Categories Menu

Planet of the dead

Franchement, j’aurais pu faire ma chieuse, minauder que bon, il nous reste quatre ou cinq pauv’ zodes avec Ten et qu’on n’a pas le temps de s’arrêter pour cueillir des marguerites en route, mais je me suis tellement éclatée devant cet épisode que je ne vais pas faire la fine bouche : c’était super !
Pas compliqué, juste du pur Doctor Who bien décomplexé qui va pas chier très loin, mais qui nous rappelle pourquoi on s’est mis à aimer cette série.

De l’action, de la rigolade, des extra-terrestres bien caoutchouteux… et une donzelle plutôt hardie dans son genre. Un genre nouveau, d’ailleurs.

J’étais vraiment prête à la détester, cette Lady Christina de Souza, mais… je ne sais pas pourquoi, finalement, elle m’a plu. Et Michelle Ryan est tout à fait honnête, là-dedans. Donc une bonne surprise. Surtout qu’elle est méga-couillue, qu’elle se la joue Indiana Jones pour dérober une chopine qui vaut des milliasses, et qu’elle fait ça pour l’éclate.

Intro très efficace, d’ailleurs. Comme toujours, on sent vraiment que tout le monde s’est bien marré à faire cet épisode. Y compris Murray Gold qui nous sert une composition à la James Bond qui vaut vraiment le détour.

Et j’ai adoré l’humour de Christina.

Quant à l’entrée en scène de Ten, dont on n’aperçoit pour commencer que les mythiques Converses, avant de distinguer le « psychic paper » qu’il badge en montant dans le bus, et qui, toutes dents de rat dehors, salut sa compagne du jour en lui tendant un bout de son oeuf de Pâques…

Ten : Hello, I’m the Doctor. Happy Easter !

Rah. Du pur Doctor Who. Que c’est bon, ça, après quatre mois de disette !

Il ne change guère, notre Docteur. Aimant se mêler au commun des mortels pour se livrer à son petit hobby, traquer les petits défauts dans le tissu de la réalité. (Peut pas aller à la pêche ou jouer aux boules, comme tout le monde ?)
Ah, les braves gens qui l’entourent ne se doutent pas de ce qui les attend !

D’ailleurs, une fois de plus, l’entourage du Docteur est super soigné et ça fait vraiment plaisir, même si j’aurais aimé en savoir encore plus sur eux… Pas un foie jaune dans l’équipe, cela dit, cette fois. Pas un pour menacer de tout faire péter ou de faire rôtir Ten à la broche. Que des braves gens terrifiés, un peu à la manière des rescapés du Titanic.

(Et je ne parle pas des décors que j’ai trouvés à couper le souffle.)

Bien sûr, la terreur aidant, ils seraient bien tentés de tout mettre sur le dos du seul gars qui a l’air de capter ce qui se passe. Ca nous vaut cette réplique excellente qui montre bien que oui, on est conscient que ça évoque beaucoup Midnight.

Ten : Human on busses, always blaming me.

Et il y a Christina, donc. Pas effrayée pour deux sous, elle. Tranquille, sort les lunettes de soleil. Et une fois à l’abri des flics qui lui collaient au train, se met très vite à observer avec un intérêt et un amusement non dissimulés l’énergumène qui fait son show là, juste devant.

Oh, David, personne ne fera jamais ça aussi bien que toi !

Donc, notre pauvre autobus a traversé un vortex, un trou de ver, whatever.

Ah bah tant qu’à faire, déclare le chauffeur, hop, on la refait dans l’autre sens !

Inconscient !!!

Voilà, donc, les enfants, ce qu’il ne faut SURTOUT pas faire !
Forcément, ça crie, ça s’agite, oh mon Dieu, oh mon Dieu, on va tous mourir.
Bien sûr, c’est là qu’il est temps d’élire un leader, la personne qui va prendre en main les vacanciers et donner les ordres. Mon Ten, en être supérieur tout auréolé de son autorité naturelle (et parfois quelque peu soûlante), s’élance déjà vers l’aimable assistance pour proposer (voire imposer) ses services. Et là, chose inédite, inconcevable, inouïe ! Il se fait doubler par son assistante de l’épisode qui met tout le monde d’accord en offrant un speech de délire au reste des boy-scouts.

