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406 : Whatever it takes

Eh bien il semblerait que chaque fois que je dis qu’après un épisode, House ne va plus se sentir pisser, on en rajoute encore une couche dans le suivant. Car au début de celui-ci, alors que notre héros assaisonne les NewKids tout en savourant avec ostentation le déjeuner de Wilson, sans doute chourravé dans quelque frigo mal surveillé, voilà qu’il se fait débaucher par la CIA.

Alléchées par le titre du visiteur, le Dark Side et moi nous sommes regardées avec le fol espoir que House ait fait quelque bêtise lui valant une fois de plus les barreaux et surtout… les menottes.

Eh bien il semblerait que chaque fois que je dis qu’après un épisode, House ne va plus se sentir pisser, on en rajoute encore une couche dans le suivant. Car au début de celui-ci, alors que notre héros assaisonne les NewKids tout en savourant avec ostentation le déjeuner de Wilson, sans doute chourravé dans quelque frigo mal surveillé, voilà qu’il se fait débaucher par la CIA. Alléchées par le titre du visiteur, le Dark Side et moi nous sommes regardées avec le fol espoir que House ait fait quelque bêtise lui valant une fois de plus les barreaux et surtout… les...

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Posted by on Nov 7, 2007 in House M.D. | 29 comments

206 : Out of time

Ce qui est en train de se produire avec Heroes dépasse la compréhension. Non, vraiment, je ne comprends pas, c’est rageant. Cette série a pourtant tout pour elle ! Des acteurs plutôt pas dégueus, dont quelques uns carrément beaux gosses, une histoire qui devrait tout péter, une science du cliffhanger à faire pâlir d’envie Jack Bauer. Mais non. Les personnages sont de plus en plus ennuyeux (mais où est passé LE Nathan Petrelli ? Comment osent-ils faire d’Adrian Pasdar ce machin transparent et geignard ?) et les épisodes traînent en longueur malgré des révélations et des twists qui devraient nous faire sauter par la fenêtre. Et certains ressorts utilisés sont vraiment pathétiques. Notamment le coup de la destruction de New York. Car oui, braves gens, vous n’imaginerez jamais, après la bombe, ce qui menace cette cité de savoir et de lumière… le virus destructeur, bien sûr.
Ah ben ça, vraiment, on n’y aurait jamais pensé.

Ce qui est en train de se produire avec Heroes dépasse la compréhension. Non, vraiment, je ne comprends pas, c’est rageant. Cette série a pourtant tout pour elle ! Des acteurs plutôt pas dégueus, dont quelques uns carrément beaux gosses, une histoire qui devrait tout péter, une science du cliffhanger à faire pâlir d’envie Jack Bauer. Mais non. Les personnages sont de plus en plus ennuyeux (mais où est passé LE Nathan Petrelli ? Comment osent-ils faire d’Adrian Pasdar ce machin transparent et geignard ?) et les épisodes traînent en longueur malgré des révélations et des twists qui devraient nous faire sauter par la fenêtre. Et certains ressorts utilisés sont vraiment pathétiques. Notamment le coup de la destruction de New York. Car oui, braves gens, vous n’imaginerez jamais, après la bombe, ce qui menace cette cité de savoir et de lumière… le virus destructeur, bien sûr. Ah ben ça, vraiment, on n’y aurait jamais...

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Posted by on Nov 7, 2007 in Heroes | 14 comments

Humeur du jour

Y a pas à dire, il faut un temps d’adaptation… quand arrivent les premiers frimas, je n’ai qu’une envie, c’est revêtir mes plus beaux atours en polaire, rameuter les plaids par dessus, prendre Bill pour me tenir chaud et écrire des reviews toute la journée en buvant du thé. Tout ça en sachant que dans quinze jours, une fois que mon organisme se sera habitué (et que mon bon – iiiik- médecin du travail m’aura enfoncé sa petite aiguille bourrée de vaccin anti-grippe dans le lard), je vais passer l’hiver à pédaler joyeusement, qu’il pleuve, neige ou vente.
Mais au début, n’empêche, c’est violent. Fiou.

Y a pas à dire, il faut un temps d’adaptation… quand arrivent les premiers frimas, je n’ai qu’une envie, c’est revêtir mes plus beaux atours en polaire, rameuter les plaids par dessus, prendre Bill pour me tenir chaud et écrire des reviews toute la journée en buvant du thé. Tout ça en sachant que dans quinze jours, une fois que mon organisme se sera habitué (et que mon bon – iiiik- médecin du travail m’aura enfoncé sa petite aiguille bourrée de vaccin anti-grippe dans le lard), je vais passer l’hiver à pédaler joyeusement, qu’il pleuve, neige ou vente. Mais au début, n’empêche, c’est violent....

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Posted by on Nov 7, 2007 in Humeur du jour | 6 comments

206 : Something wicked this way comes

Je sais que j’ai trois épisodes dans le bab’, mais il fallait vraiment que j’enchaîne pour dire à quel point l’épisode que j’ai regardé hier soir était un supplice. Atroce, à la fin j’ai même coupé le son.

Je ne dis pas, Broadway, c’est toujours sympa, mais là ! Oh my God, quelle horreur, mes pauvres ZOREILLES !

Et pourtant, c’était pas con de mettre « Wicked » en arrière-plan, mais une telle promo outrageuse pour les gueuleuses de cette comédie musicale, franchement, c’est trop, quoi. Une fois, on regarde sa montre en se disant que de toute façon, ça passera vite. Deux fois, on commence à trouver ça louche, et quand ils osent remettre ça pour finir l’épisode, là, le doute n’est plus permis. MAIS ON VEUT PAS ALLER LA VOIR VOT’ COMEDIE MUSICALE DE MEEEEERDE !

Je sais que j’ai trois épisodes dans le bab’, mais il fallait vraiment que j’enchaîne pour dire à quel point l’épisode que j’ai regardé hier soir était un supplice. Atroce, à la fin j’ai même coupé le son. Je ne dis pas, Broadway, c’est toujours sympa, mais là ! Oh my God, quelle horreur, mes pauvres ZOREILLES ! Et pourtant, c’était pas con de mettre « Wicked » en arrière-plan, mais une telle promo outrageuse pour les gueuleuses de cette comédie musicale, franchement, c’est trop, quoi. Une fois, on regarde sa montre en se disant que de toute façon, ça passera vite. Deux fois, on commence à trouver ça louche, et quand ils osent remettre ça pour finir l’épisode, là, le doute n’est plus permis. MAIS ON VEUT PAS ALLER LA VOIR VOT’ COMEDIE MUSICALE DE...

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Posted by on Nov 7, 2007 in Ugly Betty | 2 comments

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