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303 : Gridlock

C’est marrant, plus j’y pense, plus je me rends compte que j’ai énormément aimé cet épisode. Beaucoup beaucoup. Les épisodes qui vous restent en tête pendant de longs jours et dont on a l’impression qu’ils continuent à faire effet longtemps après le générique de fin, c’est vraiment génial.
J’adore le fait que Doctor Who se permette de nous faire la leçon comme ça, mais seulement si on se pose deux secondes la question. Du coup, c’est pas moralisateur pour un sou, et pourtant, plus ça va et plus ça fait culpabiliser un max.

Bref, here we go.

Première question : on peut savoir ce qu’elle fout encore là ???

« Only one trip », qu’il avait dit, l’autre empaffé !

Ah ben oui, mais finalement, par galanterie, il l’emmènerait bien faire un autre voyage dans le futur. Un dans le passé, un dans le futur, c’est quand même mieux.
Mon cul, oui !

Inutile de dire que Martha est enchantée de ne pas rentrer tout de suite chez elle.

Et qu’elle s’empresse de lui demander si on peut pas aller faire un tour sur Gallifrey, juste pour voir. Ce à quoi l’animal lui répond sur le mode badin que non, chère enfant, il y a bien mieux à voir que Gallifrey, Gallifrey, ce ne serait pas drôle pour lui, vu que c’est sa planète natale, blablabla. Bref, il ment comme un arracheur de dents. Ca l’arrange bien de se faire croire dix secondes que sa planète existe encore.
Les voilà donc en route pour New Earth en l’an cinquante milliards cinquante trois (ça ne s’invente pas).
Ce goujat-là trouve quand même le moyen de caser qu’il connaît bien l’endroit vu qu' »ils » y ont fait une petite virée récemment.

Martha : When you say last time, was that… you and Rose ? (Oui, et même que c’était leur voyage de noce !)
The Doctor : Um. Yeah, yeah, it was, yeah. (Wow, quel argument percutant, Docteur.)
Martha : You’re taking me to the same planets that you took her ? (Oups.)
The Doctor : What’s wrong with that ? (J’hallucine.)
Martha : Nothing. Ever heard the word rebound ?

Vous voyez ? C’est pour ça que j’aime bien Martha. Elle a une putain de répartie quand elle se bouge un peu le cul (qu’elle a fort joliment rond).

Enfin, de toute façon, sitôt arrivés la Martha se fait enlever par un couple de jeunots qui ont besoin d’un troisième pour emprunter la voie rapide de l’Autoroute. Co-voiturage oblige.

Cela nous vaut le premier « MARTHAAAAA ! » du Docteur. Je suppute que ce ne sera pas le dernier.
Force est de constater en effet que le Docteur y tient, à ses petits singes. Et je le soupçonne de commencer à s’attacher à celui-ci. En tout cas, c’est mignon de voir à quel point il se sent coupable d’avoir entraîné Martha là-dedans. D’autant que quand il décide qu’il va faire quelque chose, il y va. Quitte à risquer son étroite petite couenne. Donc de foncer sur l’Autoroute blindée de bagnoles ultra-polluantes où des poumons humains ne peuvent pas tenir plus de trois secondes.

Je vais vous dire, quand on vient d’acheter une voiture, ça calme. Ca calme net, même. Cette vision d’enfer ma glacée jusqu’à l’os. J’adore ces incursions terrifiantes dans le futur, pour moi, c’est l’essence même du show : nous faire trembler à l’idée de ce qu’on est en train de devenir. C’est tout simplement vertigineux. Et très triste.

Et la chose nous réserve encore de nombreuses surprises.
En effet, on se rend vite compte que quand on entre sur cette Autoroute, on y reste pendant de longues, longues années avant de pouvoir en sortir. C’est étouffant, flippant. Le Docteur a quand même la chance de se faire recueillir par un super brave type, Brannigan, et sa femme.

(Excellent, ce personnage.)

Ainsi que leurs enfants.

Han. C’est tellement mimi que des petites larmes me sont montées aux yeux.

