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503 : Kids aint’ like everybody else

Rah, je me suis bien amusée, devant cet épisode !

Mais d’abord, une chose. Dites-moi, vous ne trouvez pas que tous ces mouflets semblent tout droit sortis de Supernatural ???
Je veux dire, à part Juanita et sa petite soeur Celia (?), tous les autres, et en particulier les petits mecs (je dis ça faute d’avoir vu Penny Scavo de près) ont l’air d’être de vrais enfants de cire. C’est super-flippant, je trouve.

C’est comme le copain de Susan, là. Non mais c’est quoi, ces cheveux ? Qu’est-ce qu’il planque, là-dessous ? L’arsenal nucléaire de l’Iran ? Oussama Ben Laden ? L’avion perdu d’Amelia Earhart ???

Bref, ces gens sont bizarres. Ils deviennent tous aussi bizarres que l’ultra-conservatrice Bree Hodge. Dont la tronche vaut tous les prix lorsqu’elle découvre que sa fille, en visite avec l’enfant pour la première fois depuis trois ans, lui apprend qu’elle est végétarienne.

Et qu’elle fait dans les études à domicile avec son lardon. Ca nous vaut ceci :

Danielle : He’s only six and he’s already reading at a third grade level.
Bree : Well what happens next year when he overtakes you ?

Fabuleux !

Malheureusement pour la pauvre Bree, toujours persuadée qu’elle serait une bien meilleure mère pour Benjamin que Danielle, le coup des deux hot-dogs fourgués en cachette à un gamin qui doit en avoir un peu ras la casquette du tofu, ça n’était pas une super idée. La scène du vomi est quand même tordante, mais le résultat très prévisible. Danielle et sa famille quittent la maison Hodge avec pertes et fracas, et forcément, ça met une super ambiance entre Orson et son épouse. Le pauvre Orson qui une fois revenu de prison avait retrouvé un foyer sans enfant. Brrr…

Du côté des Solis, la dégringolade continue pour Gaby, maintenant obligée de vendre sa belle voiture. On imagine aisément ce que ça doit lui coûter. Surtout quand c’est pour en racheter une toute pourrave au fils de sa meilleure copine, lui-même devenu un petit bourgeois tiré à quatre épingles.

M’enfin quand le petit con essaye de l’entuber, c’est clair qu’on peut compter sur Gabrielle pour ne pas se laisser faire. Non mais alors.

Petite intrigue croisée avec Susan dont la couille molle de fils se fait brutaliser par un mini-rouleau compresseur du nom de Juanita Solis. Ca m’a fait mourir de rire. Elle me plaît de plus en plus, cette enfant.

C’est là que c’est brillant d’avoir rajouté une génération à Wisteria Lane. Parce que bien sûr, ça tourne à la foire d’empoigne entre les deux mères pourtant si copines.

Gabrielle : Are you suggesting that Juanita is fat for her age ?
Susan : Gaby, Juanita’s fat for your age.
Gabrielle : Yeah well let’s face it, MJ could get beaten up by a kitten !

Et hop !

Mais bon, c’est chouette de les voir se réconcilier et discuter en vraies amies qu’elles sont, partageant leurs incertitudes et leurs déceptions. Ca se fait rare, dans la série. C’est d’autant plus mignon et précieux.

Chez les Scavo, on frise encore le grand nawak. D’abord, Tom continue de régresser. Bientôt, même les jumeaux auront plus de maturité que lui. Pas étonnant que Lynette ait pris avec lui le ton de la maman qui commande. Un ton que je déteste et qui me donne envie de lui foutre des baffes, mais confrontée aux nombreux caprices de Tom, je ne sais pas si je réagirais avec plus de patience.

On devine vite qu’il suffit de pas grand-chose, une toute petite faille, pour que vienne s’immiscer le roi des manipulateurs, à savoir le nouveau mari d’Edie. Celui-là, plus ça va et plus il est terrifiant avec ses sourires hollywood et ses petits yeux de glace. Chez les Scavo où il joue de la batterie avec Tom…

Chez les Hodge où il vient dîner en famille.

Et bientôt, sans doute, à partager une bière avec Mike et à aider Carlos à faire ses courses.
Bref, il est en train de mettre tout le quartier à sa botte.
A côté de cela, je trouve Edie plus adorable que jamais, plus épanouie qu’on ne l’a jamais vue.

Et ça me fait bien de la peine de me dire qu’elle va encore se prendre une grosse rincée dans la figure.

Mary-Alice : Yes, there are bullies everywhere. And the worse are the ones who take advantage of you without you ever knowing what they’ve done.

Je me demande si après Mary-Alice, on ne serait pas en train de tenir l’intrigue saisonnière la plus intéressante de la série, en fait… *croise furieusement les doigts*

Posted by on Oct 14, 2008 in Desperate Housewives | 3 comments

3 Comments

  1. J’aime bien cette nouvelle saison pour le moment… Et c’est clair que les gosses sont flippant avec leur teint de porcelaine tout figé! Le benjamin, c’est le pire je crois… Brrr…

  2. j’aime toujours autant, mais j’ai eu l’impression qu’on retombait dans certains travers de la saison passée… puis finalement, quand on lit ta review précédente… c’est leur destin, leur mode de vie…

  3. Bien vu, le personnage de Dave est sans doute le plus intéressant vu dans la série depuis plusieurs saisons.
    Et une autre confirmation: Lynette est bien le personnage le plus haïssable de tous, et de très loin.

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