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224 : No reason

C’est pas possible, dites ? Sérieux, c’te série, c’est juste pas possible. Et ce personnage, ptain. Grandiose. Je ne sais plus quoi en dire, moi, tellement qu’c’est bon.

QUEL EPISODE DE FOLAÏE !!!

Bon, mine de rien, House, il ne me facilite pas la rédaction des reviews. Alors on va commencer par une narration plutôt linéaire, et après, j’ajouterai mes commentaires persos, et ce que j’ai compris de cet épisode.

Allez, ma Sorcière, fais claquer les caps !

Me croyez-vous si je vous dis que j’ai à peine été étonnée qu’on voie l’équipe avant le générique ? Bizarre, quelque part, j’aurais dû faire un bond de dix mètres. Le patient est déjà là, il a une langue énorme, House l’examine, et se fout de sa gueule durant le différentiel. Foreman fait sa pincée, et un type entre dans le bureau, demande House, identifie la chose, dégaine un flingue, et badabam !

Une fois.

Deux fois.

Alors évidemment, on est sous le choc, on est limite en train de hurler hystériquement en s’arrachant les cheveux devant le générique, on éventre les coussins, les yeux exorbités, bref, on se dit : MAIS C’EST QUOI CE DELIRE (Et pendant ce temps, Marge fait le café avec détachement, je le précise.)

Après mûre réflexion, on rigole et on se dit : « Euh, madame la Sorcière, est-ce vraiment étonnant que House se fasse descendre par un patient, s’il vous plaît ? »
Oui, bon, j’ai compris, bien sûr qu’il fallait que ça arrive.

Après le générique, nous nous retrouvons donc avec un House qui émerge de deux ou trois jours de black-out…

(Ca, ça fait très très drôle… Par contre, qu’on m’explique pourquoi ils ont mis la vraie date de naissance de Hughrahlalalaquelacteur alors que House est supposé avoir son anniversaire vers Noël… non, je n’ai pas oublié le pathétique cadeau de Cameron dans la saison une.)

House émerge, donc, avec à ses côtés, devinez qui ?

Qui doit avoir le derrière vissé au tabouret vu qu’elle y a passé les deux jours. Les premiers mots de House sont charmants : « You’re pathetic. » Ben il va très bien, le sick bastard !

Hop, en moins de deux, le voilà debout en train d’arpenter les couloirs de l’hosto avec la pompe à morphine et tout le saint-frusquin et Cameron qui trotte derrière à essayer de le raisonner. Déjà très en forme, il la défie de l’arrêter physiquement. Elle le fait.

Brave petite.

(Plus ça va, plus elle me plaît, cette petite Allison.)

Il faut dire que dès son petit lever, House se remet sur le cas du gars à la grosse langue, et entre deux, il va voir Cuddy parce qu’il lui arrive un drôle de truc, dites donc. Il n’a plus mal à sa patte, depuis qu’il a été opéré de ses deux balles.

Avec ça, ajoutez qu’on lui colle aux soins intensifs son tireur d’élite. Eh oui.

Voisins de plumard, si c’est pas mignon. Et House a beau dire qu’il s’en cogne de savoir pourquoi le gars lui a tiré dessus, il n’empêche que ça l’intéresse quand même. Même si la réponse ne peut être que d’une seule sorte :

Tireur : You cured my wife.
House : I’m truly sorry I did that.
Tireur : In the course of investigating her illness, you convinced me that everything was relevant. You needed the truth. I confessed to you that I had had an affair. But it turns out it had nothing to do with why she was sick. Genetic predisposition to brain aneurysms. You told her that. You also told her about my affair.
House : You caught crap. She left you. Now I’ve gotta pay because you couldn’t keep your little killer in you pants.
Tireur : She killed herself.

Ajoutez avec ça que petit à petit, le tireur fou semble développer une vision de House d’une clarté remarquable.

Et ça, c’est très très flippant.

Bon, à force de jouer au con, House fait péter ses points et se retrouve en train de baigner dans une mare de sang.

Avant d’être menotté à son lit d’hôpital.

Où les Kids passent régulièrement pour continuer le diagnostic du gars à la grosse langue.

Alors, comment vous expliquer que j’ai cru mourir pendant cet épisode, et qu’il n’est point évident de comprendre la trame du truc quand vous devez subir à la file une biopsie de la langue (atroce), un oeil qui sort de l’orbite *POP* (ignoble) et une burne explosive (dont Chase se prend les embruns dans la gueule, CA, c’était drôle !) ? Et non, Marge, je n’ai rien pu regarder, je suis une petite chose hypocondriaque, si je regarde ça, je vais me voir avec un oeil qui se barre, c’est sûr.