Qu’à cela ne tienne, ça lui fera des vacances, au rat musqué.

D’ailleurs, ça va être ça pendant tout l’épisode. Toujours un train d’avance, la miss Christina. Très observatrice, très autoritaire, mais fine analyste. Elle comprend très vite à qui elle a à faire, mais pas question pour autant de se faire dévorer toute crue par le grand méchant Time Lord. Elle est une Lady, elle.

Par contre, côté PR, elle en a encore à apprendre. Dans ce registre-là, Ten est vraiment le meilleur, et c’est bien comme cela qu’il arrive, le plus souvent du moins, à motiver les troupes. Et insensiblement, c’est lui qui reprend les commandes. En faisant quoi ? En laissant les gens parler d’eux, trouver eux-mêmes les raisons de tout faire pour rentrer, et ne pas se laisser aller. Ca, c’est la grande classe made in Gallifrey. Et ça lui vaut le respect immédiat de toute la petite bande.

Y compris celle de la Lady.

J’adore plus que tout à quel point le Docteur arrive à rendre si spéciaux des gens si normaux. Plus normaux que normaux, d’ailleurs, limite ras des pâquerettes. Mais mignons comme tout. Des gens simples, quoi.
Et puis très bonne équipe, en passant, le Lord et la Lady. Evidemment, l’alchimie est immédiate. Même si le côté un peu arrogant de la demoiselle met une certaine distance entre les deux, ils sont tellement cool lorsqu’ils marchent ensemble sur cette planète pourtant bien peu accueillante que ça m’a totalement fait délirer. C’est là que j’ai décidé que j’adorais Christina.

Et j’ai même décidé que je serais contente qu’elle l’accompagne un peu plus longtemps.
Pour une fois que le Docteur n’est pas escorté par une hystérique qui roule des yeux médusés à chaque carrefour, c’est reposant.
Et presque étonnant, hein, mon Ten ?

D’ailleurs, dès cette petite marche digestive (ou apéritive, ça dépend de l’heure de la journée), on sent bien que la fascination du Time Lors commence à faire effet. Elle ne le quitte plus des yeux.

Christina : It’s Christina de Souza. To be precise, Lady Christina de Souza.
Ten : Ooh, that’s handy. Cos I’m a Lord !
Christina : Seriously ? The Lord of where ?
Ten : It’s quite a big estate.

You bet !

Bref, Lady de Souza ne manque pas de mystère et de répondant, et ça, c’est sympa. Et elle flaire tout de suite l’extra-terrestre là dessous. D’ailleurs, ça l’étonnera à peine lorsqu’elle en aura la confirmation.
Fou comme ça nous change. Alors elle, pour le coup, on aurait pu, je pense, se brosser sérieusement Martine pour avoir droit à un « bigger on the inside than on the outside ». C’est sans doute pour cela que ça ne pouvait pas marcher. Mais bref.

Evidemment, un large « NAAAAAAN ! » lorsque le Docteur décide de faire appel à UNIT.
Alors ceux-là, mais qu’ils restent juste à moisir sur leurs terrains militaires de merde, quoi !
Heureusement, UNIT nous sert un splendide geek qui ne dépareillerait pas dans une convention de Star Trek tellement il est à ça de mouiller son slip kangourou quand on lui annonce le Docteur au téléphone.

Là, on se dit que pour le coup, on est moyennement aidé, mais attention, Jean-Claude. C’est pas con, l’idée du geek. Parce qu’avant même d’avoir rencontré le Docteur, il en est déjà raide fou, limite c’est son ami imaginaire, quoi. On va l’enfermer avec Elton et les autres.
Donc au final, ça va bien nous avancer pour sauver les petites miches du rat et de ses compagnons d’infortune.
Enfin en attendant pauvre garçon, quand même.

