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210 : The Secret

De mieux en mieux… Avant c’était glauque, là pour le coup ça devient sordide…

Brenda chez la psy, soulagement, me direz-vous. Point ! Cette connasse ne veut pas arrêter de baiser à droite à gauche, juste se sentir moins stressée de le faire !!!

Mais parlons un peu des parents de cette charmante jeune femme…

La mère, déjà, au secours. L’hystéro ménopausée dans toute sa splendeur…

A peine divorcée (ou pas) la voilà remaquée avec son mari. Et c’est parti pour une séance de papouilles publique du genre qui ne met pas du touuuut mal à l’aise !

Le sourire poli de Nate pendant toute la scène est… édifiant…

Faut-il encore s’étonner ensuite que Brenda ait pour meilleure copine une pute de luxe et qu’elle aille traîner dans des soirées échangistes, à sniffer de la coke toute la soirée et à baiser avec des vieux pervers…

Dégueu… partouzes et compagnie…

Pour ensuite se pointer le lendemain la gueule enfarinée à la fête organisée par sa mère en l’honneur de son mariage. Bien, bien, bien… Heureusement qu’elle jarte sa copine la pute. Mais je suis bien tranquille que ça va lui faire l’occasion de faire encore plus de conneries et en toute impunité. Cette meuf me révulse.

Du côté de Nate, ma foi ça s’enfonce très bien aussi. Donc le voilà futur papa grâce à une grande malade végétalienne et complètement cinglée et toxique elle aussi… Et franchement, je trouve qu’il file un très mauvais coton. J’en veux pour preuve cette scène où descendant dans la cave, il s’arrête dans l’escalier en entendant Rico jouer avec son fils.

Brrr… Ce type n’est plus que l’ombre de lui-même…

Pire encore, le rêve qu’il fait, où il voit des enfants s’approcher de lui, l’appeler papa, lui dire comment il les a tués quand il s’est séparé de leurs mères respectives etc etc…

Puis il entre dans une pièce remplie d’enfants qui jouent et qui l’appellent Papa… My god… Horrible. Vraiment horrible. Le pire, c’est le petit regard de Ruth qui distribue des biscuits et du lait à tout ce petit monde…

Et pour couronner le tout, Fischer and Sons se fait poursuivre par Felicia Tillman pour détresse morale. Connasse, t’avais qu’à pas demander à voir ton mari découpée par une hélice de bateau !

Là tout de suite, j’avoue que je n’ai pas trop envie de regarder la suite. Ca reviendra ce soir, à tous les coups…

Posted by on Déc 7, 2006 in Six Feet Under | 8 comments

8 Comments

  1. argh elle a plein de dents la mother!!!
    bouark!

  2. Sérieux, je VOULAIS cette caps. Parce qu’elle fait trop peur !!!

  3. la femme qui fait la mère de Brenda est une ancienne gloire des séries tv mais j’arrive pas à me rappeler de son nom, vous l’avez ?

  4. C’est Joanna Cassidy, Marli.

  5. merci beaucoup !!! je savais que je la connaissais !

  6. ??a faut avouer, la mère, elle est terrible ! Et le truc que je remarque de plus en plus, à part la tronche maussade de Brenda, c’est sa garde-robe. J’hallucine à chaque fois du décalage, non seulement avec l’élégance de sa mère, bien sûr, mais aussi avec son caractère complètement barré alors qu’elle s’habille comme une collégienne ou une employée de bureau un peu coincée. Dingue.

    Par contre le moment où elle m’a le plus dégoûtée, c’est quand elle a jeté sa copine. Alors là j’ai rien capté du tout ! D’où ça sort qu’après la soirée échangiste, d’un coup d’un seul, elle décrète que si elle a dévié du droit chemin c’est de la faute de la pute et qu’il lui faut de toute urgence des amis avec des vraies valeurs ???
    D’ailleurs j’ai bien aimé la réponse de Melissa, qui semble la seule nana censée du lot, c’est dire ! 😀

  7. Tiens, ça m’évoque un truc, la tronche de la mère dans la première capture : tu devrais créer une galerie des plus belles tronches de séries ! 😀 La mère hystéro de Brenda, Crystal, la dame-de-l’accueil de Happy Time, qui est quand même extraordinaire dans son genre (et qui ferait un super pendant à Brenda’s Mum), d’ailleurs même George quand elle attend son premier rendez-vous avec Miss Herbig, ça paie aussi, and so on ! 😉

    Enfin, je sais que tu as des trucs à faire, hein 😉

  8. Moi la scène ou Brenda éjecte la pute, je la capte de la façon suivante. C’est les propos que lui tiens Ruth, qui la réveille un peu. Pour moi, elle réalise que Ruth de qui elle est la plus éloignée, à une image d’elle positive. Qu’elle même, Brenda n’arrive même pas à percevoir tellement elle est abimée. Donc elle décide de se prendre en main. Mais elle ne sait pas encore comment et surtout qui blamer, alors elle met tout sur le compte de la pute.

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