Bref. Heureusement, entre deux hurlements, j’ai quand même réussi à capter vaguement ce qui se passait.

Il faut dire qu’au fil du temps, l’agacement de House face à son embarrassant coturne ne cesse d’augmenter.

Toujours est-il que House, d’abord persuadé que le chirurgien qui l’a opéré a fait une connerie au niveau de ses nerfs, se rend bien vite compte que quelque chose cloche, surtout quand après s’être pris le chou avec Cuddy, il tourne violemment les talons, et repart avec sa cane sous le bras, bien assuré sur ses deux pattes, sans boîterie aucune.

En fait, Cuddy et Wiwi lui ont fait un petit coup en vache. Soi-disant qu’il était ingérable à cause de la douleur, de la morphine, de sa codéine, bref, ils l’ont foutu dans le coma, rebooté le cerveau, grâce à un produit qui s’appelle kétamine, et qui avait 50% de chances de faire disparaître totalement la douleur de sa patte.

Sauf qu’en tant que toubib, House savait que ce truc existait. Et que jamais on en a entendu parler. Et qu’on lui a fait ça en traître, ça le rend dingue. Au point de mettre un gros marron dans la tronche de Wilson.

Et il y a une explication très claire à cette agressivité, que dis-je, à cette crise de folie furieuse. House est largué. Il a l’impression d’avoir paumé ses neurones en route. Les Kids le rétament au niveau du diagnostic. Il ne traîne plus de la patte, mais il traîne du cerveau. Le symbole est énorme : en perdant son handicap, il a perdu ce qui faisait de lui un médecin d’exception.

Pire encore, il se rend compte qu’il est victime d’hallucinations, ce qui voudrait dire que l’opération n’a pas si bien marché que ça. D’ailleurs, quand il met son poing dans la gueule à Wiwi, ben c’était une hallu.

Le tout sous le regard goguenard de son assassin qui se marre de le voir délirer, crier dans son sommeil… et mouiller son plumard. Humiliation suprême.

Et ça ne s’arrange pas. Si on rigole de le voir sautiller dans les escaliers sans hurler de douleur, on rigole moins de le voir se rendre compte qu’il ne sait plus faire la différence entre hallucination et réalité.

J’en arrive maintenant à cette scène admirable qui m’a fait retenir mon souffle, j’avoue. Toujours obstinément penché sur le cas du gars à la grosse langue (et à l’oeil farceur et à la burne explosive), House suggère de le faire opérer par un robot, super précis et tout. Le type est plutôt dubitatif. Alors House se lance dans une démonstration… sur Cameron. Et… Waouh. Weird. But hot. But weird.

Une caresse sur la joue, un effleurement sur le ventre, un bouton qui saute.

Comment dire ?

Bon bref, au final, n’arrivant donc plus à faire la différence entre la réalité et le reste, et finissant quand même par capter que son coloc’ lui dit un peu trop de belles choses pour être réel…

Tireur : You think that the only truth that matters is the truth that can be measured. Good intentions don’t count, what’s in your heart doesn’t count, caring doesn’t count, that a man’s life can’t be measured by how many tears are shed when he dies. It’s because you can’t measure them. It’s because you don’t want to measure them. Doesn’t mean it’s not real. And even if I’m wrong, you’re still miserable. Did you really think that your life’s purpose was to sacrifice yourself and get nothing in return ? No. You believe there is no purpose to anything. Even the lives you save you dismiss. You turn the one decent thing in your life and you taint it, strip it of all meaning. You’re miserable for nothing. I don’t know why you’d want to live.

House finit par soupçonner que tout n’est qu’hallu. Malheureusement, il a toutes les peines à s’en sortir de cette hallu. Alors pour tout chambouler, il s’en va éventrer son patient à la grosse langue, grâce au robot qui a fait de si jolies choses à Cameron.

Superbe gloubi-boulga d’entrailles, mais merde, il ne se passe rien si ce n’est que les Kids sont hystériques. Jusqu’à ce que « ceci » tombe de la main du mort.

Et là, paf, changement de décor…

House vient de se faire tirer dessus, et à moitié inconscient, il demande que Cuddy lui fasse le coup de la kétamine. Depuis le générique, tout se passait dans sa tête. Evidemment, il arrive un moment où on le sait, mais quand même. Waouh.

