Categories Menu

410 : It’s a wonderful lie

Rah là là, je peux vous dire que quand on vous sert en patient du jour l’une des actrices principales de cette magnifique série qu’est The West Wing, en tant que fan absolue, ça fait une grosse émotion.

(Ma Donna… )

Maggie a donc 35 ans, et alors que sa fille de onze ans s’entraîne à l’escalade, victime d’une soudaine paralysie des mains, elle lâche la corde, provoquant la chute de la petite.

Direction Princeton Plainsboro où… on s’apprête à fêter Noël.

Ah, 6/9, je t’adore !
C’est tellement lui d’accrocher des petites guirlandes dorées bien vite arrachées par House que cette période de l’année ne rend pas plus enjoué que d’habitude.

D’ailleurs, pas question de lui arracher une réponse à la terrible question : le jeu est-il vraiment terminé ? Est-ce que les NewKids sont vraiment à l’abri, maintenant ? Engagés pour de bon ? House a ses raisons de ne pas répondre.

Thirteen : The point of the game was to scare us. Saying it’s over isn’t scary so there’s no point in telling it unless it’s true.

Allez, je dois lui accorder que cette réplique est excellente et qu’elle sait faire preuve d’une certaine rapidité d’esprit. Dommage qu’elle ait une tronche de pov’ petit chat écorché, tout ce que je déteste.

Ah, la patiente du jour a bien vite fait d’intéresser notre House. Aussitôt qu’il apprend que celle-ci a perdu sa mère très jeune d’un cancer du sein, et qu’en réaction, elle a volontairement subi une double mastectomie sans chirurgie réparatrice pour éliminer tout risque, sa tronche est très révélatrice.

Ah ça, ça te la coupe, hein, coco ? Tu vas adorer cette patiente bien amochée, comme toi, et qui fait face à son handicap. Mais qui en a honte… comme toi.

Moralité, House monte au front, tout de suite. Comme ses assistants sont des niais qui croient que la patiente ne ment pas parce qu’elle a juré à sa fille de ne jamais mentir, contrairement à sa mère qui lui avait caché sa maladie, House décide de refaire tout l’historique depuis le début. En plus, prouver à tout le monde que sa patiente est une menteuse comme les autres, l’idée est séduisante.
Bref, l’éclopé s’en prend tout d’abord à la petite de onze ans. Entrevue spectaculaire. Quand House parle aux enfants, c’est toujours fascinant. Quand il se prend une bonne leçon par des morveux pas finis, j’adore.

Surtout qu’il ne se gêne pas pour poser des questions embarrassantes. En fait, il parle aux enfants comme il parle aux adultes. C’est pas con. Alors quand pour voir, il lui demande quelle est la position préférée de sa mère quand elle baise…

Jane : She used to like being on top, but now she likes to be on her stomach. That way she doesn’t have to see them looking at her scars.

Mouché. Grave mouché. Surtout de la part d’un mec qui doit terriblement redouter de baisser son pantalon devant une femme.

Sa réaction est très intéressante. Claudicant comme jamais, il s’en va grogner sur l’épaule de son bon Wilson que c’est de l’abus sur mineur.

Wilson : Honnesty ?
House : There’s a reason why everybody lies. It works. It’s what allows society to function, it’s what separates man from beast.
Wilson : Oh, I thought that was our thumbs.
House : Do you wanna know every place your mother’s thumb has been ?
Wilson : I’m sorry, I missed rehearsal. Am I taking the « truth is good » side ? Don’t you usually take that part ?
House : Lies are a tool, to be used either for good?EUR? no, wait, I got a better one. Lies are like children. Hard work but they’re worth it. Because the future depends on them.
Wilson : You are so full of love?EUR? or something.

Ca nous renvoie quand même bien à l’épisode où les parents de House lui tombent sur le paletot. Et à la souffrance d’un gamin à qui son père n’a jamais voulu épargner aucune vérité, aussi douloureuse soit-elle. C’est là toute la complexité et la profondeur du personnage : il traque le mensonge mais défend son utilité. J’adore.