(Oh mon Dieu, la tête qu’il fait avec les petits chats, je pourrais le manger tout cru tellement il est mignon !)

Bref, Brannigan et sa femme sont là depuis douze ans, entassés dans leur boîte de conserve en espérant un jour pouvoir revoir la lumière du soleil. Et ce qui m’a bouleversée, c’est de découvrir que dans cet isolement désespérant, une petite communauté s’est créée entre ces naufragés de la route, communiquant par radio, et surtout, surtout… s’unissant de temps en temps pour entonner leur hymne d’espoir… J’ai failli en chialer pour de bon. D’ailleurs, Martha ne se gêne pas pour le faire.

Une telle solitude au milieu d’une telle foule, c’est redoutablement contemporain et vrai. Ca fout le frisson. C’est vraiment un grand moment.
Et qui va mettre un grand coup de pied là-dedans ? Le Docteur bien sûr.

Autre chose remarquable, dans cet épisode : l’action, et les effets spéciaux. La petite course de voiture en voiture du Docteur, j’ai adoré. C’est super bien foutu, et lui, dans ce genre d’exercice, il est juste excellent, avec son physique de spaghetti et son petit costard bien serré.

Go, Ten, go !

Dans sa course folle pour retrouver Martha, le Docteur tombe sur une vieille connaissance, Novice Hame, la même rencontrée dans l’épisode New Earth. Et celle-ci lui fait un assez sale plan.

Hop, voilà mon Docteur téléporté dans le Sénat de la cité pour y découvrir que tout le monde y est mort depuis 24 ans, victime d’une drogue appelée « Bliss ».

Brrrrr… Moralité, les seuls survivants sont ceux de l’Autoroute, qui sans le savoir, tournent en rond là-dessous dans un espace totalement fermé… pour leur bien.

Et qui veille sur ce petit monde et les maintient en vie ? Face of Boe…

Face of Boe qui ne veut pas mourir sans rendre la liberté à tous ces gens, condamnés à rester sous terre pendant cent ans pour cause de quarantaine.

The Face Of Boe : Save them doctor, save them.

Aaaaw…

Cette scène où la lumière se fait enfin sur l’Autoroute est sublime…

Magnifique.

Bref, New New York a enfin retrouvé la vie, par contre, pauvre Face of Boe est sur le point de casser sa pipe, et comme promis, il va enfin révéler son secret.

The Face of Boe : I have seen so much, perhaps too much. I am the last of my kind. As you are the last of yours, Doctor.
The Doctor: That’s why we have to survive. Both of us. Don’t go.
The Face of Boe : I must, but know this, Time Lord : you are not alone.

Okéééééé !

Ah ah ah, j’adore quand ce brave Ten nage en plein déni, c’est fabuleux. Il est tellement humain, par moments, qu’on se demande ce qu’il a foutu pendant neuf cents ans. Ca lui ferait pas de mal de s’allonger sur un canapé et de parler de sa mère, de temps en temps, à celui-là, et y aurait du boulot !

(Je pense que ce « hug » était un petit peu superflu et surtout prématuré, mais bon.)

Bref. Face of Boe rend l’âme en révélant ce terrible secret (que j’avais un peu senti venir, pour tout dire). Et malgré ma grande expérience en matière de série de SF, je m’émerveille toujours de voir qu’on arrive à nous faire pleurer la mort de ce genre de personnage complètement improbable. Sérieux.

Ten a cette chance qu’il a quand même ramassé quelqu’un qui va peut-être être capable de lui mettre quelques coups de pied au cul. Et heureusement, d’ailleurs, qu’elle pique sa petite crise parce que sinon, elle serait définitivement pathétique.

The Doctor : Alright. Are you staying ?
Martha : Until you talk to me properly, yes. He said… last of your kind… What does that mean ?
The Doctor : It really doesn’t matter.
Martha : You don’t talk ! You never say ! Why not ?

