Categories Menu

220 : Lay dow your burdens 2

Qu’est-ce que je ne ferais pas pour ma petite Mano. C’est vrai, cette petite, elle s’est un peu endormie une douzaine de fois devant la minisérie, mais elle a rattrapé cet impair avec une telle ferveur que quand elle m’a dit que sa seule frustration, c’était de ne pas avoir trouvé de review de cet épisode, j’ai craqué, que voulez-vous, et j’ai ressorti mes DVD de la saison 2.

(Non sans me faire un petit coup de « Something dark is coming », l’intro de LDYB1, parce que c’est juste trovoalakwa.)

Surprise : this never gets old, people !

Je vous jure, malgré ce que je vois actuellement dans la saison 4, j’ai replongé avec une aisance et un plaisir là-dedans, un truc de fou ! J’en ai moi-même été étonnée.
Pour bien commencer, le previously m’a déchiré le coeur. C’est bien simple, c’est un truc qui ne passera jamais. Les sanglots de Sharon après la « mort » de son bébé, j’ai jamais pu, je pourrai jamais.

Et le regard de Helo me fait presque autant de peine.

Nan arrêtez, c’trop triste !

Donc ça plus la gerbouze qui monte en voyant Lee promettre monts, merveilles et mobilier Ikea à Dualla et c’est bon, c’est pliéch.

J’ai presque été surprise de retrouver Cally là-dedans. C’est vrai, Cally s’est fait démonter la gueule par son Chief de chef en plein délire. L’homme n’a clairement pas surmonté l’assassinat de Boomer et il est toujours hanté par le coming-out de celle-ci. Lui, il a vécu ça quasi de l’intérieur, et quand on a côtoyé si longtemps une soeur d’armes dont on a qui plus est été amoureux et que celle-ci s’est avérée être une machine, eh bien on est en droit de s’interroger. Et si moi, j’en étais un aussi, de cylon ? Et que je ne le sache pas. Alors si Galen Tyrol ne formule pas ouvertement ses doutes, ceux-ci le rattrapent dans ses rêves. Et voilà comment mon gros placide de gentil Chief massacre la tronche de CallyRuby.

Et cette gourde-là, retapée à la va-vite par Cottle, ne trouve rien de mieux à faire que pardonner à son bourreau. C’est pas si con que ça, remarquez. Etant donné la culpabilité qu’il doit se traîner, c’est le moment idéal pour mettre le grappin dessus. Comment pourrait-il lui mettre un râteau dans les dents étant donné qu’il vient déjà d’y mettre son poing.

Cally : I forgive you.
Chief : No, Cally. No.
Cally : It wasn’t you. I know that.

Ah ah ah, trop douée, la Cally, en fait. Je vous dis, elle et Dualla, elles font vraiment la paire ! Elles savent bien qu’on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre !

Bon, pendant ce temps, Sam et Kara scellent leur union au milieu de très charmantes explosions. Bé dites donc, ça pareil, j’avais oublié que ça pétait comme ça. On se croirait grave dans les tranchées. Et le désespoir qu’on lit dans les yeux des assiégés, il prend à la gorge.

(Même si j’ai un tout petit peu pouffé « coquelicot appelle églantine » quand Helo déballe son petit téléphone. Non, ne dites rien. C’pas la peine.)

C’est là que Kara sort le truc le plus dingue de ce début d’épisode. Un marché vachement trop sympa avec son mec fraîchement récupéré.

Sam : An agreement ?
Kara : I’m not going back to o­ne of those farms, Sam. I’m not. So if she’s right and they throw gas in here… you do me, I do you.
Sam : What are you talking about ?
Kara : This is what I’m talking about, okay ?

Okay. C’est frais, c’est printanier, c’est trop de la boulette.
Sauf que voyez-vous, les cylons se cassent ! Et mes couillons de coloniaux, ils y bichent plus rien !
Et moi de me dire une fois de plus que ptain, BSG a su sacrément bien exploiter les trois clairières de la forêt de Vancouver.

Sacrée ambiance.
Bon, et pour ceux qui ont vu « The oath », ce type ne vous dit rien ?

Voilà, donc ça, c’est fait.
Bon, à part ça, inutile de dire que j’ai manqué de me faire dessus devant le jeu fabuleux de « frère » Cavil. Un nouveau skinjob dévoilé, c’est quand même toujours un grand moment. Quand il s’appelle Dean Stockwell, c’est forcément juste énorme.

Cavil : Thank the gods ! It’s a miracle ! Let us pray.

