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212 : The man in the cell

Ah, enfin ! Je l’ai mérité, celui-là ! Vingt-quatre heures de pause, j’en pouvais plus !

Ce qui m’amène à une constatation terrifiante : j’entame la dernière ligne droite. Encore une poignée d’épisodes et ce sera fini jusqu’à la rentrée. Ce qui me fait peur, c’est que ça m’avait fait pareil pour Prison Break et pour Veronica, et au final, tout s’est dégonflé comme un soufflet. Ce qui me rassure un peu, c’est qu’à cette époque de la saison deux, VM avait déjà bien du mal à maintenir le rythme. Je ne parle même pas de la navrante tournure qu’a pris Prison Break (que je finirai peut-être quand j’aurai épuisé tout ce que la télé a de bon à m’offrir). Là, je n’ai rien à redire. Bones tient grave la route. Elle est de ces personnages à la fois forts et tendres, tout comme Veronica, d’ailleurs, qu’on regarde souffrir avec d’autant plus de compassion et de compréhension. Qu’on a envie d’accompagner. Je croise les doigts pour que ça dure.

D’ailleurs, rien que de voir sa silhouette apparaître dans la première séquence, je ne peux pas m’empêcher de sourire. Eh ouais. Je l’aime, ma Bones.

(Et non, je ne regarde pas la série que dans l’espoir de voir Dave B. torse nu, bande de langues de vipère !)

Evidemment, alors qu’elle marche tranquillou le long des cellules de la prison où se trouve le cadavre du jour, faut qu’elle trouve le moyen de se faire harponner par un des taulards. Heureusement, dans ces cas-là, il faut toujours avoir son ancien sniper à mâchoire bien carrée sous la main.

Oui, c’est bon, darling, tu peux la lâcher, maintenant. Non, non, je t’assure, tu peux lâcher. Voilà. Tout va bien. Gentil. Sage. Et maintenant coucouche panier.

Youhou ! Howard Epps, acte III ! Allez, c’est pas lui, le cramé, hein ? Pliiiiz.

Bones : « This is not Howard Epps. »

Merciiii !

Booth : « Howard Epps escaped. »

Yiiiiiii !

Hanlala, comment que ça roucoule, au labo…

Beurk.

Dès lors, je me dis qu’on va nous les séparer, ceux-là. Ce bisou, le premier auquel on assiste, n’est pas innocent. Hé hé hé.

Sinon, scène très drôle entre les deux girlie girls du labo.

Angela : « How do you deal with the fear ? »
Bones : « I have this. »

Angela : « Oh my god ! That thing is HUGE ! »
Booth : « Where the hell did you get that ??? »
Bones : « The mall. »
Booth : « The mall ??? »
Bones : « Yeah. Pretty big, uh ? Bigger than the one that you have ! »
Booth : « Excuse me, it’s not the size that matters, it’s the way you use it ! »
Bones : « Well I think size is pretty important… »
Booth : « The point is that you shouldn’t have a gun in the first place. »
Angela : « If you do have one, bigger is always better. »
Booth : « You’re not helping. »
Angela : « Right. Yeah. This does seem like a private conversation. »

Et là, le téléphone de Bones sonne et…

Epps : « I want you to know that everything that happens from here on is your fault. »

Bon bref, super flippant (même si basique) le petit jeu de piste d’Howie qui ne cesse de s’en prendre pendant tout cet épisode, aux amis de Bones.

Enfin, pour commencer, il décapite sa tarée d’ex-femme, mais bon.

Mais ptain, en arriver à remonter jusqu’au parc où joue le fils de Booth pour laisser un message clair « je suis là, mon pote »…

Puis piéger la tête de sa femme avec un poison qui envoie direct Camille à l’hosto.

Et enfin foutre une bombe dans le bide de ce qui reste de sa femme, bombe qui manque d’expédier Zack et Booth ad patres…

Fiou. On sue des litres et des litres de flotte, devant cet épisode.

Naturellement, l’étau se resserre autour de Bones qui est surveillée nuit et jour. Mais le taré réussit quand même à s’introduire chez elle alors qu’elle est sous la douche…

Croit-il…

Bones a percuté. Et Booth a percuté aussi. Ouf.

Au final, ce ne sera pas la chaise, pour Epps, mais une chute de quinze mètres.

Booth l’aurait bien sauvé, mais c’est râpé.

Dans la foulée, Booth met un terme à sa relation avec Camille qui est bien vivante.

Booth : « You know what happened to Cam happened because we had a personal relationship. »
Bones : « Had ? »
Booth : « Yeah, people who work in high-risk situations, they can’t be involved romantically because it leads to things like what happened. »
Bones : « High risk situations ? »
Booth : « Every single day it’s with us, there’s this line and we can’t cross it, you know what I’m saying ? »
Bones : « Yes, I understand. He (Parker) seems ok now. »
Booth : « Yeah, you know, it’s important to make thigs right, we just don’t know how. I don’t know how. »

Si proche et si inaccessible, hein ?

C’est le moment idéal pour que Bones tombe amoureuse d’un autre homme…

Posted by on Juin 12, 2007 in Bones | 2 comments

2 Comments

  1. "C’est le moment idéal pour que Bones tombe amoureuse d’un autre homme…"
    En fait c’est toi qui écrit les scénarios ou quoi?!

  2. Alors, je l’ai pensé quand j’ai vu cet épisode, parce que c’est logique et que c’est ce que moi j’aurais fait si j’étais aux manettes. Il se trouve qu’avant de poster cette note, je savais déjà que ça allait se réaliser puisque j’avais vu l’épisode suivant. Mais je ne l’en ai pas moins pensé très fort en le voyant. C’est lisible et cohérent. C’est ce que j’aime dans cette série. Elle est régulière, elle suit un processus parfaitement clair. Bones est en train de grandir, et la prochaine étape, c’est une relation plus profonde. Qui va se solder par un échec car elle n’est pas encore prête pour le Big Love (pour autant qu’une telle horreur existe), mais elle progresse à tâtons, et c’est une des étapes fondamentales de sa croissance. Elle va se ramasser, et Booth la récupérera, à la fois désolé et triomphant. En tout cas, c’est comme ça que moi je l’écrirais. 😉

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