Bon, comme le soleil brille et qu’une douce brise caresse les herbes hautes, le seigneur et sa dame décide de partir cueillir des colchiques dans les prés histoire de faire plus ample connaissance.

Christina : You look human.
Ten : You look Time Lord.

(Adoré ce dialogue.)

Et aussi de faire connaissance avec les populations indigènes (ou pas).

Donc là, pareil, je suis vraiment désolée pour ces gens, parce que c’est quand même pas de bol de venir au monde avec une trombine pareille, quoi. Et dire que les deux ou trois fois où on aperçoit leurs pattes avant de voir leurs tronches, je me marrais que c’était la planète de Docteur Gang, enfin bref. Jeff Goldblum, on pense à toi, hein.

L’on découvre dans une très jolie scène bien Time Lordienne que cette planète prospère un an plus tôt a été dévastée par une invasion de bêbêtes répugnantes métalliques. A l’heure qu’il est, on attend les grenouilles, la grêle et les moustiques.

Et que le sable, ben c’est tout ce qu’il reste de ses villes, de ses habitants, etc.

Et la Souza, ça l’éclate, ma foi. Ptain, sérieux, qu’est-ce qu’on s’marre, Docteur !

Ah là, pas besoin de jouer les bandits de grand chemin pour prendre un pied d’enfer. Un peu triste, quand même, de se dire que la pauvre gosse en est réduite à ça, un peu comme le Docteur, quoi.
Il n’empêche que pour une fois, eh bien pour une fois, David Tennant n’aura pas eu à passer trois jours suspendus à des ficelles avec les pieds dans le vide. Ah, j’en ai ri pour lui tellement il est de notoriété publique qu’il déteste ça. Et que Russel T. Davies adore les intrigues verticales, lui. (Je me demande ce qu’en penserait Sigmund.)

Alors hop, en piste, jeune fille.

Et elle est charmante, dites donc, si sûre d’elle, et tout.

Pris de court, le Ten. L’avait pas vue venir, celle-là. Belle combinaison, en tout cas, et redoutablement efficace.

Notre Ten, toujours le premier à sauter, réduit à l’attente et à l’impuissance. Et qui découvre ainsi le secret de sa cavalière.

Ten : It’s the Cup of Athelstan. Given to the first King of Britain, as a coronation gift from Hywel, King of the Welsh. But it’s been held in the International Gallery for 200 years, which makes you, Lady Christina, a thief.
Christina : I like to think I liberated it.
Ten : Don’t tell me you need the money.
Christina : Daddy lost everything. Invested his fortune in the Icelandic banks.
Ten : No, no, no, if you’re short of cash, you rob a bank. Stealing this, that’s a lifestyle.
Christina : I take it you disapprove ?

Ten : Absolutely. Except… That little blue box. I stole it. From my own people.
Christina : Good boy. You were right. We’re quite a team.

LOVE THAT !

D’abord, c’est super rare de l’entendre parler de ça, et je crois que c’est la deuxième fois seulement qu’il évoque son larcin. Leur style de vie est vraiment très similaire, ils ont beaucoup de choses en commun, y compris le détachement et l’appel des sensations fortes. Bref, oui, ils font une super équipe. Malheureusement, je pense que Ten n’a pas besoin de ce genre de compagnon. A eux deux, ce serait la quête permanente des limites, jusqu’à les trouver, certainement. Le Docteur, il a plutôt besoin de quelqu’un pour lui rappeler où elles sont, ces limites. D’autant que tout comme lui, Christina est une fuyarde, une criminelle. Donc aussitôt que j’ai capté ça, j’ai compris que d’une manière ou d’une autre, Christina ne serait pas la prochaine assistante.
Et en fait, je n’ai jamais pensé qu’elle pourrait mourir. La mort, c’est bon pour les jolies petites choses telles qu’Astrid Peth qui s’en vont avec la grâce d’un ange. Les Christina de Souza, ça ne meurt pas, pas plus que les Donna Noble, d’ailleurs. C’est du solide, limite c’est du suédois, ça tiendrait des siècles. Ca en chiera en serrant les dents, mais ça clamsera jamais. C’est de la brunette de compète, quoi.

