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120 : Dead man’s blood

John, putain !

Putain, JOHN !!!

(Tu m’énerves, John.)

Evidemment que ça se met à clasher aussitôt que Winchester père et Winchester cadet se retrouvent dans la même pièce… Ils sont pareils ! Aussi cons, aussi bornés, aussi bêtes et basiques l’un que l’autre. Et attention, Jean-Claude ! On parle quand même de gens très intelligents !!! (D’ailleurs, je soupçonne Dean de ne pas rentrer dans leur jeu parce qu’il est beaucoup plus simple… pas idiot, mais juste plus terre-à-terre, d’une intelligence différente.)

Bref. Aujourd’hui, nos lascars sont sur la piste de… vampires. Qui n’ont fait qu’une bouchée d’un vieux copain de leur père. C’est ce qu’ils découvrent en fouillant sa maison et en trouvant un carnet de bord ressemblant fort à celui de papa W.. Puis en découvrant une lettre adressée au même papa W. dans une boîte poste restante.

Eh ben ça tombe bien, car Daddy est justement dans le coin. Coucou, les garçons !

Après avoir gobé quelques mouches, les trouf’ profitent de l’enseignement du vieux loup de mer. Apprenez donc au sujet des vampires de SPN que le coup du crucifix, dans le cul Lulu. Remballez également gousses d’ail, pieu et autres colifichets. Même le soleil ne leur fait pas grand-chose. Bref, Buffy peut aller se rhabiller.

(Dieu tout puissant… )

Evidemment, il ne faut pas cinq minutes avant que Sam ne commence à mettre en doute son père… sur ses capacités de chasseur. Hem. Et puis tout, quoi. Le fait qu’il ne leur dise pas pourquoi il veut récupérer le flingue que le vieux pote avait chez lui, le fait qu’il ne dise rien, le fait qu’il leur donne des ordres en permanence. Et il a raison, le grand machin. Mais qu’est-ce qu’il est pénible. Disons qu’un mix entre Dean-le-Soumis et Sam-le-Révolté, ce serait pas mal. Mais non.

Sam : We need to talk.
John : About what ?
Sam : About everything. Where we goin?EUR(TM), Dad ? What?EUR(TM)s the big deal about this gun ?
Dean : Sammy, come on, we can Q and A after we kill all the vampires.
John : Your brother?EUR(TM)s right, we don?EUR(TM)t have time for this.
Sam : Last time we saw you, you said it was too dangerous to be together. Now, out of the blue, you need our help. Now, obviously, something big is goin?EUR(TM) down, and we wanna know what !
John : Get back in the car. (Wow.)
Sam : No.
John : I said get back in the damn car.
Sam : Yeah. And I said no. (Djizeusse.)
Dean : All right, you made your point, tough guy. Look, we?EUR(TM)re all tired. We can talk about this later. Sammy, I mean it, come on.
Sam : This is why I left in the first place. (Ooops.)
John : What?EUR(TM)d you say ? (Aïe.)
Sam : You heard me.
John : Yeah. You left. Your brother and me, we needed you. You walked away, Sam, you walked away ! (Mon coeur est en train de partir en petits morceaux.)
Dean : Stop it, both of you ! (Celui de Dean aussi.)
Sam : You were the one who said ?EURoeDon?EUR(TM)t come back?EUR?, Dad. You?EUR(TM)re the one who closed that door, not me ! You were just pissed off you couldn?EUR(TM)t control me anymore !

Dean : All right, stop it, stop it… stop it, that?EUR(TM)s enough ! That means you, too.

Pfiouuuu.
Et là-dessus, après un affrontement bref mais d’une violence hallucinante, mes trois coqs remontent en voiture. On notera quand même à un moment donné une réplique qui m’a brisée le coeur, aussi anodine soit-elle, et qui m’a fait remarquer un truc de fou. John se prend la tête avec son fils cadet, en permanence. Pas avec son aîné. Non, à son aîné en revanche, il réserve ce genre de commentaire concernant l’entretien de sa voiture qu’il chérit pourtant tellement : « Dean, why don’t you touch up your car, before you get rust. I wouldn’t have given you the damn thing if I thought you were going to ruin it. »

Argh. Touché en plein coeur. Et il ne répond rien. Se contente de regarder par terre d’un air piteux. DEAN, putain !
C’est là que tout le côté « je suis une merde » de Dean s’explique. John, argh, quoi. Et le pire ? C’est que ça fait marrer Sam. J’étais deg. C’est pas grand-chose, mais j’étais deg.
Du coup, je n’en comprends que mieux la révolte de Sam qui doit être outré de voir en plus du reste son indestructible grand frère se faire manipuler sans broncher.

