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312 : The sound of drums

Ah. Oh. Oups. Et là, ça part dans tous les sens.

Basically, nos trois lascars parviennent à échapper aux dents des sauvages de la fin du monde grâce à un truc très con : le bracelet de Time Agent de Captain Jack, boosté au Docteur. Forcément, ça aide.

Ils se retrouvent donc quatre jours après le début de la saison 3, et guess what ? La Grande-Bretagne vient d’élire un nouveau premier ministre. Et voilà pourquoi Martha trouvait la voix du Master familière.

J’adore la réaction de Ten quand il se rend compte que le Master est accompagné d’une First Lady.

The Doctor : That’s him… he’s Prime Minister. The Master is Prime Minister of Great Britain.

The Doctor : The Master and his wife !

Arf. C’est vrai que ça fait pas super Time Lord, ce genre de détail. Par contre, c’est assez marrant d’entendre le Master faire référence à sa femme en tant que « faithfull companion ». Ouais ouais ouais. Il a l’air d’aimer les jolies filles, le Master. Ca me rappelle quelqu’un, ça.

Bon, par contre, c’est assez marrant de le voir procéder. On dirait vraiment un Ten version evil, ce serait tordant s’il n’était pas aussi flippant. Du coup, c’est juste fascinant. Tout comme son débit de grimaces à faire pâlir de jalousie Doctor Ten.

The Master : No ! No, that wasn’t funny. Hmm. You see, I’m not making myself very clear. Funny is like this.

The Master : Not funny is like this.

Et le petit coquin d’enfumer tout son cabinet qui commence lui aussi à tirer la grimace.

Ah ouais quand même. Je pense qu’il y a bien longtemps, sur Gallifrey, une Time Lady a bercé son gamin un peu trop près du mur. Hum.

En parlant de ça, vous avez bien sûr remarqué que durant chaque saison, il y a des indices sur le twist final, tout ça tout ça. Bad Wolf, Torchwood… Si l’ami pekA ne m’avait pas gentiment dévoilé le nom de la planète du Time Lord, j’aurais appris dans l’épisode de la mariée hurlante que cette planète s’appelle Gallifrey. (Oui, j’ai soigneusement évité de faire trop de recherches sur les précédentes incarnations du Docteur, histoire de me préserver certains détails.)
Or, j’ai trouvé étrange que jamais au cours des deux premières saisons, cette planète ne soit jamais évoquée nommément. Et qu’elle le soit dans l’épisode zéro de la saison 3. Avant de l’être extrêmement régulièrement au fil de cette saison 3. J’en suis venue à rêver d’y faire un tour, sur Gallifrey. Et dans cet épisode, on me sert ce rêve sur un plateau. Entendre le Docteur parler de Gallifrey, c’est déjà rare et précieux. Mais voir Gallifrey, rah. J’en aurais pleuré.

(Quand je pense que lorsque j’ai confié mon petit espoir au Dark Side, cette rosse m’a rétorqué avec un toupet pas possible, que non, planète d’origine du Docteur, pas du tout… )

Enfin, voilà ce qui à mes yeux a sauvé le Master. (Outre le fait que John Simm est un acteur fabuleux.)

Voilà. Je pense que si je n’avais pas appris qu’une fois à Poudlard, l’avant-dernier Time Lord a pété une durite parce que le Choixpeau lui a indiqué qu’il devait aller à Serpentard, je ne lui aurais jamais pardonné d’être aussi basiquement maléfique. C’est vrai, quoi. Régner pour régner, détruire pour détruire…. euh. C’est un peu indigne d’un Time Lord, non ? Forcément, qu’il soit devenu fou à huit ans, lorsqu’on l’a placé devant le Temps, ça m’a un peu aidé à digérer la chose. Et la musique, m’a bien calmée, aussi.

The Doctor : Children of Gallifrey are taken from their families at the age of eight, to enter the Academy. Some say that where it all began, when he was a child. That?EUR(TM)s when the Master saw eternity. As a novice, he was taken for initiation, stood in front of the Untempered Schism, that?EUR(TM)s a gap in the fabric of reality through which could be seen the whole of the vortex. We stand there, eight years old, staring at the raw power of time and space, just a child. Some would be inspired, some would run away?EUR? and some would go mad.

