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504 : Birthmarks

C’est très marrant car avant de regarder cet épisode, avec le Dark Side, nous évoquions les origines de notre amitié. Enfin, surtout moi vu que le Dark Side ne se souvient pas du tout de comment cette chose étrange est arrivée. Pensez-vous, c’était il y a au moins… pfiou ! Deux ans ! (A moins que ce ne soit parce que je suis une prédatrice hors pair et qu’elle n’a rien vu venir… à l’instar d’un James Wilson qui n’a pas compris, jadis, que si Gregory House lui rendit le service de lui payer sa caution, c’était pour mieux se l’approprier. Hé, hé, hé. )

Bref, le père du sick bastard est mort et de toute évidence, il n’en a strictement rien à battre. On se dit qu’il doit habilement cacher sa peine. En fait, même pas. Là tout de suite, il s’en fout comme d’une guigne. Sous l’oeil médusé des Kids qui s’épuisent à lui dire d’appeler sa mère, de rentrer chez lui, d’aller à l’enterrement. Ces enfants n’apprennent donc rien ?

Enfin, le temps d’aller se faire tousser dessus par la patiente du jour, une Chinoise de 25 ans adoptée par une famille américaine (quatre parents et pas un foutu de lui apprendre à mettre sa main devant sa bouche) et Cuddy débarque, toute seringue dehors, des fois qu’elle aurait le SRAS ou autre maladie contagieuse. Allez hop, déballez-moi cette fesse de rien du tout et que ça saute.

(Peut mieux faire.)

Et là, qu’est-ce qu’il fait, le House ? Il s’effondre, ma foi. Uh, uh, uh. Et quand il se réveille, il est dans une voiture. Avec Wilson qui conduit. Et qui lui sort cette phrase formidable : « I am not doing this because I care. »

Mais déjà, les rouages du plan le plus démoniaque jamais mis sur pied sont en train de se mettre en branle dans le cerveau de House. Oh là là, il va en avoir pour son argent, le Wilson !

C’est ainsi que commence une véritable partie de ping-pong digne des plus grands. House veut pisser ? Pas question de s’arrêter.

House prétend ouvrir les vannes directement dans la bagnole de Wiwi ? Qu’à cela ne tienne, il a changé les tapis en prévision ! Le portable ? Strictement contrôlé par le chauffier. J’ai failli exploser de rire quand a retenti la chanson des Hanson. Mettre ça en sonnerie pour les Kids, c’est brillant.

House : My ringtone for you is Dancing Queen by Abba.

Sur le papier, Wiwi est donc supposé charrier House jusqu’à l’enterrement de son père afin qu’il y prononce l’éloge funèbre. Hem. Il a de l’espoir, le Wiwi. Et surtout, il se fait un petit peu balader. Troquant la canne du boiteux contre la promesse de s’y rendre, il omet de fixer des limites temporelles. Aussitôt l’objet en main, l’infâme s’en sert pour lui faire paumer les clés de la voiture dans la grille qui se trouve juste en dessous.

House : I said I’d go to the funeral. I didn’t say when.

Perso, j’en peux déjà plus de marrade. Mais alors voir Wilson mouliner sa petite lampe de poche pour récupérer le trousseau, la filer à House pour qu’il la tienne, et voir ce fumier la flanquer à travers la grille aussi…

Puis Wilson en extraire une DEUXIEME du coffre… alors là, sérieux, j’en pleure encore de rire. C’est du grand comique. Et la gueule fermée de Wilson, bien au-delà de l’exaspération, est fabuleuse. Presque autant que celle de House qui n’arrive pas à être étonné de le voir équipé d’une deuxième lampe de poche. S’ils ne se connaissaient pas aussi bien, ce ne sera pas à moitié aussi drôle.

House : Come on, forget the keys. Call a locksmith. We’ll go inside and play « guess that smell » with the truckers while we’re waiting. Join me on the dark side.