(Pour les bubulles qui ont des trous de mémoire, House et sa famille, c’est toujours ici.)

Heureusement, de l’autre côté, à la clinique, paf, il lui tombe une petite blonde qu’il s’empresse de traiter de tapineuse, sans doute pour la draguer. Tout ça parce qu’elle porte un Saint-Nicolas autour du cou. Et comme c’est une petite marrante qui a de la répartie et qui ne s’effarouche pas facilement, elle joue le jeu, la coquine.

Melanie : Prostitutes wear religious symbols ?
House : I think they just like kneeling.

House : Wow, that is a creepy smile.

Et tu aimes ça, mon salaud !

Matez voir comme il frétille, notre pépère !
C’est fou, il a vraiment un souci avec les blondes, il avait fait le coup à Cameron, aussi, la traitant de professionnelle ! Arf, ce mec est impossible.

A part ça, on a quand même un autre dossier énorme, dans cet épisode. Le « secret Santa ». Cette année, House a décidé que chacun offrirait un cadeau à son prochain, anonymement. Hop, les noms dans un chapeau, chacun en tire un.

House : On the other hand, you are now a team, you’ve gotta work together. The simple fact is giving people crap makes people like people. So spend 25 bucks, learn to love.

Et cet emmerdeur de génie qui a bien sûr truqué la chose (il a mis cinq fois son nom, à part ça, l’univers ne tourne pas du tout autour du seul Gregory House, je vous rassure) d’observer attentivement les réactions des petits. Kutner, que je vais finir par rebaptiser Joyeux, est tout content. Thirteen, qui mériterait de s’appeler Simplette, pousse un grand soupir d’exaspération.

Et c’est parti pour la course aux cadeaux, chacun dans son coin, sauf que malgré les petites cachotteries, les NewKids découvrent bien vite qu’ils ont tous tiré le mauvais numéro. Pas très discret, Kutner, qui n’arrête pas de demander s’il ne peut pas mettre un peu plus de sous dans son cadeau.

Thirteen : You must really like who you got.

Et une fois de plus, c’est la gosse qui flaire l’arnaque la première.

Jane : Or really dislike. My mom always gets the best presents to the teachers I get along with the worst.

Uh oh.

Avec ça que House brouille les cartes en ouvrant sous le nez de chacun un joli paquet enrubanné qui contient… un iPhone.

Et même si ses laquais se doutent bien qu’il se l’est offert à lui-même (plus précisément, il l’a chouravé à Wilson), eh ben ça fout quand même bien la merde ! Diviser pour mieux régner, rien de tel, pour House.

Wilson : Have you ever consider channeling your powers to, I don’t know, bring peace to the Mid-East ?
House : I couldn’t do that.
Wilson : But if they ever got it, you could screw it up.
House : Yeah, that’s more where my powers lie.

Ce « secret Santa », au fond, aussi puant et pathétique soit-il, c’est aussi un bon moyen de voir leurs réactions et aussi et surtout, de voir par leurs cadeaux l’image qu’ils ont de lui. L’épisode ne s’appesantit pas là-dessus, mais si House s’attendait à recevoir une pluie de polos et de cravates de mauvais goût, il se retrouve quand même avec une chouette montre (Kutner), une édition ancienne de Sherlock Holmes (Taub) et un vinyle vintage (Thirteen). Je trouve qu’il y a pire. Et ces cadeaux-là en disent long. J’irais même jusqu’à dire que ce sont des cadeaux absolument parfaits. Il ne manque plus qu’une bonne paire de baskets de la part de Foreman qui a passé son tour et le tableau aurait été complet. Moi, je trouve que ces petits, ils le connaissent drôlement bien, leur papa House. Ca doit être pour ça qu’il ne s’attarde pas sur leurs cadeaux. Ils sont trop bien, ces cadeaux.

Beaucoup moins bien en revanche l’état de la pauvre Maggie qui décline à toute vitesse.