Dans tout ça, on a récupéré le cristal qui devrait faire démarrer l’autobus puisque le rat musqué a décidé que sans le bus, point de salut. Et surpriiiise, finalement, c’est pas le cristal mais les attaches qui vont faire le truc. Arf.

C’est là que notre geek devient bien pratique : depuis que la sainte parole de Ten a atteint ses oreilles de chou, il a décidé qu’il préférerait crever pour le Time Lord plutôt que refermer ce vortex qui menace le royaume de sa très gracieuse majesté.

Pas chiée, la Martha Jones bis, en passant.

Hop, ni une ni deux, après avoir tacossé d’importance le gobelet d’Indy ou de Mel Gibson, je ne sais plus, le bus décolle. Et puis bien.

Pratique un Time Lord. Je parie que même une essoreuse à salade, il serait capable de la faire voler.

Tadaaaa !

Et Londres a même pas été trop abîmé, ce coup-ci !

Evidemment, on attendait le schmutzele depuis le début, j’veux pas dire.

Une de plus. Quelqu’un tient les comptes ?

Et tout le monde de se jeter aux genoux de notre héros à qui on ne demande même pas de jouer les modestes, parce que bon.

Ah, Christina. Elle y croyait tellement. Contrairement à toutes les autres, elle aurait sauté à pieds joints à bord du Tardis, laissant avec plaisir tout le reste derrière elle.

Et nul doute que ce partenariat a effleuré le Docteur tellement sa réponse est nette et sans appel.

Ten : People have travelled with me and I’ve lost them. Lost them all. Never again.

Eh ben à ce régime-là, elle a intérêt à être spéciale, la prochaine. Autant que Rose l’a été lorsque Nine a décidé de l’emmener, j’imagine.
J’adore le fait que là, le Docteur fasse à cette ravissante demoiselle aux yeux de cristal le coup du : « C’est pas toi, c’est moi. »
Tellement humain.

Et puis pour moi, le coup de massue final, ça a bien sûr été, comme pour vous tous j’imagine, le retour de la chanson du Docteur, évoquée par Carmen la télépathe.

Carmen : You be careful. Because your song is ending, sir.
Ten : What do you mean ?
Carmen : It is returning. It is returning through the dark. And then, Doctor… Oh, but then… He will knock four times.

Qui ? Quoi ? Heing ???

Qui frappera quatre fois ? QUI ??? Le Master, dites ? Ce serait trop bieeeen !

Bon, et non, Ten qui fait délivre Christina, ça ne me fera pas oublier les paroles de la vieille, nonononon !

C’est sympa, cela dit.

Thank you Doctor.

Et plus tard cette année, on aura donc Servilia dans une aventure sur Mars. Rah, j’ai trop hâte, Mars, c’est trop trop de la balle !

Bon, les gars, je suis super contente. Ca m’a vraiment beaucoup plu, je me suis beaucoup amusée devant cet épisode, et s’il a ses petits défauts et ses petites lacunes, je m’en fous, j’avais juste besoin de ça, surtout que c’était très SF, exactement comme j’aime. La seule chose que je lui reproche, c’est d’avoir été trop court, surtout face aux vaches maigres qui nous attendent.
Avec un peu de chance, on aura quelques Torchwood cet automne, non ?
En tout cas, j’espère que vous aussi ça vous a plu !

Posted by on Avr 12, 2009 in Doctor Who Episodes | 24 comments

24 Comments

  1. Moi j’aauss adoré Christina.Super compagn pour Ten. Comme elle dit: "We are made for each other". Elle a de la reparti.Lorsque ils nous ont sortis UNIT que j’aurais Martha mais merci mon Dieu non. Enfin bref j’adere au Malcom Fan Club et au Doctor Fa Club presidé par ce même Malcom. Jai vrament adoré ce personnage.
    Mais la fin m’a achevé. Je sais pas comment je vais faire pour attendre novembre (selon RTD the waters of Mars, c’est en novembre).

