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106 : Skin

ENFIN !!!

ENFIN le putain de t-shirt de Jensen se fait la malle ! Mais bordel, attendre six fucking épisodes pour que ce soit le cas, c’est juste PAS HUMAIN !

(Et en plus on voit trop pas bien parce qu’il fait noir, et le fait d’éplucher sa propre peau, je ne suis pas super fan. Mais bon.)

Fiou…

Voilà, donc ça, c’est fait. Maintenant, je vais pouvoir parler de l’épisode.
Episode, qui, soyons francs, a été écrit dans le seul et unique but d’offrir à Jensen des scènes à moitié à walp. Personnellement, je ne m’en plains pas. Ca commençait à devenir insupportable de les voir tous les deux dormir en t-shirt. Et pourquoi pas en col roulé, tant qu’on y est ???

Côté eye-candy, donc, rien à redire. Et en plus, cerise sur ce bon gros gâteau bien musclé, c’est un épisode réalisé par Robert Duncan McNeill. Le torse de Jensen Ackles et Tom Paris dans le même épisode… wow. Je suis une Sorcière comblée.

Là, tout de suite, on pourrait croire que cet épisode ne se résume qu’à ça. Eh bien même pas, ce qui est quand même un comble.
C’est un zode tout à fait potable. Parce que voir les frangins Winchester se flanquer des torgnoles (et ils n’y vont pas de main morte, les petits morpions), moi, ça me fait pousser des brâmées mémorables.
C’est excellent, J’A-DORE.

(Et entre nous, c’est trop sexy. Sick, but hot.)

Avec ça que c’est plutôt bien foutu. Et non, je ne parle pas de Jensen Ackles, mais de la narration qui exploite de manière très habile la structure habituelle de la série (à savoir l’introduction avec le Superméchant du jour) et y ajoute une petite pincée de flashback qui vous fait faire un bond de trois mètres de haut.

Le Superméchant du jour, c’est Dean.

(Yeah, baby ! )

Evidemment, tout l’intérêt de la chose est d’essayer de capter comment on va en arriver là. Cela dit, on le comprend assez vite.
Toujours en vadrouille avec son frangin, Sam reçoit un e-mail de détresse d’une bonne copine de fac (tellement chiante qu’on comprend vite pourquoi c’est une bonne copine) dont le frère est accusé de meurtre. Ce qui est bizarre car le soir du meurtre, Boring-Girl se trouvait justement avec lui. Mmmmh. C’est louche.

Explicacion : le coupable est en réalité un métamorphe.

Son truc : découper les gens tout vivants ! Miamy !
Pendant ce temps-là, nos deux enquêteurs commencent à s’engueuler sur leur vie respective. College boy nous sort son petit refrain de mal-aimé parce que Dean a le malheur de lui faire remarquer qu’il n’a jamais eu les couilles de dire à ses copains qui il est vraiment… Et Dean, lui, sème des petites répliques d’apparence gentiment moqueuse, mais qui semblent hurler : « Laisse tomber tes anciens potes et occupe-toi exclusivement de moi parce que je n’ai personne d’autre et que je suis très très jaloux et possessif, ouin, ouin. »
Ce qui est bien, c’est qu’une fois que le métamorphe va choper Dean et prendre sa place, ça va être lavage de linge sale comme jamais. Parce que si Dean a encore la gentillesse de ne pas accabler son petit frère, le démon, lui, il s’en fout. Et bien au contraire, ça l’amuse terriblement de torturer sa proie. Un vrai festival.

Shapeshifter Dean : I must say, I will be sorry to lose this skin. Your brother’s got a lot of good qualities… you should appreciate him more than you do.

Oh oui, ça c’est bien vrai. Ptit ingrat, va.

Et alors, le tout meilleur…

Shape-shifter Dean : He’s sure got issues with you. You got to go to college. He had to stay home. I mean, I had to stay home, with Dad. You don’t think I had dreams of my own ? But Dad needed me ! Where the hell were you ? (Ooooouuuh, joli ! Qui aurait imaginé que ça puisse lui coûter aussi cher, lui qui semble faire ce boulot d’aussi bonne grâce ?)
Sam : Where is my brother ?
Shape-shifter Dean : I am your brother ! See… deep down, I’m just jealous. You’ve got friends. You’ve got a life. Me ? I know I’m a freak. And sooner or later, everyone’s gonna leave me. (Han, comment c’est juste atroce. Listen and learn, little Sammy.)
Sam : What are you talking about ? (Duh !)
Shape-Shifter Dean : You left. Hell, I did everything Dad asked me to and he still left me ! No explanation, no nothing, just poof ! (Aaaaw, poor baby…) Left me with your sorry ass ! But still, this life isn’t without its perks. I mean, I meet the nicest people ! Like little Becky. You know… Dean would bang her if he had the chance. Let’s see what happens ! (Arf, juste énorme ! Et trop vrai. Mais quelle violence… )