(Et après un long, très long moment… )

The Doctor : I lied to you, cos I liked it. I could pretend, just for a bit, I could imagine they were still alive underneath the burnt orange sky. I’m not just a Time Lord. I’m the last of the Time Lords. The Face of Boe was wrong, there’s no one else.
Martha : What happened ?
The Doctor : There was a war, a time war. The Last Great Time War. My people fought a race called the Daleks for the sake of all creation, and they lost. We lost. Everyone lost. They’re all gone now, my family, my friends, even that sky. Oh, you should have seen it, that old planet. The second sun would rise in the south and the mountains would shine. The leaves on the trees were silver and when they caught the light every morning, it looked like a forest on fire…

Eh ben voilà… Maintenant, le partenariat de Martha et du Docteur peut vraiment commencer… Maintenant qu’elle n’est plus en sursis, maintenant qu’elle est au jus, ça va pouvoir bosser correctement.

Je suis quand même très très curieuse de savoir qui est l’autre rescapé… un autre Time Lord en vadrouille ? Eeeeeenteresting.

Posted by on Fév 21, 2008 in Doctor Who Episodes | 29 comments

29 Comments

  1. Hin hin hin…

    Pas grand chose à rajouter ou à redire… La pollution, la solitude…

    Sinon je suis plus pour les chiens d’habitudes, mais le moment où les chatons voient la lumière du soleil… 🙂

  2. C’est certain que cette scène où la lumière s’abat sur la route est magnifique. Ya un peu de métaphore là dessous mais bon je vais faire comme si c’était pas là. ??a se trouve c’est pas vraiment voulu, quoique des scénaristes comme ceux là c’est pas le genre à laisser trainer un détail.
    Et puis quand Face of Boe explique au Doc pourquoi les gens sont enfermés là dessous depuis tant d’années j’ai trouvé ça vachement triste quand même.
    Par contre t’as pas parlé des gros crabes, mais je pense que c’est pas une grande perte … LOL

  3. Oui, c’était l’occasion pour eux de faire des effets spéciaux sympas, et j’ai appris que c’était de vieux copains du Docteur… mais sans plus, quoi. Martha qui flippe, ça me fait moyen kiffer…

  4. Gniiiiiiiiiii les chatons ze veux ! ze veux ! (dommage que ma mère préfère se contenter du matou snif)

  5. Cet épisode qui pourrait passer un bon épisode banal de la franchise se révèle d’une importance capitale et je crois sans trop m’avancer ma chère Sorcière que tu y as mis ton petit doigt dessus, tu es vraiment finaude (vraiment, vraiment, ça m’épate presque que tu.. enfin bref, tu es dégourdie pour sentir les choses)

    Moi aussi je veux un chaton, une voiture sans les roues et je voulais pas que face de boe meurt, il etait éternel merde, si même les éternels meurent ou va t’on je vous demande.

  6. En même temps, après des milliards d’années d’existence… et puis peut-être qu’on le reverra dans un voyage dans le passé (enfin dans le passé de New New York, quoi… euh, suis-je claire ?)

  7. Claire comme de l’eau de source ma chère !

  8. TU comprend tout toi…incroyable…
    J’avais aussi aimé les chats et vaguement espéré que les crabes mangent Martha , mais bon je savais bien qu’au bout du troisième épisode, ce n’était pas possible
    Il lui explique un peu vite ce qu’il est tout de même… Et pourquoi ce câlin.. Elle n’était pas autant en danger après tout… Vont pas se faire des bisous à chaque fois tout de même …
    Ps : Face de Boe a de la classe !

  9. Bah, pour le câlin, c’est plus pour se réconforter devant la mort d’un ami… c’est un peu une bouée de sauvetage. Et puis il vient de la sauver, quand même… Et lui, il lui met un bras autour des épaules. C’est elle qui colle.

  10. "Et malgré ma grande expérience en matière de série de SF, je m’émerveille toujours de voir qu’on arrive à nous faire pleurer la mort de ce genre de personnage complètement improbable."
    Il est terrible Face of Boe ! J’adore sa trogne (en même temps, il n’a que ça et des rastas ok).