Et pendant ce temps, un de ses frères, justement, tient pieusement la main de la présidente. Fabuleux.

Et dingue de se dire que s’il avait voulu, il aurait pu en faire du petit bois, de la présidente.
En plus, elle le mérite grave, cette vieille pie. Nan mais vous vous rendez compte de comme elle est conne, là ? Et comme elle se la pète ??? La voilà qui va faire la morale à Gaius. Depuis le temps qu’elle le pratique, elle devrait bien avoir compris qu’avec son ego grand comme ça, c’est pas le bon plan !

Roslin : Doctor, I know we’ve had our disagreements, but this issue transcends personal disagreement as well as politics. I am appealing here to your sense of patriotism.

Baltar : Let me tell you my sense of patriotism is doing just fine. Thank you very much for asking. I see it as my patriotic duty to lead this fleet to a new world. That new world is unquestionably New Caprica. But thank you, Madam President, for demonstrating to me just how desperate your campaign for re-election has become.

Dans tes dents, la vieille ! Nan mé oh, faut pas pousser le bouchon trop loin, Mauricette !

Et à propos de ça, quiconque a vu la saison 4 ne peut que se bidonner comme pas possible, en ce qui concerne cette campagne désespérée. Déjà, j’ai poussé les hauts cris lorsque Tory nous sort son superbe : « There’s always a back-up plan for victory. »

Et force est de constater qu’elle ne fait pas alliance avec n’importe qui pour aller truander le vote. Nan, avec Saul Tigh. Sans blague.

Bon, et ce vieux Saul. Ben ce vieux Saul, il n’a pas trop envie de s’installer sur le caillou, lui. Mais madame, si. Ah, j’ai poussé un petit soupir aigu quand il lui dit qu’elle a qu’à se trouver quelqu’un d’autre pour y aller, sur le caillou tout pourrave.

Ellen : Saul. I want you.

No kidding.

Bon, et puis le retour des enfants, hein. Ah, ma Kara, comment qu’elle est contente de ramener son grand serin sain et sauf à bord de son grand vaisseau.

Et comment que papa il est trop content et fier de sa grande fifille.

Aaaaaaw.

Et j’adore le petit moment de gêne, le rire nerveux de Kara et le grand sourire très con d’Anders.

Mais oui, tout va bien, Kara, Bopapa le trouve digne de toi.
Dans la foulée, Chief nous oute Frère Tuck, quelque chose de bien.

Arf, Dean Stockwell, genius !

Et évidemment, comment ne pas parler de la scène mythique.

Cavil 1 : I am not a frakking cylon !
Cavil 2 : …

Cavil 1 : Oh. Well. Ok, then.

Exceptionnel ! Ah, quelle entrée dans l’univers BSG, mes amis !

Bon, de son côté, sitôt arrivé, Samuel Anders a droit à un avant-goût de ce qui l’attend dans les prochains mois : la beuverie perpétuelle avec une blonde collée sur le visage. J’avoue, j’ai ri. Encore. Après tout ce temps.

Sam : You don’t have to get me drunk I will sleep with you tonight.

Sam : My hero.

Mais quand même… expliquez-moi comment Lee débarque là à cet instant précis ? Vous avouerez que c’est quand même juste pas de bol, quoi. Et puis qu’est-ce qu’il vient foutre ici ? Leur présenter ses meilleurs voeux de bonheur ? Quelle nouille.
Roh, et puis elle qui se jette sur lui, mais uuuuuh !

Au moins trois grandes secondes de trop, en passant. Kara, you are SO drunk.
Et puis là, tout doucement, je ne rigole plus trop. Voir Lee se décomposer, lutter pour garder le sourire, un sourire un peu grimaçant, ça me calme net.

Kara : Lee, when are you gonna get yourself a girl ?
Lee : I’m doing fine, thank you. (Oui, des putes, des paillassons humanoïdes, tout va très bien.)
Lee : You’re still frakkin’ Dualla, are you ?

Aïe.

Même Sam est choqué, c’est trop mignon ! Sammy, control your woman !

Bon, et mon pauvre Lee s’en va pendant que les autres se lèchent la poire, non sans se retourner environ 12 000 fois parce qu’on sait jamais, Kara pourrait décider là tout de suite que ce serait mieux de l’épouser lui au lieu de son Sam. Mais non.