Merci de cet éclairage, Docteur.

Parce que je ne veux pas dire, mais quand on découvre ce que le Master a fait du Tardis, moi, j’ai failli me mettre à bouillir de rage. Une machine à paradoxe ?! WHAT THE… ?!

Pauvre Docteur qui manque d’en faire une jaunisse…
Bref, il a quand même bien vachement bien prévu son coup, le petit Master. De partout. Car outre cela, en un rien de temps, voilà la famille Jones devenue cible gouvernementale. La mère, le père, la soeur. Tout ce petit monde est mis aux fers en deux temps trois mouvements.
Car la jurisprudence Rose Tyler est formelle : si vous voyagez avec le Docteur, à un moment ou à un autre, il faut passer à la caisse. Et soupirer après le Docteur qui ne vous regarde même pas, ben c’est tout juste un acompte. Alors d’abord, on fait un petit peu exploser le joli appartement de Martha.

Et puis ensuite on lui fait bien comprendre que sa famille va en chier, ce qui est le meilleur moyen pour faire repérer le Docteur, Martha T’ES CONNE OU QUOI ???

(Définitivement, elle est conne.)

Et en plus, vas-y qu’elle t’engueule Ten tant qu’elle peut. Ben elle est pas gonflée, la gonzesse.
Ensuite, les deux Time Lords, tout beaux comme tout, se disent des tas de gentillesses au téléphone, tout ça, et puis hop, atelier bricolage !

On s’amusera quand même de remarquer que le Docteur fronce terriblement les sourcils en apprenant l’existence du nouveau Torchwood du Captain Jack. Et on riera un peu vert en imaginant Owen, Gwen, Tosh et Ianto en train de chasser l’oie sauvage dans l’Himalaya, puisqu’il semblerait que c’est là que le Master les a envoyés en ouacances. Sacré Master. Quel humour.
Le « I did it for you in your honor » de Jack à propos de Torchwood a manqué de me faire verser des larmes de tendresse. C’est trop mignon. Tout autant que lorsque confrontés à l’explication du Docteur sur la clé du Tardis qui rend invisible sans vraiment rendre invisible, Martha et Jack se regardent d’un air quelque peu complice.

The Doctor : Just shifts your perception a tiny little bit. Doesn?EUR(TM)t make us invisible, just unnoticed. Oh, I know what it?EUR(TM)s like ! It?EUR(TM)s like?EUR? It?EUR(TM)s like when you fancy someone and they don?EUR(TM)t even know you exist. That?EUR(TM)s what it?EUR(TM)s like. Come on.
Jack (à Martha) : You too, uh ?

Enfin, tout ce petit monde se retrouve à bord d’un machin extra qu’on croirait presque échappé de Stargate.

Où doit avoir lieu le premier contact avec une race alien formidable blablabla on voit venir gros comme une maison que c’est l’arnaque.
J’ai quand même par moments eu super envie de botter le cul de Ten. « No second chances, I’m that kind of a man. » qu’il disait. HELLOOOO ? Ca fait combien de chances que tu lui donnes, au Master, jeune homme ? 342 ???
J’ai trouvé ça extrêmement touchant qu’il ne veuille pas le tuer. Mais bon Dieu de bon Dieu, quel jeu risqué il joue, le Ten !
Lui si viscéralement attaché à la Terre (si on en doutait encore, cet épisode et le suivant dissolvent les derniers doutes), mais comment peut-il encore trouver le moyen de dire :

The Doctor : I’m not here to kill him. I’m here to save him.

Mais il est irrécupérable, mon lapin !!!

The Doctor : All we?EUR(TM)ve got is each other.
The Master : Are you asking me out on a date ?

(Et moi, dans mon coin, je me dis qu’il faudrait bien qu’il le tue de sa main, ce Time Lord, histoire d’être symboliquement le destructeur de sa propre race. Ah ah ah, ce serait pas énorme, ça ???)