  2. Vu le regard du Doc, qui comprend tout de suite, tatatata, hein, comment dire…
    John Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimm !!!!!! <3

    En tout cas je suis très très d’accord, un doc comme ça, ça fait un bien FOU !

  3. (Bon, aucun spoiler dans mon commentaire, je ne fais que des suppositions. J’essaye de ne pas regarder les dernières infos sur les spéciaux qui sont en train d’être tourné, donc je ne sais pas trop ce qu’il en est)

    The Waters of Mars = War of the Master
    Ou the war of Master
    Ou Wars of the Master, m’enfin bref, un anagramme on dirait bien…non ?

    Et puis j’ai vu cette capture d’écran :
    i41.tinypic.com/rvy7pd.jp…

    (l’inscription tout à gauche héhé)

    Et j’ai trouvé cette vidéo très intéressante, et je trouve l’idée pas bête, en plus RTD planifie toujours ce qui va se passer longtemps à l’avance (bad wolf, torchwood, saxon, etc) :
    http://www.youtube.com/watch?v=9...

    Pour moi "He will knock 4 times" : le son des tambours, quand The master reproduisait ce son, il tapait toujours 4 fois.

    Et d’après RTD dans le Confidential, c’est quelque chose de vraiment mauvais.

    Ahlala, dire qu’on va devoir attendre la fin de l’année pour voir la suite bouhouhou !

    Bon sinon, oui oui ça m’a plu, mais Michelle Ryan, je peux pas quoi…déjà quand Merlin elle m’avait exaspéré, mais là c’est pas mieux.

  4. C’est fou, instinctivement, j’ai tout de suite pensé à lui, mais c’est peut-être parce que je le veux très fort !

  5. T’es pas la seule, mais de toute façon, qui ça pourrait être d’autre ?

    Pas Davros, il est surement bel et bien mort.
    Le Docteur bis ? Euh je doute que Tennant veuille encore jouer deux rôles en même temps.
    Daleks ? Nope, RTD oserait pas
    Cybermen ? Déjà eu dans le spécial de Noël

    Et je ne vois personne d’autre à part le Maitre (et John Simm gniiiiiii) qui pourrait être candidat au retour, surtout si c’est quelqu’un qui va revenir des ténèbres, et à cause de qui le Docteur va régénérer.

  6. Mais ouiiii c’est trop évident ! Qui d’autre que John Simm pourrait être mieux placé pour nous faire dire nos adieux à David de toute façon ?

  7. En même temps, z’êtes mignons, mais le Master, c’est plus forcément John Simm… ce serait super, mais John Simm, il est mort, dans la série.

  8. C’est pas faux, mais bon, on a toujours une bague d’espoir…

  9. Bah oui mais la bague ? Si ça se trouve il y avait son adn ou un truc comme ça contenu dedans, lui permettant de retrouver la même apparence (ou alors une excuse bidon, enfin bref). Ca peut pas ne pas être John Simm pour moi.

  10. Et les Slytheen ? 😉 ??a pourrait être les Slytheen :p

    "Rah, j’ai trop hâte, Mars, c’est trop trop de la balle !"

    Ouiiii on le sais que t’a une jolie balle 🙂

  11. il me semble que RTD a dit a propos du message final que ce n’est pas ce qu’on pourrait pensé ( donc c’est sûremet autre chose que le master )

  12. Il me semble avoir lu quelque part que Simm pourrait faire son retour dans la série (de son propre aveux) mais qu’il lui était interdit dans parler dans l’immédiat…

    En même temps c’est le moment ou jamais pour lui de faire son retour, car je pense que Matt Smith se ferait complètement bouffer par le charisme de Simm

  13. J’ai ri, j’ai pleuré, j’ai trépigné, j’ai tremblé… Si c’était le dernier épisode fun avant la fin, c’est réussi. C’était bien bô… Ah les souvenirs d’Abydos… Et les bébêtes volantes, superbes, flippantes à souhait. Je crois que ce seront mes préférées des nouvelles espèces de la série après les Oods. 🙂

    Content de voir un autre transfert de Skins aussi avec Posh Kenneth (Barclay ici), je croise les doigts pour Cassie en companion d’Eleven.