Ce qui veut dire, mes chers amis, que la saison 3 sera celle de la guérison, pour House… Ce qui dans un premier temps m’a laissée révoltée. Parce que depuis le début je refuse tout net que l’on nous soigne House. D’une part, ce fumier dégénéré ne le mérite pas, et d’autre part, il ne le veut pas. J’y reviens dans dix secondes.
Il y a, cela dit, une autre option que j’ai évoquée durant la saison 1, à savoir qu’il goûte à la guérison, avant de replonger.
Voilà pourquoi je pense que la saison 3 sera pour House celle de la guérison… et de la descente aux Enfers. Quoi de mieux que de lui rendre provisoirement l’usage de sa patte et tout ce que cela implique… avant que le couperet ne retombe cruellement ?
Comme le disait Marge, il n’y a pas d’autre option possible. Et j’en tremble d’anticipation !

Bon, quelques remarques sur cet épisode, donc, une fois que l’on sait que tout ce qui se passe après les coups de feu n’est que projection de son subconscient.

Reprenons dans l’ordre. L’affaire Cameron : même s’il la repousse constamment et se montre grossier avec elle, il a TELLEMENT envie de garder ses faveurs. Il veut qu’elle soit là quand il se réveille. Je ne parle même pas de l’affaire du robot dragueur qui est tout à fait éloquente, d’autant plus une fois qu’on sait que ce n’est qu’un produit de son cerveau. Le fantasme est énorme. La toucher sans la toucher. Avoir le beurre et l’argent du beurre, mais surtout pas le cul de la fermière. C’est trop drôle mais aussi très triste. Moi, je trouve ça super !
Moralité : si on trouvait un copain bien dégoulinant pour Cameron, dans la saison 3, ce serait vachement marrant, quand même.

Ensuite, passons au tireur. Sachez, braves gens, que si de tout l’épisode, on n’apprend jamais le nom de ce bon monsieur, il est crédité en tant que « Jack Moriarty. » Vous n’ignorez pas qu’il partage le même patronyme que l’ennemi juré de Sherlock Holmes.
Donc, lorsque ce Moriarty ouvre la bouche, c’est le cerveau de House qui parle. Cette partie de lui qui se rebelle de ce que l’autre lui fait faire, de ce que l’autre fait du personnage en entier, de cette vie qu’il lui inflige. C’est la partie de sa personnalité qui n’a jamais droit à la parole, et que cet évènement traumatisant libère malgré House.
Cette partie de sa personnalité qui a honte de faire souffrir les patients et leurs proches, de les tuer, parfois… Et cette petite voix incarnée par Moriarty, House parvient à la faire taire, à un moment, lorsqu’étonnée de voir le tireur dormir autant, Cameron fait une réflexion, et que House confie l’avoir légèrement drogué. Hé hé hé. Mais la petite voix finit toujours par revenir, jusqu’à l’emmener dans la voiture de l’épouse suicidée pour qu’il meure avec elle. C’est pas formidable, ça ? Dites-moi que c’est pas for-mi-dable !
Bref, tout cet épisode, toutes ces chimères, ça ne tourne qu’autour d’une question : est-il prêt à renoncer à la vie et aux repères qu’il s’est construits en échange de l’infime chance de retrouver sa patte. Est-il prêt aussi à renoncer au prétexte qui lui autorise de se montrer aussi revêche, mal foutu et irrévérencieux, et qui finalement lui permet de passer beaucoup de choses dans tous les domaines de sa vie. Est-il prêt, aussi, comme dans son rêve, à renoncer symboliquement à son génie, car on imagine à quel point ce doit être terrifiant pour lui de perdre cela.
Ce qui est amusant, c’est que cette question, ce sont Cuddy et Wilson qui y répondent, dans son fantasme, qui le forcent à franchir le pas.
Et c’est Moriarty, donc lui-même, qui lui donne les clés de la réponse. Ce qui aboutit à la scène finale de l’épisode. Le fait qu’il soit prêt à tenter le coup, à prendre un tel risque, à sacrifier le seul truc qui finalement lui apporte satisfaction, je trouve ça génial, et ça en dit très très long sur la façade, que dis-je, la muraille qui entoure le personnage. Et sur la souffrance, aussi.

Sinon, au final, le charcutage méthodique du patient à la grosse langue, c’est super drôle. Une sorte de fantasme quasi-anal, super gore, celui du médecin qui contrôle et pèse tous ses actes de praticien, et qui là, à la fin se lâche dans une bouillie de viscères qui doit-être le rêve ou le cauchemar de beaucoup de toubibs. Allez hop, on n’y arrive pas, il nous emmerde, finissons-en, comme ça il ne nous gênera plus. Et au suivant.
Ce robot, c’est un peu House, aussi.

Bon, je dois oublier un paquet de choses, sûrement des trucs hyper-importants, mais là, j’ai… un peu mal aux doigts, mine de rien !