Bon, lâchons un peu les histoires de caleçons et amusons-nous de cette formidable élection. Franchement, ça faisait longtemps que je ne m’étais pas repenchée sur cet arc, mais il n’y a que dans BSG qu’on a droit à ce genre de truc. Une élection dans l’espace ! De la politique dans des vaisseaux spatiaux ! Ben je comprends pourquoi c’est ma série préférée.

Et au passage, j’ai poussé un petit « gni » devant la liste des vaisseaux.

J’adorerais pouvoir mettre la main sur une liste complète. Là, on voit bien le Demetrius, entre autres.
Et donc, Anastasia Dualla nous escamote la vraie boîboîte pour en mettre une fauuuusse, la mauvèse, la tricheuse !

Et c’est Felix le Preux, Felix le Sauveur qui nous révèle la mascarade. Inutile de dire qu’à cet instant de la série, ça sent le sapin pour l’Ultimate CIC Couple.

Roh, et Saul qui fait l’innocent. Hein ? Comment ? Quoi ? Ah oui ! L’élection ! Oui, j’en parlerai à l’amiral une fois que j’aurai fait ma lessive et ciré mes souliers.

Evidemment, Zarek flaire vite l’entourloupe. Lui, il a un nez bionique pour ce genre de chose, pas à dire. Redoutable Zarek, capable des meilleures idées comme des pires. Oui parce qu’on va peut-être pas lui baiser les pieds pour avoir envoyé tout ce petit monde sur New Caprica, hein.

Zarek : I’ve seen a lot of elections, Gaius. Most honest, a few fixed. And you can always tell the fixed o­nes because they don’t make sense. And this doesn’t make sense.
Baltar : Laura Roslin is many things. But she’s not corrupt. And she’s not dishonest. It’s over.

Eh bien non, darling. Car l’amiral va intervenir et arracher à la vieille, dans la douleur, certes, un gros aveu. Et en lui posant une seule question, il va la retourner comme une crêpe.

Adama : Do we steal the results of a democratic election or not ? That’s the decision. Because if we do this, we’re criminals. Unindicted, maybe, but criminals just the same.

Mon amiral, ça. Celui dont j’ai envie de me souvenir.

Alors la vieille bique pleurniche, probablement un petit peu sur le fait qu’elle vient de se faire prendre en flag’, la main dans l’urne, et qu’elle est un peu vexée. Peut-être un peu aussi parce que renoncer à ce pouvoir dont elle ne voulait pourtant pas, ça la fait enrager. D’autant plus au profit de Gaius Baltar qui est aussi taillé pour la politique que moi pour la pêche à la cuiller.

Mais il faut bien se résoudre. Nul doute que Bill s’en bouffera les poings, mais au moins il pourra se regarder dans la glace.

Avant de devenir officiellement président et de jurer sur Ze Baïbeul des 12 colonies qu’il fera tout pour garantir la sécurité de son peuple, Gaius s’en va faire sa fête à Gina qui n’était pourtant pas super partante rapport à ce que les mois d’emprisonnement à bord de Pegasus, paraît que ça vous passe le goût de la bagatelle.

Jolie scène, au passage. Moi, j’ai juste envie de faire bouffer sa perruque à Baltar, mais bon, Tricia est tellement exceptionnelle, ici, que c’est difficile de ne pas craquouiller un tout petit peu. D’autant que c’est sublimement filmé.

J’adore le parallèle entre cette sublime trahison de Baltar envers les siens et sa prestation de serment. C’est du grand Baltar, on ne peut pas dire.

Et pour fêter l’investiture, un feu d’artifice au poil !

Ahimè !!! Mon beau Cloud Nine ! Comme je t’ai aimé ! Notre histoire aura été trop courte !
Et une fois passée la scène où Baltar pleure la mort de Gina devant un Adama blasé, LE coup de génie de cette fin de saison.

Honnêtement, avec trois ans de recul, c’était la chose à faire. Il en a sans doute fallu, du courage, pour oser nous asséner ça et je me souviens qu’on a vraiment tous gueulé comme des putois. Ecoeurés, qu’on était. Mais que de belles histoires à venir et comme c’est judicieux de nous laisser des zones d’ombre à combler au fur et à mesure.

New Caprica, donc. Un arc qui restera gravé dans la série au fer rouge.

Et un Galactica déserté, désolant de vide.

Ils m’ont fait sourire, les deux vieux. Sourire avec les yeux un peu mouillés. C’est clair que c’est une très grosse spatule qu’il faut pour déloger Saul du CIC. Mais l’amiral sait comment s’y prendre. Ah, mon pauvre Saul, comme il aurait mieux fait de te garder, le père Adama !