Le bouquet final étant bien sûr de voir les deux frères (si on veut) se battre comme des chiffonniers, à mort, même.

(Et putain, qu’est-ce qu’ils sont bonnards quand ils font ça. OH MY GOD ! )

Et la petite phrase qui tchue :

Shape-Shifter Dean : Even when we were kids, I always kicked your ass !

Rah, c’t’atroce. Mais j’adore la manière qu’a Sam de ne pas céder de terrain, ou si peu. Nom d’une pipe, la fillette a de la ressource, plus que je ne le pensais.
Au final, c’est bien entendu le vrai Dean qui descend son double et tire définitivement petit frère d’affaire.

Voilà comment Dean Winchester est officiellement déclaré mort et coupable de plusieurs meurtres. Cela va clairement faciliter les déplacements de nos deux lascars.

Et ce grand naze trouve le moyen de pleurnicher parce que le monstre a conduit sa bagnole.

Dean : Argh, the thought of him driving my car.
Sam : Ah, come on.
Dean : It’s killing me !
Sam : Let it go.

Dean, c’est quand même un personnage un peu flippant. Toujours à mettre sa propre personne en retrait, à refouler tous ses sentiments, exceptés lorsqu’il s’agit de sa famille, à planquer le tout sous une épaisse couche de désinvolture et sous un personnage fabriqué de toutes pièces, hyper cliché, dont il est incapable de sortir, ou presque. C’est malsain au possible.
Et à force d’avoir dû se sacrifier, d’avoir été obligé de jouer les protecteurs, il ne sait même plus comment fonctionner autrement. Ca lui paraît tellement naturel que c’en est effrayant.

Dean : I really wish things could be different, you know, I wish you could just be Joe College.
Sam : Nah, that’s okay. You know, truth is, even at Stanford, deep down, I never really fit in.
Dean : Well, that’s cuz you’re a freak.
Sam : Yeah, thanks.
Dean : Well I’m a freak, too. I’m right there with you, all the way.

Sont-y pas juste trop mignons…
Gravement lourdauds, mais c’est des mecs… et ils sont canons. J’ai donc presque envie d’être indulgente.

Et sinon, pendant tout l’épisode, je me suis dit que Kristen Bell aurait été plus que mortelle dans le rôle de la blonde du jour, qui est chiantissime de gnangnanterie. (Oui, il y a une blonde par épisode. Et si elle est brune, elle est pour Sam.)

Posted by on Juin 10, 2008 in Supernatural | 6 comments

6 Comments

  1. Kristen Bell… Je l’aurais recastée dans la S3, c’est encore tôt pour en parler ici. Mais en parlant de bonasses, toujours pas d’ôde à Metallicar ?
    i73.photobucket.com/album…

  2. Cool car… et jamais un grain de poussière dessus. Dean en prend soin, de sa chérie.

  3. C’est vrai que cette fille sert pas à grand chose dans l’épisode… Mais bon, il est bien quand meme

  4. Euh alors bon moi aussi, je le trouvais craquant, Dean?EUR? mais là, dans cet épisode, je sais pas, je me suis dit qu’il me rappelait quelqu’un?EUR? et en cherchant un peu, j’ai trouvé à qui il me faisait penser : à ça : http://www.imdb.com/media/rm3244...
    Et du coup, je le trouve beaucoup moins craquant, d’un coup 😀

    Sinon, petite crise de rire devant cet épisode, quand mes sous-titreurs pirates favoris ont traduit « it sucks » par?EUR? « il suce » 😀

  5. Il suce ? Oh, nooooon !!! 😀

  6. Zut, j’ai pas eu droit à cette perle ! 😀

    Enfin, décidément, il est extrêmement décoratif, ce Jensen ! Il y a des moments où je dois faire un effort pour suivre les dialogues, au lieu de mater bêtement 😉

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