    Et on va trop revoir le Master. Même Rusty l’a semi confirmé en interview l’autre jour… Après, je préfère ne pas trop étaler ça ici, profitons déjà de ce zode

  14. pour qui suivent le tournage , il savent de quoi il en retournent : ce qui est sûr , ce qui n’est que rumeur . Pour plus d’infos il y a un interview interessant dans le daily telegraph de RTD
    http://www.telegraph.co.uk/cultu...

    Bon si bien sûr vous ne voulez vous faire spoilé de près ou de loin de clicker pas ^^

  15. Nan mais c’est bon, il faut arrêter de tenter les gens, ceux qui veulent être spoilés peuvent faire leurs recherches, il me semble ! Merci !

  16. sinon pour ce qui est de l’épisode je l’ai adoré , en particulier le personnage de Malcom ^^

  17. J’ai vraiment adoré à cet épisode aussi ! Bien plus que celui de noël !
    Plein d’énergie, de répliques qui fusent et j’ai bien accroché au perso de Lady Christina qui prend les choses en main à la place du Doc !
    Pour la prophétie, ça m’a aussi fait penser aux drums du Master mais on verra bien !
    "The Waters of Mars" a l’air plus angoissant que celui-ci déjà.

  18. bouh, vais devoir attendre jeudi pour le voir!! (suis à Rome), ça donne envie!

  19. Je me souviens pas qu’il ait déjà dit qu’il avait volé le tardis, c’était dans quel épisode?
    Et puis, bon j’ai pas vu la série originale, mais il avait déjà le tardis (forcément) et il sociabilisait un peu avec les autres timelords pas encore morts, non? Alors comment il aurait pu le voler?

  20. Comme d’habitude, je suis toujours en retard pour regarder les épisodes et donc mettre un commentaire, mais comme vaut mieux tard que jamais ^^
    Alrs j’ai noté quelques petits trucs ; certaines allusions ont pu m’échapper vu qu’il me reste pas mal d’épisodes de la saison 4 à regarder même si j’ai déjà été pas mal spoilée…[se retient de ne pas tout regarder d’un coup pour faire durer le plaisir jusqu’à fin 2009]

    Déjà quand le Docteur fait raconter à se compagnons d’infortune ce qui les attend chez eux , tout de suite on se dit qu’on ne se plaindra plus jamais de ne pas avoir une vie aussi passionnante qu’on le souhaiterait ! Pauvre Angela qui dit que sa fille et son mari l’attendent à la maison et qui à la fin de l’épisode se rend compte que personne ne s’est rendu compte de son retard…

    Le thème selon lequel le Docteur semble être une malédiction pour son entourage revient également sur le devant de la scène, à la fin mais aussi par une remarque de la capitaine de l’UNIT :

    I know. We all want to meet him one day, but..
    – We all know what that day will bring.

    En revoyant le tout premier épisode de la nouvelle série, je me suis rappelée que la première victime de cette ‘malédiction’ était le père de famille qui renseigne Rose sur le Docteur. C’est un des premiers à mourir sous l’assaut des mannequins en plastique car il s’arrête un instant et se dit ‘c’était donc vrai…’ et couic 😉

    Et grâce à Malcolm et ses unités de mesure personnelles , on se demande mais qui est ce Bernard Quatermass ? J’ai cherché dans mes vieux souvenirs d’études de physico-chimie si ce ne nom me rappelait à un scientifique quelconque… C’est bien un physicien mais imaginaire, sans doute peu connu des français : fr.wikipedia.org/wiki/Ber… (merci google)

    Ah et vers la fin, j’ai eu à peine le temps de me demander comment seraient accueillis les deux réfugiés ‘homme mouche’ sur la Terre qu’ils étaient déjà bouffés… Pratique hein ?

    Mais c’est qu’il était rudement bien cet épisode spécial !