Mais non, le Wilson fait de la résistance. Pour rien au monde il n’avouerait qu’il s’éclate, qu’il prend un pied d’enfer, que la vie est trop chiante sans un emmerdeur de génie tel que House pour lui donner un peu de relief. Wilson se fait désirer et il a bien raison. Alors House enclenche la deuxième. Et lui lâche une bombe. Il n’est pas le fils de son père.
A mes côtés, le Dark Side souffle. Etouffe un « n’importe quoi ». Mais moi, je SAIS qu’il a raison. Parce que découvrir à douze ans qu’il est le petit bâtard d’un ami de la famille, ah ah ah, ce serait grandiose. On ne parle pas de n’importe qui, là, on parle de House. House l’enquêteur surdoué, le fin analyste. Il ne peut pas s’être planté sur un truc pareil.
Mais avant de revenir là-dessus, arrêtons-nous donc quelques instants au poste de police où Wilson se fait traîner suite à une canne volontairement égarée du côté de l’accélérateur. Je vous dis pas les hurlements déchaînés lorsqu’on apprend que Wiwi est recherché en Lousiane. Wiwi ? Recherché ? Pour vandalisme ? WHAT ?!

Mieux encore, House est au courant ! Et pour cause ! C’est lui qui, à l’époque, l’a sorti du guêpier. Alors comme ça, Wiwi s’était un peu agacé lors d’une convention de médecins et avait jeté une bouteille sur un miroir ? On parle bien de NOTRE Wiwi, là ???
Bref, voilà, nous avons enfin les origines de cette étrange amitié. House se faisait sans doute chier, ce jour-là, cherchant sa prochaine victime. Et il l’a trouvée dans une cellule. C’est magistral.

En attendant, ça arrange bien House de devoir raconter cette longue, trèèèès longue histoire. Tic tac tic tac. Alors forcément, quand le flic décide de les relâcher parce que l’enterrement d’un collègue marine, merde alors…

Flic : You can go.
House : What ? He’s a fugitive of justice !

Bref, je soupçonne également House de vouloir faire traîner parce que ce mini-road movie avec Wilson, en passant par la case prison pour remonter aux origines de leur amitié, merde, c’est quand même précieux, quoi. Finalement, ils arrivent quand même à destination.

Il est temps pour House de payer un ultime hommage à celui qui l’a (mal) élevé. On s’attend au pire. Ben on a bien raison. Ca part dans tous les sens. D’abord, le sick bastard reconnaît son géniteur potentiel. Et là, la réplique de Wilson m’a valu de véritables aboiements de rire.

House : Oh God, he’s here.
Wilson : Who’s here ? The one you’re pretending is your father ? Good pick, he looks like Sean Connery. So back, when you were devising this fantasy, did you tell your father : « Dad, I refuse to recognize your existence because I have chosen James Bond as my dad. »

En tout cas, House va donc faire son petit laïus improvisé devant le cercueil ouvert de son « père » (ce qui est répugnant).

Sous l’oeil terrible de Wilson, prêt à bondir en cas de dérapage. Autant dire qu’il est dans les starting-blocks… et qu’il a bien raison.

House : There’s a lot of people here today. Including some from the Corps. And I noticed that every one of them, is either my father’s rank, or higher. And that doesn’t surprise me. Because if the test of a man is how he treats those he has power over… it was a test my father failed. (Ouille.) This man you’re eager to pay homage to, he was incapable of admitting any point of view but his own. He punished failure, he did not accept anything less than… He loved doing what he did, he saw his work as some kind of sacred calling, more important than any personal relationship. (Tiens donc.) Maybe if he’d been a better father, I’d be a better son. But I am what I am because of him, for better or for worse. I just… I just wish…

Oh, come one ! Comme s’il allait pleurer, là, maintenant ! Je n’y ai pas cru une seconde. Pas plus qu’au pauvre schmoutzi qu’il prétend poser sur le front du macchab’.

Non, en vrai, cet enfoiré qui ne respecte rien est juste en train de découper un morceau du mort pour faire un test ADN !

Wilson : Put it back.
House : Well, he’s not going to miss it.
Wilson : I’m done enabling. You can’t even let them put him in the ground without making it serve your agenda ?