Pour avancer un peu sur l’intrigue, John se met enfin à raconter l’histoire du flingue qu’il veut récupérer. Et j’adore. Ce genre de légende, c’est énorme, ça me fait trop triper.

John : It?EUR(TM)s just a story… a legend, really. Well, I thought it was. Never really believed it until I read Daniel?EUR(TM)s letter. Back in 1835, when Halley?EUR(TM)s Comet was overhead, the same night those men died at the Alamo, they say Samuel Colt made a gun. A special gun. He made it for a hunter, a man like us, only on horseback. The story goes he made thirteen bullets. This hunter used the gun a half dozen times before he disappeared, the gun along with him. Somehow, Daniel got his hands on it. They say… they say this gun can kill anything.

Tout tuer. Et surtout le démon qui a fait rôtir Mary Winchester et Jess. Voilà pourquoi Dad veut récupérer ce flingue. Pour en finir avec son démon. Et bien sûr, sachant cela, Sam ne veut plus qu’une chose : être là quand ce sera le cas.
Mais pour récupérer le flingue, il faut d’abord infiltrer les vampires.

Dont notre petit Jammer, on l’aura reconnu, le coquin.

Et après une première mission ratée, plan B. Choper la petite copine à grandes dents du chef des vampires, lui flanquer dans le corps quelques gouttes de sang de mort, soigneusement récupéré par Dean dans ce qu’on imagine être une morgue, et monnayer la donzelle contre le flingue.

Si cela finit par fonctionner, c’est grâce aux deux loupiots qui, désobéissant à papa, restent dans le secteur et viennent lui sauver les miches.

(Ouh, joli, l’arbalète !)

Papa W. profite de la diversion pour essayer le flingue sur monsieur vampire.

Eh ben ça marche du tonnerre, dites-moi.

Flingue récupéré, en parfait état de marche. Reste plus qu’à s’en servir pour tuer le démon.

Entretemps, nos trois mâles se sont réconciliés, surtout les deux têtes de cons qui ont reconnu qu’ils n’étaient pas si différents et que leur expérience commune les a rapprochés.
Et Dad finit même par convenir qu’il a besoin de ses fils pour aller jusqu’au bout.

John : Together.
Sam and Dean : Yes sir.

Le pire, c’est qu’on sent déjà que John Winchester sait qu’il n’en sortira pas vivant.
Et maintenant, en route pour ce final de folie. Argh…

Posted by on Juil 4, 2008 in Supernatural | 8 comments

8 Comments

  1. "Dans le cul Lulu"???? Et moi qui croyais que la Sorcière n’était qu’élégance et glamour…

    Tu savais que Jeffrey Dean Morgan n’avait que 12 ans de plus que Jensen. Mais malgré ça, leur duo père/fils fonctionne super bien.

  2. Jensen a 30 ans cette année si je ne m’abuse (mode midinette ON)

  3. Et JDM 42. Ouais, Jensen vient de les avoir, je crois… Ptite chose, va. 😀

  4. 30 ans… Tout à fait consommable…
    A emporter s’il vous plait ! (déformation professionnelle quand tu nous tiens)

  5. C’est hallucinant, en effet, comme le père et le fils sont assortis. Je tique toujours sur l’absence de ressemblance dans les familles de films, mais là, rien à redire (bon, à part qu’ils ont dû adopter Sam ! 😉 ).
    J’ai bien aimé aussi le renouvellement du thème du vampire, ça nous repose qu’il faille trouver autre chose que les grands classiques pour en venir à bout. Et j’ai bien rigolé quand Dean, au début, dit : des vampires ? ça n’existe pas ! Ben mon gars, c’est quoi ton boulot, déjà ? 😀
    Sinon, l’affrontement père-fils et les dégâts collatéraux du côté de Dean, j’ai trouvé ça super triste aussi, mais je note quand même que le bon fils à son papa est quand même capable d’esquisser un début de désobéissance, dans cet épisode.

  6. Ah par contre le sourire satisfait du père après avoir exécuté le vampire, ça m’a quand même fait un peu froid dans le dos?EUR?

  7. Dans pas très longtemps, tu devrais trouver une photo de Jeffrey Dean Morgan version super jeune que j’avais postée, et je te jure que la ressemblance avec Jensen, c’est très troublant. 😉 Pour Daddy, c’est que le début. Je l’aime beaucoup, mais il fout un peu les chocottes, des fois. Mais je l’aime beaucoup. Malgré tout.

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