Bref, l’autre zinzin, histoire de tout lui prendre; nous le vieillit physiquement de cent ans, ce qui est absolument HONTEUX !

Et c’est dans cette enveloppe grotesque que le pauvre Docteur va assister impuissant à l’invasion de cette planète qu’il aime tant.

Mais qui sont donc ces étranges envahisseurs… La réponse du Master, chuchotée à Ten, m’a fait frissonner de trouille.

The Master : If I told you the truth, your hearts would break.

(Je précise que sur ce coup-là, je n’ai pas capté. Pourtant, la machine à paradoxe aurait dû me mettre sur la piste.)

Bref, pauvre Docteur, si vieux, si laid, si perdant. Et encore obligé d’assister à son échec.

The Master : Remove one tenth of the population !

Martha Jones, miraculeusement échappée, sera-t-elle capable de sauver le monde ?

Ben voyons.

Voilà. Bon. Il y aurait un million de choses à dire de cet épisode, moi, j’en ai surtout gardé les confrontations entre les deux Time Lords (et les deux acteurs qui sont extras) ainsi que les réactions de Ten qui sont assez fascinantes. Je trouve vraiment intéressant qu’on l’attaque dans sa chair, cette fois, après lui avoir retiré sa bien-aimée dans le final de la saison 2. Qu’on l’humilie, qu’on le torture un peu, physiquement et moralement. Après la disparition de Rose de sa vie, l’attaquer sur ce plan-là, ainsi que sur le plan « last of the Time Lords », c’était sans doute la seule chose envisageable. Pauv’ biquet. Le truc c’est qu’il finit toujours par tellement bien s’en remettre…

(Désolée, c’est décousu, plein de trous, mais c’est l’enfer pour reviewer, en ce moment. Journées pleines à craquer. Et pas le temps de revoir les épisodes.)

Posted by on Mar 16, 2008 in Doctor Who Episodes | 32 comments

32 Comments

  1. En voila un épisode dur à rewiever, malgré tout tu t’en tires avec les honneurs, c’etait tellement difficile, impossible de ne pas être un peu brouillon, et pourtant tu y arrives.
    Dans cet épisode je retiendrais les interactions entre Martha et Jack qui décidément ont beaucoup de point commun et l’incroyable duo entre le maitre et le docteur, c’est du grand art ma foi. Et puis le fil linéaire, torchwood, gallifrey, le tardis, le paradoxe, tout ça peut donner le vertige.
    Et la fin, mon dieu quelle fin, j’ai trouvé Martha et JAck sublimes, ils souffrent de voir que leur grand amour a pour l’instant échoué, les quelques minutes de fin et les musiques sont à couper le souffle.

  2. ce que je retiendrais c’est surtout John Simm qui éclipse tout le monde…Oh My God, il est énorme !

    *The Doctor : All we?EUR(TM)ve got is each other.
    The Master : Are you asking me out on a date ?*

    même si la situation ne s’y prêtait bien, ça m’a bien fait rire…et puis le petit numéro du Master avec le président des States (j’adore comment ils mettent en avant le fait que les States veulent tout controler mouarf !) quand ils se rencontrent, excellent !

  3. Ca fait très Stargate vs Doctor Who…

  4. *même si la situation ne s’y prêtait bien*

    => erreur : "pas" au lieu de "bien", urgh

  5. comment dire… J’aime John Simm !!! Voilà, c’est dit !

  6. Hanlalalala, cette fin de saison est tellement sublime …
    Le discours du Master où il s’adresse clairement au Doctor. Les dialogues et la réalisation du "conseil des ministres". Le vrai visage des Time Lords et de Gallifrey, l’enfance du Doc, à chialer. L’arrivée sur le porte avions, qui est sensé déjà exister au passage. La machine à paradoxe. La scène énorme du Master face au président, magnifique, la revanche que l’Angleterre attendait depuis la grosse fête du thé des ricains. "Laser screwdriver. Who’d have sonic ?". Et puis le Master qui vieillit le Doc, c’est horrible cette scène.
    Rha et puis la musique du "débarquement" des "boules", on s’y attend trop pas, c’est tellement génial et tellement Master pour le coup !
    Au début j’ai cherché les motivations du Master, mais en fait c’est juste un gamin traumatisé et toujours pas guéri.