Et alors là, attention, ça pète sévère. Le grand nettoyage de printemps. Et House a mille fois raisons quand il dit que Wilson est terrifié à l’idée de le perdre lui aussi. C’est chiant, mais c’est vrai. Et c’est pas en flanquant une bouteille à travers un vitrail que ça changera quelque chose. Au contraire. Je trouve excellent que Wilson arrive à se mettre dans un état pareil pour réaliser que, bordel, il ne s’était pas éclaté comme ça depuis des mois. Peut-être même que ce sont ces quelques heures avec House qui le ramènent vraiment à la vie. C’est vraiment chou. Faut dire que hé, il s’est quand même donné du mal, House, pour le divertir. Je ne l’avais pas vu aussi puéril depuis de nombreux épisodes. Et c’est un bonheur de le voir faire sa tronche de sale gosse.
Enfin, la bouteille est balancée, la boucle est bouclée. C’est presque comme un remariage. Comme s’ils prononçaient les mêmes horribles voeux qui font d’eux un couple de potes complètement dysfonctionnel et boiteux, mais qui à sa manière toute tordue parvient à progresser. Je trouve ça brillant et terriblement émouvant. J’adore, tout simplement.
Et j’adore que Wilson finisse par s’y soumettre et en accepte les règles. Ouais, putain, c’est chaud, ce genre d’amitié, on se prend souvent des claques dans la gueule, mais qu’est-ce qu’on se marre.

Très mignon, ce petit point qu’ils font, après la bataille.

Pendant ce temps-là, on a quand même une Chinoise pas très fraîche à soigner. Avec ça, alcoolique au dernier degré, au point qu’après quelques heures sans avoir eu son canon, elle se met à trembler comme la feuille. Dommage que tout cela ait été un peu englouti par l’intrigue House/Wilson parce que tout l’aspect enfant adopté était passionnant. La pauvre nana, adoptée par des Américains soi-disant stériles et qui se retrouve avec trois petits frères et soeurs pondus par ces mêmes Américains stériles, déjà, à la base, euh…
Ensuite, c’était aussi l’occasion pour Kutner de se sentir impliqué, en tant qu’enfant adopté à neuf ans par une famille d’Américains, lui aussi.
Bon, c’est pas une nouveauté, mais je l’aime décidément beaucoup, avec son regard toujours un peu détaché sur tout, et néanmoins très franc du collier.

Ca m’a beaucoup amusée de voir les Kids galérer pour décrypter une demi-métaphore balancée par le patron au téléphone. Jusqu’à aller débaucher Cameron et Chase (qui n’a pas vu un peigne depuis des mois) pour leur demander leur avis. Ils m’ont fait de la peine, il fallait vraiment qu’ils soient aux abois pour ne plus se concentrer sur les symptômes mais sur la parole divine.

Finalement, la réponse, c’est bien sûr House qui la rapporte. Terrible. Des aiguilles enfoncées dans la fontanelle du bébé fille dont les parents ont essayé, en vain, de se débarrasser en Chine. Et qui bougent lorsqu’elle soulève le gros Bouddha qui contient un énorme aimant.

Tout simplement brillant. Et il n’y avait que House pour trouver ça. L’ironie du sort, c’est que sans ces aiguilles, elle ne serait sans doute jamais devenue alcoolique. Pauvre famille.

Au final, Wiwi décide donc de revenir. Grand soupir de contentement car franchement, il me manquait beaucoup.

House : If you’re coming back just because you’re attracted to the shine of my neediness… I’d be ok with that.

Aaaaaaw.

Wilson : I’m coming back because you’re right. That strange annoying trip we just took was the most fun I’ve had since Amber died.

C’est adorâble.
D’autant que Wilson est obligé de se montrer admiratif. Le résultat du test ADN est là. Et House avait raison. Curieusement, c’est là qu’il se mange le contrecoup. Et que le fait que son père n’ait pas été son père ne change rien. Ca ne change rien à ce que sa présence dans sa vie a fait de lui. Et ça ne l’empêche pas d’avoir organisé sa vie autour de ça, autour de ce rejet et de cette mésentente. Finalement, il est ce que ce père, vrai ou pas, a fait de lui, exactement comme il le disait dans son éloge funèbre de carnaval. Ca fait un peu peur. Même pour Gregory House.