    Sinon pour les quelques images du prochain spécial…
    Is there ‘Life on Mars ?’
    Je vois bien un joyeux mélange des films ‘Dark Water’ http://www.allocine.fr/film/fich...
    et Planète rouge : http://www.allocine.fr/film/fich...
    et puis si John Simm pouvait revenir aussi…

  21. Un excellent épisode ! J’ai adoré…

  22. Hello !

    Bon alors mademoiselle propriétaire de ce blog je ne vous connais pas du tout. Mais limite je crois que si je vous croisais là tout de suite dans la rue je vous ferais un gros câlin, enfin j’en aurais bien envie mais bon y’a un minimum de politesse à respecter tout de même. Bref.
    Je viens de lire l’intégralité de votre résumé et je l’ai trouvé génial. Vraiment. Très, très bien. Et moi qui cherchait à la base une image de la Big Blue Box du Docteur je suis restée scotchée face à ce texte entièrement consacré à ce super épisode de Dr Who. Tant pis pour la Blue Box (la grande question étant comment j’ai réussi à atterir ici en faisant cette recherche -_- ).

    Je n’ai qu’une chose à dire : respect, ouaip j’adore votre style d’écriture, c’est mordant et drôle et sympa. Je buvais mon thé et j’ai failli en recracher sur mon pauvre clavier tellement j’avais envie de rire, finalement j’ai posé ma tasse et continué ma lecture. On pourrait se demander où est l’intérêt de lire un article sur un épisode que l’on connait limite par coeur mais là j’étais captivée.
    De plus votre vision des personnages correspond pas mal à la mienne et je plussoie à l’idée que vous émetter ici : "J’adore plus que tout à quel point le Docteur arrive à rendre si spéciaux des gens si normaux. Plus normaux que normaux, d’ailleurs, limite ras des pâquerettes. Mais mignons comme tout. Des gens simples, quoi." Je trouve aussi que c’est une des plus grande qualité du Docteur de réussir ceci, c’est même pas humain quoi de sublimer des êtres tout ce qu’il y a de banal en quelques mots et un sourire.

    Et la Lady est très bien mais effectivement je ne vois pas comment elle aurait pu continuer avec Ten, ils se ressemblent vraiment trop. Enfin bon une demoiselle qui a de la suite dans les idées c’est bien pratique parfois.
    Le geek physicien ça c’est une idée qui déchire sa mémé en string, enfin c’est ce que j’ai trouvé. De même que les mouches tout droit sorties d’un film des années 70, bien caoutchouteuses, bien moches, typiquement extraterrestre made in Dr Who. Pour moi c’est typiquement ce qui fait l’attrait de cette série : le mélange de vilains méchants qui ressemblent à des poivrières géantes dans des décors à couper le souffle.

    C’est tellement top de trouver des francophones qui connaissent bien le Docteur… (j’ai particulièrement apprécié la référence à Elton).

    Bon je vais arrêter là parce que je vais passer pour définitivement dingue sinon ^^

    Et je ne sais pas comment je vais faire pour attendre le prochain épisode avec Mister I-am-cute Tennant…

  23. Hello et merci beaucoup. 🙂 Ici, il y a plein de dingues aussi ! 😀

  24. Well, well, well… C’était franchement très très sympa! D’autant que ça m’a fait revoir mon jugement sur Michelle Ryan, parce que je ne l’avais vu que dans Bionic Woman dont j’avais regardé les premiers épi à cause d’une certaine blonde …Et ce n’était pas franchement heu….transcendant dirais je!^^’

    Donc très bonne surprise, après David Tennant ba voilà quoi hein…On en mangerais bien à tout les repas! Et puis le petit…"It is returning from the dark…etc" qui provoque un grand "RAHHHHH plus, plus, plussss!"

    Le truc qui m’a fait rire dans ta review étant : "Les Christina de Souza, ça ne meurt pas, pas plus que les Donna Noble, d’ailleurs. C’est du solide, limite c’est du suédois, ça tiendrait des siècles. "….C’est prémonitoire tout ça… La Sorcière savait que tout le monde baverait devant un grand Ikéa qui vole!!!XD

Post a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Top