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412 : In Buddy’s eyes

Wohooo ! Sympa le retour de bâton, dans cet épisode !
Du coup, j’ai bien aimé !

C’est vrai, Orson qui renverse Mike il y a deux saisons de ça, on avait presque oublié. Pareil, Rick, avec qui Lynette avait passé une soirée frappée dans le frigo, on ne le voyait pas revenir de sitôt. Teuteuteu, il est temps de passer à la caisse, pour les deux !

Et puisque je parle de Lynette, bigre… on ne lui épargne rien, dites donc, à Felicity.

Entre un personnage de plus en plus pénible, son insupportable tribu (sauf Penny et Parker), sa dégaine de travelot (la perruque, pas une super réussite) et le pétage de câble de son mari… Et encore, je trouve que Tom explique très bien ce qui lui arrive, pour un XY.

Par contre, avec le coup du restaurant vandalisé puis incendié, aïe. Ca pue. Bonne chance, Lynette.

Donc, l’intrigue que j’ai trouvé absolument excellente, c’est sans conteste celle d’Orson. Ah ça, ça s’encroûte gentiment, farci de bonnes manières, dans son joli quartier, avec sa femme polie et souriante qui jardine et cuisine si bien, ça pouponne tant que ça peut le petit-neveu d’Edie Brit comme si c’était le sien propre, ça squatte en toute civilité chez Susan Mayer, ça use de la fraise et ça vous flanque pour des milliers de dollars d’implants dans le bec, ça fait son petit tennis hebdomadaire au club…

Bref, presque on oublierait que quelques mois plus tôt, sa mère, sa maîtresse et son ancienne femme sont mortes. Sauf qu’il reste encore un petit détail à régler. Et ce détail se trouve actuellement en cure de désintox.
C’est vrai qu’Orson Hodge a l’air plutôt cool avec lui-même. Ca n’a pas l’air d’être son genre de se lamenter sur ses mauvaises actions. Non, lui, tout brave qu’il soit, il redoute surtout de se faire pincer. Un vrai bel enfoiré à l’instinct de survie débordant, quoi…

Que sa culpabilité refasse surface à l’occasion de crises de somnambulisme, je trouve ça tout simplement génial.

Et que ce soit Susan Mayer qui le trouve ainsi, à oilp, dans la cuisine, c’est juste parfait tellement elle est stupide !

Susan : Oh my god ! You’re naked ! In my kitchen ! Where I eat ! Ok, I don’t hear you leaving…

Et leur deuxième « rencontre » est encore plus hilarante.

Bref, que cette guenon de Julie le trouve en rentrant d’avoir fait la bringue pour qu’il lui déballe un tout à fait fameux « I’m sorry I ran you over, Mike », ma foi, c’est bien prometteur.

Reste à savoir ce que Julie va faire de ça. Parce qu’on ne peut pas dire qu’elle brille par son esprit, elle non plus.

(C’est dommage parce qu’elle ne peut pas franchement tout miser sur son physique non plus. )

Je crois quand même que l’information est arrivée jusqu’au cerveau, mais je l’imagine très bien courir chez sa copine aussi casse-couille qu’elle pour tout lui raconter. Children…

Concernant Gabrielle, rien de bien nouveau. Toujours aussi abjecte. Cela dit, ça m’a terriblement amusée de la voir s’en prendre aux handicapés. Mais qu’elle est con.

Gabrielle : Don’t play victim with ME ! I have to walk in heels all day long ! You just have to sit in a chair and roll !

Ce qu’il y a de bien, c’est qu’elle est quand même particulièrement lucide et qu’elle sait qu’elle est une connasse. Bravo, Gaby.

Tout ce qui tourne autour de Robot-mom et Bree était assez marrant (quoiqu’extrêmement éculé), mais on se demande quand même pourquoi il leur a fallu tant de temps pour capter qu’à elles deux, elles peuvent régner sur le monde. Néanmoins, comme je ne me lasse pas des sourires crispés de Marcia Cross, je ne me suis pas trop ennuyée.

Et pareil que pour Gaby, j’aime bien la lucidité de Bree concernant elle-même son petit club de copines.

