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503 : Hold my hand

Dans la série « Ces gens sont fous mais on les aime bien quand même », je demande le beau-père.

Curieusement, j’ai tout de suite capté.

Quand j’ai vu cette cuisine rétro, ce petit garçon blond et cette femme (ce doit être elle que j’ai reconnue sans vraiment m’en rendre compte), avant même qu’elle l’appelle « Georgie », je savais qui c’était…

Pauvre George. Culpabilisé dès l’enfance par une femme aux abois et abandonnée par son mari, qui ne trouve rien de mieux que de se suicider devant son fils…

Ptain, mais quelle horreur.

C’est que le pauvre George, ça ne s’arrange pas, ses affaires. Ruth découvre des restes de nourriture pourrie dans ses poches et l’engueule comme un petit garçon alors qu’il est déjà super fragilisé…

Du coup, à ses problèmes psy s’ajoute une culpabilité dévorante…

Malheureux comme les pierres, le pauvre George Sibley. C’est vrai que Ruth n’avait pas signé pour ça, mais en même temps, on ne signe jamais pour ça…

Alors ça, ça m’a fait hurler de rire. En déplacement pour une conférence de croque-morts (si si), Rico tombe sur Angela, la tarée qui l’avait remplacé momentanément au moment où il avait été débauché par les concurrents de Fisher and Sons…

Et il s’éclate, le Rico puisque sa Vanessa ne veut plus de lui.

Bon, eh bien Ruth agrave encore son cas en s’engueulant monumentalement avec sa fille (qui lui fait son meanest look ever seen).

Tout ça parce que l’héritage de Nathaniel qui revenait à Claire a été bloqué par Ruth jusqu’à ses 25 ans et qu’elle veut partir vivre en Espagne avec Billy…

Et pour finir, Nate rencontre Maggie qui lui raconte qu’elle aussi a vécu une tragédie lorsqu’elle a perdu son fils de deux ans…

Et là, on se rend compte que ça risque de glisser vers une pente qu’on aime pas bien…

Posted by on Jan 19, 2007 in Six Feet Under | 2 comments

2 Comments

  1. oh mon dieu j’avais oublié cette horreur d’histoire de mère de George!!
    En même temps on en a vraiment besoin pourquoi il dégringole aussi vite et culpabilise autant,qu’est ce que c’est foutu quand même…

  2. Ouais, génial, j’ai adoré qu’on comprenne pourquoi il vit dans un tel fatalisme et un tel sentiment de culpabilité…

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