Une greffe de moelle osseuse étant nécessaire, on se tourne naturellement vers Jane, mais la mère refuse absolument qu’on fasse les tests de compatibilité sur sa fille. Une visite de House s’impose. Il le tient, son gros mensonge. Pourquoi risquer de mourir si bêtement et de laisser sa fille seule au monde quand la solution semble toute trouvée ? Tout simplement parce que Jane n’est pas la fille biologique de Maggie. Et celle-ci a trop peur que la petite le découvre si elle n’est pas compatible.

C’est désespérant et je suis bien sûre qu’au fond, House aurait préféré ne pas avoir raison sur ce coup-là. Mais le fait est qu’une fois de plus, le mensonge est là. Et ce n’est pas un petit mensonge de rien du tout. Toute la relation entre la mère et la fille repose sur un énorme canular. Mais Maggie préférerait mourir plutôt que de décevoir Jane à ce point.
Dans la foulée, il assiste à une scène qui le laisse complètement sur le cul. Alors que la mère tente de rassurer sa fille, la petite, elle, lui balance une terrible vérité à la figure.

Jane : You’re dying. Nobody can help you. It’s not going to be ok.

Ah ça, c’est une sacrée claque dans la tronche pour tout le monde. Surtout pour House qui s’en va pensivement respirer l’air frais. Avant de se confier à son Wiwi.

House : I saw something amazing. Pure truth. She told her mother that she was dying. Stripped her of all hope.
Wilson : You tell people the cold hard truth all the time, you get off on it.
House : Because I don’t care. She cared. She did it anyway. She did it because she cared.
Wilson : The angels of Christmas have finally given House a present he can appreciate.
House : Oh don’t ruin it, don’t pin this on Christ, he’s got enough nails in him.

House : Take off that hat.
Wilson : It’s Christmas, it’s a reindeer.
House : It’s a moose. On a Jew.

Et là, paf, déclic. Le truc le plus incroyable du monde. Le plus loufoque et le plus incongru. La génétique a joué une farce extraordinaire à Maggie qui pensait s’être débarrassée de toutes ses cellules de glande mammaire pour échapper à la malédiction du cancer du sein. Sauf que son cancer du sein, elle l’a au creux du genou. Une bizarrerie de la nature. Et une ironie qui paraîtrait bien cruelle si on n’était pas si rassurés de voir le cas du jour résolu. Direction la chimio, pour Maggie.

House : Have a wonderful life. (Full of lies. )

Et hop, au revoir tout le monde. Le grand maître tire sa révérence, passant sans s’arrêter devant les NewKids en train de trinquer avec leurs prédécesseurs, véritable passage de témoin, dans le plus pur esprit de Noël.

Mais House a autre chose de prévu. Invité par son amie la pute à venir admirer son spectacle où elle intervient avec un âne (à l’origine de ses vilains boutons), on découvre alors que le fameux spectacle se déroule dans une église. Et que la fille de mauvaise vie est en fait… la Vierge…

Han.

House, House, House. Tu es sublime d’ignominie, génial de méchanceté… et parfois formidable de bêtise.

Ah, le bel épisode de Noël que voilà. Dommage qu’on l’ait eu au mois de janvier. En attendant, bel équilibre entre un cas du jour vraiment très mystérieux, un cas clinique bien libidineux et une exploration de la nouvelle dynamique de l’équipe parfaite.
Et maintenant, je vais me régaler devant Frozen. Si tout va bien, je serai presque à l’heure. N’oubliez pas que suis obligée de voir les nouveaux épisodes avec le Dark Side. Alors patience.

