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319 : Ennemies foreign and domestic

Alors là, on touche à du lourd, du très lourd. Du doublement lourd…

Déjà, le point presse de C.J.. Nom d’un iench ! On savait que C.J. avait peu de sympathie pour les pays qui maltraitent les femmes et que ça lui fait vite monter la moutarde au nez. Confirmation !

Là, on apprend que 17 jeunes filles saoudiennes sont mortes dans l’incendie de leur école parce que les secours ne sont pas intervenus pour une raison : elles n’étaient pas vêtues décemment. Et ça, C.J., ça la rend dingue…

Moralité :

Journaliste : « Does the White House have a comment ? »
C.J. : « I literally just got this a minute and a half ago. I haven’t spoken to the President, or Chief of Staff, State or anyone in communications, this is just me. »
Journaliste : « Well, do you have a comment ? »
C.J. : « I don’t, no. »
Journaliste : « I’m sorry, C.J., but you’re not outraged by this ? »
C.J. : « Outraged ? I’m barely surprised. This is a country where women aren’t allowed to drive a car. They’re not allowed to be in the company of any man other than a close relative, they’re required to adhere to a dress code that would make the Maryknoll Nun look like Malibu Barbie. They beheaded 121 people last year for robbery, rape, and drug trafficking, they’ve no free press, no elected government, no political parties, and the royal family allows the religious police to travel in groups of six, carrying nightsticks and they freely and publicly beat women. But « Brutus is an honorable man. » Seventeen schoolgirls were forced to burn alive because they weren’t wearing the proper clothing. Am I outraged ? No, Steve. No Chris. No, Mark. That is Saudi Arabia, our partners in peace. Bonnie, then Scott. »

Et générique.

Wohoh…

Et bien évidemment, le lendemain matin, la messagerie de notre brave Claudia Jean est submergée de messages d’insultes. Mais elle a l’habitude, après le président, elle est la personne sans doute la plus exposée médiatiquement et la plus reconnue. Elle montre ça à Donna… Qui tombe en arrêt, bouche bée…

C.J. a également reçu des menaces de mort…

C.J. lui répond que ce n’est pas très grave, que ça arrive, que ce n’est rien, et elle lui demande de ne pas le répéter…

Donna : « All right… JOOOOOOSH !!!! »

Evidemment, C.J. est blasée…

Et Josh rapplique à fond de train pour regarder le truc…

(Hello ! Could we be standing any closer ???)

Josh décide d’en parler aux services secrets !

Pendant ce temps, c’est le grand retour de Fitziiiie !

J’adore comment Jed l’interpelle : « Fitz ! Fitz, you old polecat, you old so-and-so ! »
Et un peu plus tard : « Fitz, you old horse thief, you old muckety-muck ! »

Débarque donc un agent spécial que d’aucuns reconnaîtront aisément puisqu’il s’agit de Mark Harmon…

…et qui explique à tout ce petit monde et principalement à C.J. que ces menaces-là pourraient bien ne pas venir d’Arabie Saoudite (qui s’en cogne comme de l’an 40, de C.J. Cregg) mais plutôt de l’intérieur, et que la petite envolée lyrique de C.J. constitue une couverture idéale pour cela.

N’empêche que C.J. a encore bien du mal à imaginer que ces menaces puissent être sérieuses et elle refuse catégoriquement un garde du corps. Le président lui sonne un peu les cloches (« You’re part of MY family ! »). Mine de rien, la dernière fois qu’un membre de son équipe a été menacé, ça s’est fini par une fusillade… Et là, il sort l’argument suprême… Des photos de C.J. prises alors qu’elle quittait sa maison… dont une prise à à peine dix mètres de la Maison Blanche…

Gloups…

J’ai beaucoup aimé aussi l’intrigue Russie/Iran/Bombe. Jed s’apprête à partir pour un sommet en Finlande lorsqu’il apprend que la Russie pourrait être sur le point de vendre LA bombe à l’Iran. Aussitôt bien sûr le cirque commence, ces salauds de Russes, blablabla, annulons le sommet… Que dalle ! On comprend que le président russe subit des pressions et il parvient à faire passer un message qui éveille l’attention de Sam pour prévenir Jed. J’ai trouvé ça super fort !

Posted by on Juin 26, 2006 in The West Wing | 2 comments

2 Comments

  1. Ca c’est fort quand même, ponctuer son discours avec "Brutus is an honorable man", je suis sûr qu’il n’y a pas un américain sur 1000 (et pas un français sur 500) pour comprendre la référence.

    TWW, la série qui ne nous prend pas pour des cons.

  2. lol, tu m’étonnes ! Après avoir maté plusieurs séries où justement j’avais l’impression de me faire balader comme un chiffon sale, là au moins, je me sens presque intelligente !

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