    Ce qui me rappelle que je ne sais toujours pas qui il a épousé dans l’épisode des journalistes téléguidés (si mes vagues souvenirs sont bons, quand on voit l’annonce sur la télé (ta cap Big Bad Wolf) c’est pour ses épousailles).
    Accessoire certes mais ça me titille !

  11. Je crois que c’est pour sa *hum* grossesse. Nan ? Ca voudrait dire qu’il survit à sa descendance, comme le Doc ? Aaaaaaw…. 🙁

  12. Rhan ! je ne me souviens pas !!!! Bon ok, je vais être obligée de reregarder l’épisode. C’est vraiment ballot. :souffre dedans:

  13. Ooooh, zut. Je suis désolée pour toi.

  14. Ah… en lisant ta review je me dis que je vais peut-etre pas chercher suffisament loin… le "you are not alone", pour moi, c’etait ce qui a fait ouvrir les yeux au docteur sur le role de Martha… mais c’est vrai que l’eventualite d’un autre time lord ne serait pas pour me deplaire…

  15. Ah nan, pour moi, c’est une évidence que Martha n’a pas encore trouvé sa place de « companion » encore, elle n’a pas assez d’importance dans la vie du Time Lord pour que ce soit ça. Et d’ailleurs, il le sait, et il le lui dit. Cassage de Martha en règle, une fois de plus. D’autant que pour une légende, ça ferait quand même un petit peu short… Il y a forcément plus… Un gros truc bien énorme qui va lui mettre une bonne misère dans sa petite gueule de rat musqué.

  16. Quand on voit ces chatons tous mignons, je me mets à penser qu’ils deviennent des monstres ensuite !!!
    Dire que baibai il était pareil 🙁 Maintenant il est tout méchant 🙁

    Appelles le pas le rat musqué !!

  17. Oh si, ça lui va tellement bien… Mais c’est gentil, un rat musqué. J’avais hésité avec ragondin, mais un ragondin, c’est vraiment gros, et lui il est tout maigre…

  18. Un ragondin 😮
    Non mais euh !!
    Il est tout mimi !! Tu vas pas l’appeler le rat musqué !! Ca fait peur un rat !! Trouve autre chose !!

    C’est bien de ta région ça d’être obnubilé par les ragondins !! Traites le plutôt de loutre. Une loutre c’est tout mimi. Ou de loup. Mais un rat musque mon dieu 🙁

  19. Une loutre ? Mais il a pas du tout une tête de loutre ! Et puis une loutre, c’est toujours mouillé, c’est pire qu’un rat, ça doit sentir. Et puis il a une tête comme ça, j’y peux rien, moi. En plus il en rajoute avec ses grimaces. Je suis sûre que ça le dérangerait pas que je l’appelle comme ça affectueusement… (Et pour info, je n’ai jamais vu autant de ragondins qu’au parc de Bercy, madame !)

  20. Haaaaaaaaaan.
    Elle me cherche 🙁

    *part lui tousser à la figure*

  21. Appelez-le Pierre P., et n’en parlons plus 😀

    Bon sinon, en dehors du fait que je me promets solennellement de ne plus perdre patience quand je mets 90 minutes à traverser Paris en voiture, j’ai adoré cet épisode. Et j’ai hâte de rencontrer le p’tit frère du Docteur !

  22. Je me marre. Un jour tu comprendras pourquoi et tu feras comme nous : « WHAAAAAAT ??? » Remember. 😉

  23. Mais pourquoi ? Je suis vraiment plus bête que tout le monde ? Ou alors c’est juste qu’avec mon retard, je suis encore trop innocente ?

  24. Non non, il faut voir la suite, tout simplement ! 🙂 Moi aussi, tout le monde s’est payé ma fiole, je te rassure. Mais c’est très mignon et rafraîchissant de voir avec quelle candeur on aborde ces épisodes au premier visionnage.

