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610 : Faith based initiative

Ca fait bien un mois que j’ai vu cet épisode, et pourtant, j’ai très envie d’en parler aujourd’hui. Hier soir, au Journal, j’ai vu un reportage sur la campagne dans le New Jersey, où les candidats démocrates tentaient de convaincre quelques bouseux de mettre leur nom dans l’urne.
Ca m’a terriblement rappelé les épisodes suivants (j’ai pris un peu de… d’avance, uhuhuh) où ce branleur de Bob Russell, Hoynes et… le troisième candidat démocrate arpentent les bleds les plus paumés du New Hampshire, le tout dans une ambiance polaire, pour tenter de convaincre l’électeur.

Bref, la réalité a soudain rejoint la fiction. A moins que ce ne soit l’inverse.

Je me suis aussi souvenue que j’avais arrêté mes reviews à l’endroit pile où la série bascule. Il y a à la fin de cet épisode un passage de témoin absolument fascinant. Et c’est là que si on y regarde de plus près, on comprend qui sera le prochain président des Etats-Unis.

Mais commençons par une petite info croustillante. Alors que nous pleurons tous (enfin, si on veut) le départ de Donna, eh bien on se rend compte qu’elle n’est pas si loin que ça, la coquine. Elle s’est fait embaucher par Will Bailey et elle va bosser pour la campagne de Russell. Damn ! De tous il fallait qu’elle choisisse le plus minable.

Ironie du sort, son ancien patron va devenir son adversaire…

A la fin de cet épisode, on comprend donc plusieurs choses. D’abord que Donna et Josh vont jouer un rôle absolument central dans cette campagne. Et ça, c’est juste ex-ce-llent.

Car après avoir consulté sa blonde épouse, Matt Santos décide de se lancer lui aussi dans la course à la présidence. Mais à une condition : que Josh quitte la Maison Blanche pour diriger sa campagne. *trépigne de joie*

Les dernières minutes sont vraiment poignantes. Alors que Josh doit faire face à une décision terrible, celle d’abandonner Bartlet pour défendre son candidat…

… on assiste avec désolation au triste spectacle de ce président qui traîne sa misérable carcasse dans une souffrance qu’on imagine épouvantable…

… alors que dans le même temps, Matt Santos nous livre un discours d’une vigueur et d’une innocence touchantes.

Santos : In a time of global chaos and instability, where our faiths collide as often as our weapons, hope is real. There is such a thing as false science. There is such a thing as false promises. I am sure I will have my share of false starts. But there is no such thing as false hope. There is only hope.

Il faudrait vraiment avoir de la merde dans les yeux pour ne pas comprendre que le choix de Josh vient de bouleverser l’histoire des Etats-Unis et qu’il vient d’offrir un nouveau président à son pays.

Je dis chapeau.

Posted by on Déc 14, 2007 in The West Wing | 3 comments

3 Comments

  1. Youpi enfin des coms sur TWW,( Maybe jusqu’à The End )

    Je suis d’ac toi, en voyant la décheance de Bartlet et l’eparpillement de sa garde rapproché on devine mieux la dernière année de c. que va passer Double U.

    MAis pour ce qui est de deviner le prochaine Maitre de Monde Libre ? !!!

  2. Trop évident, à la fin de cet épisode, il est là, l’héritier. Par contre, dans la vraie vie, euh… alors là…

  3. Faut qu’ils arrêtent avec leurs épisodes de la mort qui tue dans cette série hein ! J’voudrais bien aller me coucher ! Mais non, au lieu de ça je reste scotchée devant mon écran…
    Cette série me scotche complètement. Cette saison est fabuleuse, les 2 derniers épis sont…. pfffiou quoi ! Monstrueux ! Et c’est pas fini ^^
    *tape des mains * *saute partout* *gniiiiii* [va essayer d’aller dormir…..]

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