House : Wilson ?
Wilson : Yeah ?
House : My dad’s dead.
Wilson : Yeah. My sympathies.

Eh ben ça fait drôlement du bien quand même !
House enterre un père et ressuscite une grande amitié. Sacrée journée, dites donc.

Posted by on Oct 20, 2008 in House M.D. | 19 comments

19 Comments

  1. L’épisode était franchement grandiose et ça va être dur pour la série de se maintenir à ce niveau. J’aime bcp les roads trip House/Wilson : son of a coma guy était super aussi.
    Mmmm’ bop pour les kids : gé-ant!
    Par contre, 13, j’en peux plus, c’est officiel. Je pensais pas regretter Cameron aka ‘look at me’…

  2. Tain, que c’était bon… Je ne m’atendais point à revoir Wiwi aussi "tôt", mais je ne me plains pas !

  3. J’ai adoré cet épisode, j’ai beaucoup ri et cela fait plaisir de revoir Wilson. Mais son retour dès l’épisode 4, c’est trop rapide pour être honnête. J’espère que ce n’est qu’une étape avant le vrai bouleversement de leur amitié.
    C’était sympa de voir les anciens assistants nous faire un mini-diagnostic dans leur coin.

    Et ta revue nous remet vite dans l’ambiance de l’épisode.

  4. Trop rapide pour être honnête, c’est clair… mais leur relation n’a rien d’honnête. C’est comme un vieux couple : ils peuvent vivre l’un sans l’autre… mais c’est mieux ensemble.

  5. Un excellent épisode, même si le cas de la semaine m’a un peu gêné. Le China-bashing est à la mode cette année, passons. Ce genre de dérives a pu se produire à l’époque, on congèle bien les bébés en France. Non, ce que j’ai trouvé tiré par les cheveux, c’est que notre vie quotidienne pullule d’aimants qui auraient déjà du lui provoquer ce genre d’incident (une aiguille qui bouge dans le cerveau) des tas de fois auparavant.
    M’enfin bon, je coupe peut-être les cheveux en quatre, parce que House ne s’est jamais prévalue d’être une série rigoureuse médicalement.

    Le couple House-Wilson retrouve, pour notre plus grand plaisir, ses bonnes vieilles habitudes (ou pas…), et les épisodes suivants s’annoncent également très intéressants. Ce bon vieux Foreman m’a l’air d’être mûr pour un gros truc lui aussi. Pis Cuddy aussi, évidemment.

  6. Attends, faut quand même de fameux aimants, et bien proches de la tête, quand même.

  7. De mémoire, le plan la montre soulever la statue du bouddha à bout de bras, ce qui représente une distance importante, vu que le champ magnétique émis décroit avec le carré de la distance. Bon, mes cours d’électromagnétisme remontent à ma vie antérieure du siècle dernier, mais le résultat intuitif est que cet aimant devait être plus-que-fameux. Mais je lui accorde le bénéfice du doute.

    Le coup de la sonnerie était incroyable, des souvenirs de 1997 sont remontés à la surface : la dissolution, le décès de Lady Di, de Jeff Buckley, la diffusion de Space: 2063…

    Tempus fugit.

  8. J’avais pas ri autant depuis le début de la saison 3, pour la sélection de ses nouveaux "escalves" assistants. Qu’est-ce-que c’est bon !!!

    En même temps il est un peu naîf House, non ? En voyant arriver Cuddy et sa seringue, j’avais senti venir une arnaque. LOL

    Vite, la suite, Patronne. LOL

  9. Wiwi powa!!!!!
    Enfin de retour, j’en pouvais plus de l’attendre. C’est quand même beaucoup beaucoup mieux avec lui…. *soupire de contentement*

  10. Ouais, bah moi il m’a déçue, cet épisode. Parce que Wiwi qui revient, OK ça fait plaisir, mais si vite, d’une c’est pas hyper crédible, je trouve, et de deux ça veut dire qu’à peine on nous a fait goûter au charme de Lucas qu’on nous l’enlève, et ça ça m’embête.
    Et puis j’avoue, l’épisode road-movie, j’en attendais beaucoup (parce que c’est le genre d’épisodes hors-routine qui me captivait dans Urgences), donc forcément, on est souvent un peu déçu dans ces cas là 🙂