Posted by on Sep 6, 2007 in House M.D. | 20 comments

20 Comments

  1. Bizarre, j’ai du me dire presque mot pour mot ce que tu viens d’écrire à la fin. Et j’ai poussé de plus gros hurlements encore au début de la saison 3, m’enfin je n’en dirais pas plus, bas voui sinon c’est plus du jeu!

    "si on trouvait un copain bien dégoulinant pour Cameron, dans la saison 3, ce serait vachement marrant, quand même."

    Bah dégoulinant je sais pas si c’est bien le mot qu’il faut … (hi hi hi)

  2. C’est vrai qu’il était assez fun cet épisode…
    Quant à la saison 3, guérison, rechute et tout ce que tu envisages, eh bien tu verras… et tu seras surprise… même si je trouve que d’une façon générale tu as déjà eu de bonnes intuitions sur diverses séries…

    Rem: rien à voir, mais je trouve que Christine Lagarde, notre ministre de l’économie et des finances, fait furieusement penser à C.J. Cregg de TWW…

  3. Episode très très riche… c’est vrai que je n’ai pas pensé à le revoir sachant en qu’on était dans la tête à House… mais c’est comme un "Usual suspects " la deuxième vision est presque plus intéressante que la première… merci pour l’analyse…

  4. Voilà donc un season finale qui est très très instructif pour la psychologie du psychopathe-personnage principal.
    J’avoue que plus j’y pense et plus je me dis que c’est ce qui va se passer, on va peut être même enfin comprendre pourquoi il est médecin alors qu’il déteste les gens. je le sens bien!

  5. Je déclare officiellement que, en effet, la saison 3 renferme plein de surprises, encore plus que ce qui à été vu jusqu’au final de la saison 2. Nous, en Belgique, en somme un peu plus de la moitié de la 3ème saison, et encore cette semaine, l’épisode 314 nous à littéralement scotché à l’écran avec tout un tas de questions existentiel sur la série et une profondeur de pourriture humaine totalement nouvelle pour notre cher House (ho, le fumier de sa mère, aucun scrupules !!!). Enfin, si je me fais bien comprendre. Oubliez tout ce que vous avez vu jusque maintenant, la saison 3, c’est pire ! Avec un nouveau personnage récurant, mais je ne peux en dire plus de peur de révéler le moindre indice. Sachez juste que plusieurs épisodes seraient digne de clôturer une saison de par leur final qui donne envie d???acheter une machine à voyager dans le temps juste pour être vite la semaine d???après.
    J???ai découvert cette série en marche (environ le deuxième moitié de la saison 1) et depuis je ne rate aucun épisode. La 3 est la plus??? comment dire??? la plus??? tout. Jusqu???à présent !
    Préparez vos serres-dents.

  6. Rah, l’eau à la bouche !!! Derrière le serre-dents. 😉

  7. En-fin ! J’aurais patienté pour avoir ton compte-rendu, et ça valait le coup ! 🙂

    Et tu vas adorer les premiers épisodes de la saison 3… 😉

  8. Une tuerie sans nom. Même si l’idée n’est pas original son traitement l’est vraiment. C’est merveilleusement bien construit et jouissif au plus haut point. House même quand il hallucine il doit rester rationnel. Ce qui laisse juste ce qui faut de marge pour nous faire douter durablement.

    Même s’il faut bien dire on anticipe très tôt le twist.

    Le premier truc qui m’a fait tiquer c’est le réveil de House après le générique… logiquement ce quit doit suivre c’est un *plan sanglant du gars dans une civière entoutée de docs paniqués!*… Un classique qui Doit être dans l’épisode. Le petit doute s’est confirmé pendant la scène "Mexican Food" paske bon : House assis sur une voiture + House en blouse d’hopital + 3 kids qui posent = absolutely Not Real !

    Les scènes gores sont aussi plus gratuites, on voit bien que les scénaristes ont voulu se lâcher et qui d’autre que House peut imaginer des symptomes pareils dans sa tite tête de siphonné? D’ailleurs on n’aura jamais le fin mot de l’histoire sur le patient. On s’en fout d’ailleurs.

    Par contre pour Moriarty mystère complet. House s’est-il souvenu après-coup et en a déduit tout le reste ou alors son esprit ne fait qu’extrapoler? Me penser que c’est la 2è. Moriarty lui dit après tout qu’il était l’un de ses patients. Mais je suppose que le House complètement maso doit trouver une raison rationelle, noble (et donc pathétique) à l’acte de Moriarty.