Adama : If she gives you too much trouble, find yourself a younger one.

Euh. Nan rien !!!

Inutile de dire à quel point j’aime New Caprica, la tristesse qui s’en dégage, la nostalgie, le côté mal fini, ces gens qui grelottent dans le brouillard, ces tentes sinistres. C’est d’un glauque magnifique. Et j’adore le fait qu’une planète et une année de tranquillité ne résolvent rien. C’est génial, en fait. On voudrait qu’ils soient heureux, mais non.
Et Kara ne l’est pas plus que les autres. Mariée à son grand adolescent qu’elle doit aller chercher par la peau du cou pour ne pas qu’il crève le nez sur sa sacrosainte baballe.

Le grand couillon nous a chopé une pneumonie, sans doute à cause des courants d’air qu’il a à la place du cerveau.
Et ma foi, Cottle nous le laisserait clamser sans broncher !

Pauvre Kara. Elle avait bien besoin de ça. (Une petite souris qui a vu la saison 3 me dit que c’est pas volé, mais bon. C’est sûr qu’on doit avoir vachement plus chaud à bord du Pegasus !)

Tough shit !

Face à une telle VDM, guère étonnant de la voir si heureuse de retrouver le colonel, son meilleur pote (ben oui, saison 3, confidences, version longue d’UB, toussatoussa).

Et madame.

(Je ne vous cache pas que malgré mon voeu de ne rien spoiler sur la suite, il y a des scènes qu’il est très difficile de ne pas commenter. Surtout celles de NC. Mgnnn.)

Ptain, y a vraiment un nid !

Ah, le speech du Chief. Superbe.

Tyrol : There comes a time when you realize that the engine you’ve built with your blood and your sweat and your tears is being used for something so foul, so perverted that it makes you sick in your heart. And it’s then that you must throw your body o­n the gears and o­n the levers and o­n the machine itself and make it stop. And you have to show the people who run it, the people who control it, that unless we’re free, that machine will be prevented from working at all.
Foule en délire : Strike ! Strike ! Strike ! Strike ! Strike ! Strike ! Strike !

Et Saul qui envoie Kara se prostituer auprès de Lee pour sauver son mec. Si c’est pas beau.

Saul : You should call Apollo. He’d spring some for you.
Kara : Yeah I doubt that.
Saul : That was a long time ago. People change.

Pas aujourd’hui, hélas. Et pas demain non plus. Pas avant un long moment.
Mais ma foi, j’ai trop rigolé en voyant Dualla tendre le téléphone à Lee sans même avoir besoin de lui dire qui c’est pour qu’il comprenne.

(Si vous avez vu la version longue d’Unfinished Business, regardez le sourire de Dualla et souvenez-vous de ce qu’elle dit à Lee dans le raptor. Elle sait, à cet instant-là, et elle le lui fait comprendre. C’est génialissime.)

Elle triture son alliance tant qu’elle peut, lui ne la quitte pas des yeux, sans doute terrifié à l’idée d’oublier un instant qu’il est marié.

Après avoir revu UB hier soir, ça me tord un peu les boyaux pour lui. Car oui, il y a un gros contentieux entre Starbuck et Apollo. Mais pour savoir ce qui s’est passé, il va falloir attendre une bonne dizaine d’épisodes. Toujours est-il que ça me fait mal pour Lee. Et que je me rends compte que Kara doit sacrément aimer Sam pour avoir les couilles d’appeler Lee.

Dommage, on ne saura jamais si Lee aurait filé les médocs à Kara pour sauver son mari. Vu que…

Judgement Day. Merci Gaius. La tête nucléaire, c’était décidément une super idée.

Même pas de mouvement de panique. lls sont juste… blasés. Eteints. C’est dément.

Tyrol : What do you want to do now captain ?
Kara : The same thing we always do. Fight them until we can’t.

Et un nouveau chapitre de l’exode qui s’ouvre.

Pfiou.

Et voilà comment je viens de boucher le dernier trou de cette rubrique ! Wouhou, chuis contente !

16 Comments

  1. C’est dingue comme le fait de lire tes reviews me rend encore plus amoureux de la série que je ne le suis déjà. Du grand art, vraiment.