  7. Hé mais ça sent le reproche là dis donc ! Sérieusement, je t’ai gâché un truc en te révélant le nom de la planète du Docteur ? Je l’ai juste appris en cherchant quelques infos sur l’ancienne série, je pensais que t’étais au parfum aussi… Et puis franchement c’est tellement dur de passer à côté, tu tapes Doc Who dans google et c’est affiché direct, sans parler des références qu’on peut trouver un peu partout (David le dit quand il est passé au maillon faible, Tate aussi dans son sketch avec David…). Pour moi c’était pas du gros spoiler en tout cas… (heureusement que j’ai pas laissé échapper qu’il restait un autre Time Lord, sinon je me serais fait appeler Arthur!)

  8. PekA : fétichiste des noms, remember ? Si je l’avais entendu la première fois au lieu de le lire, j’en aurais mouillé ma culotte, c’est sûr. Et comme je le disais, je n’ai pratiquement rien cherché sur le Docteur pendant tout mon visionage de peur de me spoiler. Donc je ne savais pas.

  9. Bah moi je connaissais Gallifrey à cause d’un bouquin que j’avais lu en Angleterre, je n’ai fait le rapprochement que pendant la saison 3 comme quoi 🙂

    Et le dernier, il est où le dernier ?

  10. as-tu lu la fin de la review ?

    *Désolée, c’est décousu, plein de trous, mais c’est l’enfer pour reviewer, en ce moment. Journées pleines à craquer.*

    faut quand même pas abuser, elle le fera quand elle pourra

  11. Je vais faire comme si je n’étais pas déjà à cran à 9h40 du matin rapport à la montagne de boulot que je vais encore avoir à abattre en ce ravissant week-end de Pâques, et je te répondrai donc simplement et en toute amitié : DANS TON CUL !

  12. ce type qui joue le master est aussi un tres bon acteur predisposé aux sauts dans le temps parce qu il est un flic anglais qui passe des années 2000 a 1970 dans life on mars ( tres bonne serie aussi d ‘ailleurs……) comme quoi !!!

  13. Ah booooon ???

    (Arf… )

  14. Comment ils veulent à tout prix nous vendre leur LOF raaaaaah. Je vais devoir vous détester !!!

    Ma sorcière bien aimée : marchi 🙂 🙂 🙂
    Bon. Je vais te laisser respirer jusqu’à Dimanche, moi c’est semaine patinage artistique :kispend:

  15. Bon courage… dimanche, je pense que ce sera posté, arf. J’espère parce que ça me bloque un peu torchwood en attendant.

  16. Bon je me permet d emettre l’info ici pour les rares qui sauraient pas (bah si ca a déjà été dit, zaper ce message je deviens vieux^^) la saison 4 revient sur les écrans le Samedi 5 Avril ! youhou plus qu’une quinzaine de jours et on pourra voir le doc’ enfin (car la tw saison 2 c’est vraiment + possible).

    Je sourcise quand même au passage : doctorwho.xooit.fr/t357-T… 🙂

  17. Ohahahaha!!!
    *plan laugh*
    Bon en même temps la scène sur la planète là je l’avais pas vue, mais effectivement je savais qu’on y allait…. ikikik!

  18. J’ai été déçue un quart de poil de seconde, mais très vite, je me suis doutée que tu étais capable de m’enfumer. Alors j’ai joué le jeu tout en gardant à l’esprit que tu n’es qu’une manipulative bitch ! LOL

  19. Enfin quand même j’ai aussi donné des vraies infos!! Comme le fait qu’il était pas franchement craquounet le docteur sur ce coup-là…