Bree : Gabrielle’s the glamourous one, Susan’s the adorable one, Lynette’s smart, Edie’s… Edie and I’m the domestic one, the organizer, the one who knows that there are three tines in a dessert fork. I’m the one who gets teased for that. That’s who I am. That’s also who you are.

Cela dit, maintenant qu’elle est copine avec Katherine, je me demande quelle calamité va s’abattre sur la planète.

Pour finir, je pense qu’on peut s’attendre au grand retour de Robot-dad.

Cool.

Posted by on Mai 6, 2008 in Desperate Housewives | 11 comments

11 Comments

  1. On vient de regarder celui ci et le suivant, et il se repasse enfin des trucs, c’est pas trop tôt 😀

  2. Ah, quand j’ai vu le papa, ça a tout de suite fait bingo dans ma tête 😀
    Je trouve que ça commence à peser, les 4 saisons … Ils ont jusqu’à quand déjà ? o_o

  3. Selon mes infos et les standarts des contrats TV US , on en a pour 7 ans au total.

    Mais j’avoue que rien n’égalera plus jamais la prémière saison, Whaouuu quel choc j’ai reçu lors de sa découverte.

  4. Je spoile pas trop, mais robot-dad sera une surprise sympa niveau casting…
    Je viens de zieuter le 414 et ça bouge doucement avec en prime, Kaila dans toute sa spendeur 😉

  5. Ah ben j’avoue que maintenant je vais l’attendre, alors j’aurais préféré ne rien savoir du tout… :-/

  6. Ah mais non en fait on a regardé les deux suivants, hier soir (413 et 414), j’me suis trompée ! J’aime beaucoup ta réflexion acide sur Julie, ça me rappelle qu’à l’époque où j’ai regardé la saison 1, ma grand mère s’y était mise aussi (elle me racontait la suite quand je ratais un épisode sur M6, hu hu), et j’avais été sidérée de la méchanceté de ses remarques sur le physique de Julie qui, à l’époque, m’était complètement indifférente 😀

  7. Je la trouvais mimi quand elle avait treize ans (de toute façon, ado, on n’est souvent que mocheté) mais là, je la trouve mauvaise actrice, et sa reconversion en jeune blonde de bonne famille bien brushée est ridicule. L’autre est extrêmement jolie, mais je la trouve tout aussi mauvaise, donc pas de pitié !

  8. Julie n’est effectivement pas gâtée par la nature et la brusher de la sorte, rend son physique un peu plus ingrat.
    Ce qui était bien avec elle au début, c’était son trait de caractère à tout prendre en charge vis à vis de sa mère assez irresponsable. Elle inversait les rôles avec bcp d’humour et de malice.

  9. Elle n’est pas hideuse, mais bon… enfin ce côté petite dame décolorée en polo est certainement fait exprès… Mais ça ne lui va pas du tout à la pauvre enfant.

  10. J’ai bien aimé cet épisode, alors que je commençais à m’ennuyer un peu dans cette série. Gaby m’a beaucoup fait rire, je l’adore en peste odieuse quand ça ne dure pas tout un épisode. Ce serait bien, par contre, que ça ne s’éternise pas trop son trip mégère avec Carlos, parce qu’on va vite tourner en rond.
    A propos de mégère, j’ai bien apprécié aussi la parade des deux fées du logis et leur alliance finale 😀

    Mais le mieux du meilleur de l’épisode, c’est Orson qui somnambulise dans la cuisine de cette oie blanche de Susan ! LOL Dites, c’est pas la toute première fois qu’on voit du nu dans cette série ? Bon, il en manque un bout, OK, mais ciel !

    Quant à Lynette, je la trouve belle sans perruque avec trois pauvres cheveux, alors que je suis entièrement d’accord sur l’air de travelo qu’elle se farcit avec 😉 Les nuage s’amoncellent sur la famille Scavo, j’ai hâte de voir la réaction du petit Ricky !

  11. Tiens, à propos de sa tête, quelle ironie par rapport à l’épisode où elle avait fait passer Parker pour un petit cancéreux 😉

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