  2. merci d’avoir comblé ce trou dans tes reviews de bsg 😎
    superbe épisode (un de plus…)
    et la scène entre papadama et tata roslin sur le résultat des élections est fabuleuse…c’est l’un de mes must see du show.
    Quelle classe l’amiral : avec ce "we", c’est comme s’il se range au côté de Roslin…
    et comme tout s’enchaine de grande manière : Baltar président, New Caprica… toutes ses épreuves supplémentaires atroces et tellement indispensables à l’histoire…
    Pfiou….

  3. Wouah!

    Je me rapelle encore quand j’ai vu cette épisode il y a 9 mois, mais je me souvenais pas qu’il s’y passait tant de chose !

    C’est quand même dingue ce que RDM arrive à caser en moins de 45 minutes. Et pis ce final, perso j’ai adoré quand j’ai vu le "one year later" (surtout parce que je savais que j’avais la saison 3 de prête en fait :p).

    Et pis de voir a postériori comment les scénaristes savent se servirent du moindre détail pour nous pondre des trucs plus d’une saison plus tard (j’ai vu le 404 ce w-e) qui semblent cohérent, c’est wow !

  4. aaaaaaaaaaaaaaaaaaaah 😀

    Je peux aller mourir… euh dormir en paix ! 😛

    Merci mille fois sorcière de mon coeur !

  5. ranlalalalalalala mais quand même hein !!!

    *soupir

  6. "Par La Sorcière, vendredi 13 juillet 2007 à 14:43"
    Comprends pas ?

  7. Episode reviewé hier car jamais fait avant et mis à sa place entre le 219 et le 301, tout simplement. Donc j’ai bidouillé la date pour qu’il ne soit pas dans les épisodes de la saison 4. Ce n’est pas de la rediff, quand j’ai reviewé le début de la série, j’ai calé sur celui-là qui, au passage, ne fait pas 45 minutes mais bien 65 ! 😉

  8. Je me souviens en le regardant que j’avais adoré cet épisode. Je m’etais même pas apperçu qu’il durait plus longtemps.
    Et j’adore qu’une nouvelle fois Baltar soit responsable (mais sans le vouloir) de ce qui arrive. Il est responsable de la destruction des douzes colonies et là il est responsable de l’arrivée des cylons sur New Caprica. Et le sommet dans tout ça, c’est qu’il n’a pas l’air de trop trop s’en vouloir. Ce mec est abject, mais bon c’est comme ça qu’on l’aime.

  9. Han, j’avais même pas taper qu’il était plus long xD

  10. "coquelicot appelle églantine" hihi 🙂

    Je suis en plein revisionnage et justement dans la période New Caprica (j’en suis à Exodus Part 1), donc cet épisode est très récent pour moi, ça fait plaisir d’en lire une review "a la Sorcière" !
    Cet épisode, c’est quand même plein de scènes cultes : le coming out de Cavil ("Ok, then…" 😀 ), la scène Adama/Roslin à propos des élections, celle entre Lee, Kara et Sam, le "One Year Later" dans le bureau de Gaius, et j’en passe…
    Il fallait bien 65 min pour caser tout ça ! D’ailleurs, quelqu’un sait quelles scènes n’apparaissaient pas dans la version TV de 45 minutes ? J’ai jamais eu le courage de le regarder en version courte vu que pour moi toutes les scènes sont indispensables.

  11. En fait, je ne suis pas certaine que la version courte ait été diffusée. Il me semble qu’ils ont fait les deux versions au cas où la chaîne ne souhaiterait pas diffuser un épisode plus long, mais que finalement, ça a été le cas.

  12. Ah, ok.
    Je pensais que c’était le contraire, que la version longue était inédite au moment de la sortie du dvd. (en tout cas, ça c’est surement passé comme ça sur Scifi france puisque la version de 65 minute n’est dispo qu’en VO sur le dvd).
    Merci pour la précision 😉

  13. Il me semble, hein, mais je suis quasiment certaine d’avoir vu cette version lors de la diff, c’est pour ça.

  14. Pfiou, en relisant la review, toutes les émotions vécues en voyant l’épisode reviennent… Du grand art !

  15. Qu’est-ce que ça a l’air glauque la vie sur New Caprica, même sans les cylons… Et qu’est-ce que Kara doit s’emmerder…

  16. Oh. My. GOD.

    J’en suis retournassionnée là. J’avais rien vu venir, à part l’élection de Baltar, mais la marche de la victoire des Cylons, ça me traumatise. Et j’suis pas fière des Adama. Raaaah, j’vais enchainer sur la saison 3 la, mais j’suis beaucoup sur le derche quand même. J’vais lire ta review maintenant.

    Didjuz

Répondre à Fab Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Top