans doctor who ou torchwood c’est toujours horrible, mais ça l’est rarement à une telle échelle, et en l’occurence le gamin toclafane et le gamin de 1965 ont exactement la même tête donc ça m’y a tout de suite fait pensé. (Puis ça m’évite de parler de Ianto)

  13. C’est effectivment une nausée géante cet épi! Magnifiquement horrible!

    Et alors l’homme je savais que l’homme était pourri jusqu’à la moelle mais la reunion des hautes figures du monde ahem au secours atrooooooooooooce…et ça ne m’étonnes meme plus!

    Bref du coup pause jusqu’à demain pour le dernier parce que je le sen smoyen vu les commentaires ^^’

    Pi déjà que la fin de DW mavait detruite on va pas se la refaire !

  14. Well, well, well..ce n’était pas une bonne idée de commencer 2010 en regardant d’un coup les 4 premiers épisodes de Children of Earth. Je crois que je vais laisser le dernier pour demain sinon c’est l’insomnie assurée! Dans le 4ème épisode lui-même, je m’étonne que Loïs ne se soit pas mise à hurler au milieu de l’étalage des arguments pour la sélection des enfants (enfin des ‘unités’ pour les deshumaniser). Cette fille a du cran.
    Sinon je n’étais même pas étonnée des arguments utilisés par les politiques, si froids, si ‘cliniques’, ce qui montre bien le peu d’illusion restant à notre génération. Et Jack aurait pu se douter que les 456 utiliseraient un virus pour déclarer la guerre. Si ça se trouve, en 1965, ils avaient eux même répandu le virus pour obtenir des enfants en échange de l’antidote. Et j’ai malgré tout versé une larme pour Ianto malgré le fait que j’avais été spoilé à fond depuis juillet (forcément..)

  15. C’est après avoir vu les épisodes 1 à 3 de la saison 4 que je me suis décidé à regarder cette saison que je n’avais pas eu le courage de regarder cet hiver après avoir rattrapé les saisons 1 et 2.

    Tout le long de cet épisode, j’ai pensé à la série de David Gemmel "Le Lion de Macédoine". Il s’agit (pour faire court) d’une série de 4 romans de fantasy historique : le dieux du chaos va s’incarner dans un humain, les cités grecques se déchirent, Philippe de Macédoine rêve d’un empire, le bien, le ma,l etc…

    Dans le dernier tome, dans un monde parallèle, on évoque un roi à qui le dieu du chaos à demandé de tuer un nouveau-né sur le mur de Thèbes ou de voir la cité être détruite par ses armées. Le roi décide de ne pas céder, et la citée est détruite et rasée, effacée de la surface du monde. Faut-il se compromettre pour la survie du plus grand nombre, ou combattre sans espoir ? Vivre déshonoré ou pourrir avec honneur dans la fosse commune ?

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