  20. Oui, des infos capitales, c’est vrai.

  21. … capitales…. et qui font plaisir!!
    😀

  22. Hu hu "fétichiste des noms" ! J’aime cette expression. Je retiens 😀
    Je recommencerai plus donc.

  23. Ben oui, fétichiste des noms. Tu as besoin de lire ma review de la boussole d’or, toi.

  24. "Ca fait très Stargate vs Doctor Who…"
    J’avais un peu pensé la même chose quand j’ai vu le Promethée/Odyssée/vaisseau de l’espace…
    Me suis demandée si les scénaristes allaient juste nous jouer le coup à la Indépendance Day (président sauveur of the world et des labradors) ou à la Stargate avec une équipe d’élite dont un lunetteux prenant le contrôle.
    En fin de compte l’épisode malgré une réelle tonalité SF est resté à mon sens plus proche de son inspiration d’origine, c’est à dire "Buffy" qui affronte le méchant final.
    L’équipe du Docteur surtout vers la fin a quelque chose du "Scooby-Band"…

  25. Ok, je crois pas avoir développé d’arguments pour Life on mars. Si ça te saoule, ignore ça. Je fais pas ça pour te foutre la pression non plus. Si t’as du temps cet été n’hésites pas. 😉

    Bref, déjà Sam Tyler, il s’appelle comme ça en hommage à LA Rose. On peut remercier la bout d’choute du créateur. Sam se réveille en 73, yadda yadda. Ce que j’aime beaucoup, c’est qu’on a aucune certitude sur le fait qu’il ait vraiment remonté le temps. Sam entend en effet des voix qui laissent penser qu’il est dans le coma en 2006. Le monde de 73 serait-il une hallucination de sa part ? Ou a-t’il vraiment remonté le temps, et que ça le rend zinzin ?

    Du coup, Sam c’est un peu Alice au pays des Merveilles. Ou des Horreurs, parce que 1973 c’est pas joyeux pour un sou. Complètement paumé dans un monde pas si lointain, mais pourtant si différent, le présent étant "aseptisé"… On pense aussi à Dorothy Gale, et on a des références, Sam cherchant son ticket de retour. Sauf que y’a pas de Yellow Brick Road. Y’a pas de Magicien. Il ne sait plus à quoi se fier. Il est seul, paumé.

    Il va se raccrocher à ce qui lui est le plus familier, son job de flic. C’est là qu’interviennent ses collègues, dont Gene Hunt, chef de département, dont le sang chaud et l’instinct remettront en question les méthodes d’investigation scientifiques de Sam.
    Et bien sûr, en 73, Sam avait 4 ans… *n’en dit pas plus…*

    La photo est sublime, très cinématographique, j’ai rarement vu un éclairage de cette qualité, aussi léché en télé. Je crois que j’en ai suffisamment dit… Je tiens combien sur l’échelle de Popo alors ?

  26. "La photo est sublime, très cinématographique, j’ai rarement vu un éclairage de cette qualité, aussi léché en télé."
    Ah donc c’est pas britannique 😛 (ok je sors…)

    Je vais surement jeter un oeil de mon côté, c’est pas la première fois que t’en parles, et j’ai jamais été déçu par tes recommandations. Fichtre, tu mérites bien d’être meilleur convertisseur d’âmes que moi, Seigneur Maldoran 😉

  27. Merci, Maiky, ça a l’air intéressant. 😉

  28. Je plussoie Maiky, je rajouterais que les musiques sont superbes, les britishs avaient du matons dans les années 70 (ils en ont encore ceci dit) c’est impressionnant.

  29. faut pas oublier le cast, John Simm est entouré de très bons acteurs, surtout Philip Glenister alias Gene Hunt

  30. ah le retour de Jack excellent quand il dit bonjour

  31. cool tant mieux que des gens aime cette serie qu est Life on mars….franchement c ets tre sleger , agreable et franchement ca tiens plutot bien la route je trouve …ca fait un peu kitsh sur les bords c ets vrai mais je trove que ca change un peu des series polmicieres a deux balles qu on apu nous sortir recement …et puis c ets assez loin des ncis et autres aloperies de ce genre…bref de la police roots et franchement qui sent la biere…..que demander de plus …

    moi je suis a fond pour …hihihihihihhi

  32. Le kitsch ne me fait pas (trop) peur…

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