Posted by on Avr 27, 2008 in House M.D. | 21 comments

21 Comments

  1. Hum, il a un Mac le House ?? Lucky bastard… (oui, depuis quelques temps je mate toujours les OS des ordis dans les films…)

  2. Non, il fouille les ordis de sa patiente. LOL (Cela dit, il y a l’air d’avoir de monstrueux Mac Pro, dans l’hosto, House a plusieurs iPods et Wilson aussi… )

  3. Aaaah, j’avais oublié à quel point les derniers épisodes de House étaient chouettes, ça fait super plaisir de se les remettre en mémoire, merci Sorcière ^^ J’avais bien aimé la façon dont House, qui reproche à tout le monde de toujours mentir, semble espérer, dans cet épisode, que quelqu’un se mette à mentir 🙂

    azal tsii > ça pourrait être une chouette note fourre-tout, ça, une note où on répertorie toutes les séries où apparait un Mac?EUR? y’en a un paquet, hein !

  4. D’ailleurs, dans le prochain épisode, on voit que House a un macbook pro. LOL (Comme sa Sorcière traizaimée.)

  5. tiens, ça m’étonne, j’avais pas reconnu l’actrice… je n’ai jamais (encore!) vu un épisode de TWW, mais j’ai lu quelques reviews, et je pensais que je l’aurais reconnu!

    sinon, de l’épisode, je me souviens que House m’avait vraiment fait tripper avec le coup des cadeaux (en effet, ils sont parfaits, en adéquation avec House et les kids! le coup de l’iphone de Wiwi, trop drole!

    ensuite, ses débats avec Wiwi sur la vérité et le mensonge, et surtout "Pure truth"! le fait que ça l’ai remué!

    et le coup de la péripatéticienne, j’ai réagi un peu comme House, le même sourire…

  6. J’adore également la méchanceté avec laquelle il balance la réplique à Thirteen, lui disant qu’elle est jalouse de la patiente qui a eu le courage de faire ce qu’elle n’a pas pu faire. Pour se reprendre vite parce qu’il a besoin d’elle. La violence verbale dont il peut parfois faire preuve a tendance à m’enivrer. 😀

  7. Clot: oui ce serait une idée… J’en ai déjà repéré deux dans Doctor Who^^et dans une autre série il y a eu deux Imacs aussi^^ bon après vu ce que je regarde en ce moment il risque pas d’y avoir d’ordis à la pomme!
    Bon, tout le monde s’en fout, mais je vais bientôt en avoir un, j’ai décidé! c’est le seul OS qui me reste à tester et je pense pas être déçue (bon quand je parle des OS introuvables ou inutiles comme Solaris et AmigaOS)

  8. "cette magnifique série qu’est The West Wing, en tant que fan absolue" : as-tu essayé The Wire ?

    Je n’ai pas vu assez d’épisodes de The West Wing pour juger la série, mais il me semble qu’il y a énormément de similitudes avec The Wire : réalisme et politique, traitement de thèmes sociaux, etc.
    Notamment vers la fin de la série, durant certaines scènes j’avais presque l’impression d’être dans The West Wing.

    Et même indépendamment du thème (qui change à chaque saison), The Wire est indéniablement une grande série avec de très bonnes critiques. Et avec une vraie fin (ce n’est peut-être pas Six Feet Under, cela dit ça devient assez rare avec toutes ces annulations pour être bon de le préciser).

  9. Superbe review comme d’hab, tout est dit.

    Mais, bon , faut pas trainer, aller, aller, faut se dépêcher d’arriver au 412 !!!
    Il est tout simplement jouissif !!!!

  10. Keger : truc de flics, laisse tomber… 😉 Céline, merci, je l’ai déjà vu, seulement pas encore reviewé… et je me dépêche, je me dépêche. 😉

  11. "truc de flics, laisse tomber… "
    bon, à cause d’une petite saleté sur mon écran, j’ai lu "truc de filles", alors j’ai donc essayé de comprendre, et comme j’ai vu que, même pour une Sorcière, cela n’avait aucun sens, heureusement que j’ai relu…

    bon, à part raconter ma vie, je viens de tilter que le dernier House est sorti aujourd’hui!! enfin, hier, mais donc aujourd’hui!!!!!!

  12. Ouais. Demain pour nous avec El Dark Side, j’espère !

  13. "truc de flics, laisse tomber…" : ah oui mais non !