  11. Ben je crois pas que Lucas s’en aille, au contraire… Et Wiwi et House sont quand même restés en froid pendant quatre mois…

  12. Ah bah pour Lucas, tu me l’apprends (je n’ai pas encore vu le 505) mais j’en suis fort aise 🙂
    Pour la « rupture » entre House et Wilson, je trouve qu’on ne les sent pas vraiment, ces 4 mois?EUR? mais bon je reconnais que de toutes façons il n’est pas vraiment possible d’exclure plus longtemps quelqu’un du casting sans remettre en cause sa présence dans la série 🙂

  13. Faire revenir Wilson et reprendre son duo avec House tel qu’il était avant la mort d’Amber, ce serait se moquer des téléspectateurs réguliers, et ce serait aussi une totale incohérence avec la fin de la saison 4.
    Leur relation est toujours pourrie. Et Wilson revient vers House en partie parce qu’il a envie de s’amuser. Et si cette saison-ci, ils inversaient vraiment les rôles? Et que ça explose vraiment quand House le réalise?

    (Et s’il ne se passe rien de chez rien, alors je plains les scénaristes, avoir aussi peu de courage pour faire revenir Wilson dès l’épisode 4, c’est pitoyable. Quand on veut tuer un personnage, on assume.)

  14. Sérieux c’est vraiment comme ça que tu l’entends, après cinq saisons ? Que Wilson revient parce qu’il a envie de s’amuser ? Arf….

  15. "Quand on veut tuer un personnage, on assume."

    Tuer Wilson, t’es pas bien ? (Enfin ça présence hein, pas vraiment le tuer pour de vrai enfin dans la série, bon je m’égare …)
    Je ne pense pas qu’il y en a été question un jour…

  16. Non, je ne parlais pas de tuer Wilson (que ce soit de tuer le personnage ou bien de le pourrir complètement) mais d’Amber. La faire vivre avec Wilson, puis la tuer pour finalement revenir à l’ancienne relation au bout de 4 épisodes, donc avec l’ancien Wilson qui se laisse faire sans presque rien dire, c’est complètement idiot.
    J’ai écrit que si Wilson revenait, c’était en partie pour s’amuser. Bien sûr qu’on ne décide pas soudainement de prendre un de ses plus vieux amis pour un nouveau jouet. Et bien sûr que Wilson aime toujours House. Je voudrais juste que leur relation évolue, après le final de la saison 4, des mots durs, un petit divorce et une réconciliation aussi rapide que celle-là, c’est très décevant.

  17. Je ne comprends pas comment tu peux savoir à l’avance à quoi va désormais ressembler leur relation. Les deux gars sont visiblement ravis et soulager de se retrouver, c’est leur petite lune de miel… and ? Ca veut dire que ça va être toujours comme ça ? Certainement pas. Les choses changent, mais la série ne tourne pas exclusivement autour de leur relation.

  18. Han ! J’ai bien compris qu’il fallait voir vite cette épisode… oui bon… c’était excellent ! Et qu’est-ce que ça fait du bien un épisode sans Lucas !

  19. Ah oui ! Une fois j’avais demandé qu’est-ce que Wilson devait à House pour être aussi "maqué" à lui. Et ma Sorcière préférée m’avait dit que je finirai par le savoir… en effet ! 😀

    Alors, James, de toi à moi : c’est bon, tu lui as rendu au centuple et plus encore, tu peux le lâcher ton copain Greg… ah oui, mince, t’as changé depuis la mort de Amber. Oui mais en fait, non, pas vraiment 😉

    Sinon, je n’aurai jamais imaginé que leur "amitié" ait commencé sur une telle situation mais c’est tellement housien que c’est crédible ! Par contre… la relation House-Wilson va bien au-delà de l’amitié, c’est vraiment un vieux couple, c’est de la folie !

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