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107 : Love and war and snow

Allez hop, je remets les girls en selle !
D’avoir téléchargé hier le reste de la saison 1 m’a donné envie de me changer les idées. Il faut dire qu’à côté de Dexter, True Blood, House et autres Supernatural qui me flanquent un bourdon délicieux, je suis presque gênée de voir tous ces gens si heureux.

C’est vrai, leurs microscopiques problèmes et leurs histoires de coeur bancales sont tellement rafraîchissants que ça me fout de bon poil.

Allez hop, je remets les girls en selle ! D’avoir téléchargé hier le reste de la saison 1 m’a donné envie de me changer les idées. Il faut dire qu’à côté de Dexter, True Blood, House et autres Supernatural qui me flanquent un bourdon délicieux, je suis presque gênée de voir tous ces gens si heureux. C’est vrai, leurs microscopiques problèmes et leurs histoires de coeur bancales sont tellement rafraîchissants que ça me fout de bon...

La Suite

Posted by on Nov 16, 2008 in Gilmore girls | 10 comments

A ne pas mettre entre toutes les mains…

… surtout quand vous avez douze ans.
Cette perle m’a rappelé de « joyeux » souvenirs. A l’époque, je lisais tout ce qui me passait sous le pif et j’avais déjà un goût prononcé pour les trucs qui vous font froid dans le dos. Mais alors là, avec Thérèse Raquin (d’Emile Zola, pour les cancres de passage), j’ai fait très fort.
Parce que pour s’enfiler ça jusqu’à la dernière page quand on est en cinquième, faut quand même être légèrement atteint.
L’histoire, c’est quand même un tout petit peu celle d’une neurasthénique mariée à un rien-du-tout et qui, aidée de son amant, en vient à noyer son mari pour s’en débarrasser. Enfin réunis sous le toit de la belle-doche, ces deux-là sont hantés par le souvenir du noyé qu’ils voient jusque dans leur lit devenu conjugal. C’est affreux, sombre, dégoûtant, cauchemardesque, à la limite de la perversion. Une découverte sans pareille.
Et effectivement, s’il m’en souvient bien, la description de la morgue est exceptionnelle d’horreur et de vérité. Je pense qu’Emile a dû aller se faire une petite virée sympatoche, pour écrire ce passage-là.

… surtout quand vous avez douze ans. Cette perle m’a rappelé de « joyeux » souvenirs. A l’époque, je lisais tout ce qui me passait sous le pif et j’avais déjà un goût prononcé pour les trucs qui vous font froid dans le dos. Mais alors là, avec Thérèse Raquin (d’Emile Zola, pour les cancres de passage), j’ai fait très fort. Parce que pour s’enfiler ça jusqu’à la dernière page quand on est en cinquième, faut quand même être légèrement atteint. L’histoire, c’est quand même un tout petit peu celle d’une neurasthénique mariée à un rien-du-tout et qui, aidée de son amant, en vient à noyer son mari pour s’en débarrasser. Enfin réunis sous le toit de la belle-doche, ces deux-là sont hantés par le souvenir du noyé qu’ils voient jusque dans leur lit devenu conjugal. C’est affreux, sombre, dégoûtant, cauchemardesque, à la limite de la perversion. Une découverte sans pareille. Et effectivement, s’il m’en souvient bien, la description de la morgue est exceptionnelle d’horreur et de vérité. Je pense qu’Emile...

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Posted by on Nov 16, 2008 in Perles | 4 comments

La Sorcière ne dirait pas non…

La Sorcière va quand même courir très vite, maintenant, histoire d’éviter les représailles des nombreuses autres aspirantes.

La Sorcière va quand même courir très vite, maintenant, histoire d’éviter les représailles des nombreuses autres...

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Posted by on Nov 16, 2008 in Perles | 15 comments

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