    La scène avec Cameron c’est la Scène culte instantanée! *Cheshire Cat 1000 watt¨*

    J’ai rit comme une démente lors de la vison de ce passage avec le commentaire du realisateur. Il raconte une anecdote sur le tournage de cette scène qui est um… just too cute and funny as hell

  9. Arf, ben j’ai ma réponse… je viens juste de percuter sur le titre en Anglais… stupides éditeurs de DVD qui se sente obligé de traduire tout tout tout et comme des pieds !…Ils pourrait pas nous donner le choix dans les menu nan mais! Grrr…

  10. Sympa aussi quand tu démarres les DVD, que tu jettes un vague coup d’oeil au menu et aux quatre épisodes, et que tu vois le titre français : « House à terre ». Y font chier !

  11. Aaaah ca ya est tu l’a vu ? Ca c’est de l’épisode de la mort qui tue (ou je cause bien français là) ! Je commente avant de lire ton commentaire : on est tellement influencé…
    House qui fait House même dans ses rêves. Je me suis faite avoir jusqu’au bout…(la fille qui réagit toujours deux heures après. Evidemment que j’ai pas trouvé qui été les FF dans BSG -_-)
    aaah et la scène mmh "olè olé" avec Cameron. Tout au long il garde le contrôle : du pur fantasme housien. J’adore
    Bon je lis ton post (histoire de voir à quel point le mien est nul ^^)

  12. ca y est j’ai lu. Tu as toujours de TRES bonnes intuitions (comment tu fais ? t’a un détecteur de scénarios de séries tv intégré au cerveau ?)
    En tout cas comme d’hab, t’as tout compris. Je me suis aussi dite que ce cher Moriarty (eh eh eh bien joué M’sieu le scénariste, le seul type qui fait chuté Sherlock, c’est Moriarty, littéralement) que ce cher Moriarty était son insconscient ou cette partie de cette personnalité qu’il étouffe sans arrêt. On savait depuis le début qu’il était là, il était temps qu’on l’entende un peu… Je trouve qu’on le retrouve dans la saison 3 d’ailleurs. L’évolution de House est pas mal (Précipite toi sur le301: la scène ou il se mouille dans la fontaine est trop WHOW sexy !)
    Quant au copain baveux de Cameron c’est vrai que… beurk!

  13. Sans doute un de mes épisodes préférés, il déchire grave.

    J’ai tout aimé la dedans, house et le tireur, les conversations qu’ils ont et comment house fait tout pour l’emmerder, j’ai adoré house/cameron, super hot comme scène, j’en revenais pas, j’ai du me la passer en boucle. J’adore comment on est perdu dans cette épisode entre rêve et réalité, je savais plus moi a un moment, même si j’ai fini par me dire que oui peut etre il pionce depuis le début, mais j’ai eu peur qu’il déchiquette le gars pour rien aussi.

    Le type a la langue, c’est carrément dégueut en fait, j’ai eu du mal a regardé, surtout l’oeil……beurk, j’avais vu ca dans urgence une fois, ca m’avait fait le même effet.

    A voir et a revoir cette épisode.

  14. je crois que c’est le seul épisode où j’ai du faire une pause dans le visionnage… parce que le coup de l’explosion de l’oeil, c’est un truc qui me fait tellement bader!!!

    bon, sinon, à part ca, il est vraiment très beau cet épisode!! j’adore les scènes où ils réalisent qu’il hallucine, surtout celle quand il mange avec son tireur!!
    et la première fois qu’il réalise qu’il hallucine, qu’il en parle à Wilson (j’adore quand wilson sort "really, it’s more helpfull if you do the prescribed rehab yourself") c’est très beau je trouve!!

    bon, pareil, les scènes avec cameron sont d’une intensité diabolique, on a d’abord cameron qui tente de le retenir, et on voit la tension sexuelle entre les deux (j’ai presque cru qu’elle prenait vraiment du plaisir à le toucher…) et surtout le coup du robot!! je trouve que c’est magnifique!!

    et tout à la fin, quand on réalise vraiment que tout n’est qu’hallucination, après la scène de boucherie, on voit House qui accepte de tenter le coup, meme si il sait que cela pourrait endommager son génie!!

  15. Rah ! *coeur*

  16. Aaaahhh !! Gooooooore !!! MWAHAHAHAHAH !!!! LOL

    Et hop, demain, je passe la 3e !

  17. Tu prends ton pied, hein, morpion ? :hinhin:

  18. Oh le sale petit veinard qui a encore 38 inédits à se mettre sous la dent et qui n’aura pas à attendre pour passer la 4ème ! 🙂

  19. Euh ouais, mais bon l’horloge tourne pour rattraper la S5 !

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