  25. OK 🙂

    Le pire, c’est qu’à la base, j’étais du genre à chercher à tout prix à deviner ce qui m’attendait, mais tu m’as tellement bercée de "laisse toi aller", "profite", etc. que voilà, me voilà devenue candide ^^

  26. De toute façon, impossible de voir venir, avec cette série. 😉 Ou presque.

  27. *coincé dans un embouteillage à Potiers* , on aura tout vu !
    J’ai commencé à chanter un peu, mais aucun conducteur ne m’a suivi en choeur.Je n’ai que eu droit à un klaxon de la part de la saxo blanche derrière moi , auquel j’ai finement répliqué "exterminaaaaaaaate" à l’intérieur de mon casque. Quel conne.

    Cet épisode va me suivre longtemps, je l’ai tout simplement adoré du début à la fin, c’était superbe ! C’est une idée tellement simple à la base, ça m’épate toujours de faire un chef d’oeuvre d’une situation de tout les jours !

    Magnifique. Martha me plaît beaucoup. Le depart de Billie Piper a été beaucoup plus facile à vivre pour moi que celui de Ten. Beaucoup. Surement parce que le final de la saison 2 était juste divinement bien écrit. Merci les scénaristes, super boulot.

  28. Un changement de Time Lord, ça se met plus vite en place qu’un changement de compagnon… j’ai encore du mal avec Jones. Sinon la nana enceinte sur l’autoroute, c’est Anny de Being Human ! 😀

  29. Cet épisode m’a bouleversée.
    Il n’a l’air de rien, mais il s’avère bourré d’idées que je n’hésiterais pas à qualifier de visionnaires: les lois sur le covoiturage, la vie dans sa voiture, les trajets en voiture intégrés comme des composantes non seulement de la vie de l’individu mais même plus largement de la société, les « Enfants du périph' » (iiiiiih, les chatons!!!)… je ne sais pas, il se dégage de tout ça comme une espèce de poésie douce-amère tristement belle qui m’a marqué l’esprit pour longtemps.
    Quand je pense que moi, un trajet de plus d’une demi-heure ou à moins de 80 Km/h me fait péter les plombs, la sagesse dont font preuve ces personnages prêts à accepter de naître, vivre et mourir sans jamais sortir de leur voiture ou à croire avec un optimisme touchant qu’on peut leur pardonner un kidnapping s’il permet à leur captif de sortir du périphérique fait réfléchir et donne une sacrée leçon.
    C’est donc un épisode qui émeut et fait réfléchir à la fois, mais aussi rire et frissonner: on ne peut qu’être ému devant la communauté des naufragés de la route et leur hymne, rire devant la course poursuite d’une voiture à l’autre de Ten (ah, au passage, ça y est, je suis officiellement amoureuse de David Tennant) et Novice Hame (un nom à donner à mon futur chat, ça! De toute façon, dès qu’on nous claque les gens-chat de New Earth, c’est cuit, je fonds) et frissonner avec les monstres tapis dans les gaz d’échappement, qui font de la seule sortie du périph une sortie vers la mort…
    …tout ça pour découvrir au final qu’au contraire cet embouteillage sans fin a sauvé la vie de ceux qui y étaient coincés; quel vertige que de se dire que ce sont juste les quelques milliers d’automobilistes coincés dans un tunnel qui ont survécu quand tout ce qui était à l’air libre a péri sur la planète… et quel moment d’intense émotion et jubilation quand enfin le toit s’ouvre et le soleil réapparaît sur ce monde!
    Après ça, l’évocation de Gallifrey ne peut que mettre les larmes aux yeux, la mort de Face of Boe qui se sacrifie pour donner l’ultime sursaut d’énergie nécessaire à ouvrir le toit du périph et sauver les vies de ces derniers survivants est le moment poignant que je redoutais depuis 2 saisons, et son ultime révélation au Docteur au moment de mourir, même si je sais déjà à peu près de quoi il s’agit, ne manque pas de pimenter le tout.
    Bref, cet épisode au scénario extrêmement intelligent et abouti est une vraie réussite qui ne peut laisser indifférent.

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