    Moi non plus j’aime pas les séries policières. Comme série policière que je regarde, à part The Shield (dont l’intérêt n’est pas vraiment dans la côté policier en fin de compte) il n’y a guère que NCIS (qui est plus ou moins à une série policière ce qu’House est à une série médicale). Toutes les séries comme Law & Order et ses deux spin-off, CSI et ses deux spin-off, etc. je trouve ça bien trop redondant.
    Et plus la série avance, plus The Wire perd de son côté policier au profit du côté politique.

    "(David) Simon has said that despite its presentation as a crime drama, the show is ‘really about the American city, and about how we live together. It’s about how institutions have an effect on individuals, and how?EUR?whether you’re a cop, a longshoreman, a drug dealer, a politician, a judge [or] lawyer, you are ultimately compromised and must contend with whatever institution you’ve committed to.’"

    Déjà contrairement à toutes ces séries policières classiques, The Wire a une histoire qui s’étend sur toute la saison (voir sur plusieurs saisons pour certaines parties de l’histoire).
    L’évolution des personnages est assez impressionnante. Je n’ai en tête aucune série où la position des personnages évolue autant entre le début et la fin de la série.
    C’est aussi une de ces séries où il y a tellement d’antagonistes que définir UN personnage principal serait un vrai défi. Selon IMDB : 6 acteurs ont joué dans la totalité des 60 épisodes et 15 acteurs ont joué dans plus de la moitié des épisodes. C’est quand même assez éloquent comme chiffres.

    Et puis au delà du thème, c’est une des meilleures séries à la TV, c’est tout :p

  14. Je suis déjà réfractaire à The Shield. Ce n’est pas que ce soit plus ou moins policier, je n’aime pas ça du moment qu’on voit l’ombre de la queue d’un keuf… Et même le titre me paraît déplaisant. Si tu veux, pour t’expliquer, je crois que c’est le Dark Side qu’il faut que tu travailles au corps, parce que moi, ça ne sert à rien. Et il n’y a qu’elle qui pourra m’obliger à poser mon cul devant ce genre de série. La seule autre raison pour laquelle je pourrais regarder ça, c’est s’il y avait Johnny Depp dedans. Il y a Johnny Depp, dedans ?

  15. pourtant, l’arrivée d’un flic dans House nous a donné des épisodes merveilleutisime!! 😉

  16. Oui mais moi je ne vois que House… Si la série s’était appelée « Tritter », je ne l’aurais jamais regardée…

  17. Non il n’y a pas Johnny Depp. Cela dit selon IMDB il n’a joué dans aucune série TV depuis 21 Jump Street. Tout de suite, ça limite.

    Et les avocats, ça fait comme les flics ? Je suis en train de découvrir Damages, et le premier épisode est prometteur (cela dit j’attend de finir la saison avant de juger).
    Une sorte de mélange entre Michael Clayton et Memento, si tu as vu.

  18. Damages me tente davantage, mais surtout à cause de cette folle furieuse de Glenn Close ! Mais je ne suis pas très avocats non plus…

  19. pourtant, avec une bonne sauce et des petites crevettes, c’est excellent!!! et très bon pour la santé!

  20. Je viens de finir Damages, et ça vaut vraiment le coup ! C’est radicalement différent de The Wire, mais c’est tout aussi bon !
    Et pour toi qui aimes tant analyser les relations entre les personnages, t’as du boulot sur la planche là, vu que toute la série est basée presque uniquement sur ça.
    Et effectivement Glenn Close est fabuleuse dans son rôle, bien au dessus du rôle qu’elle avait dans The Shield.

    Damages, c’est le genre de série qui est tellement bien que je me demande comment je n’en ai jamais entendu parler avant et pourquoi personne ne me l’avait conseillé jusque là !

  21. Le niveau s’est drôlement relevé depuis un moment ! Là on a du très bon House ! Drôle ET pertinent !

Post a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Top