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312 : 100 000 Airplanes

YES ! Joey !! Joey va venir faire le ménage dans tout ça ! Vous inquiétez pas, Joey Lucas est là !

?? double joie, c’est aussi le discours annuel du président devant le Congrès ! C’est toujours bien, ces épisodes-là. Et puis cette année, c’est un bon moyen de savoir où en est la popularité de Jed… D’ailleurs, c’est pour ça que Joey est là !

Apparemment, le président se débrouille plutôt bien. Mais Joey donnera les chiffres à la fin de la soirée. En attendant, pince-fesses à la Maison Blanche… Je suis étonnée de ne pas voir Josh secouer Joey en criant : « I want numbeeeers ! »… Ah ben non tout s’explique… Amy est dans le coin…

Bon ben il a dû faire ou dire une connerie (ou être pathétique au pieu) parce qu’elle l’envoie bouler…

(?? suprême félicité. Hier soir j’ai eu le bonheur de voir cet épisode formidable dans lequel Josh se fait humilier par trois femmes… Ultimate… Et quand on connaît son ex, Mandy Hampton, on se dit qu’il doit VRAIMENT aimer ça !!!)

Bref. Sam a déchiré avec son discours. Ca fait deux semaines qu’il bosse dessus, et il est suivi par une journaliste de Vanity Fair, qui n’est autre que son ex-fiancée. Fiou. Doucement, les gars, après trois saisons de no-personnal life, j’ai presque mal à la tête, là !! D’ailleurs elle me revient pas, son ex, elle a une tête de faux-derche !

Flashback deux semaines plus tôt… Leo annonce aux conseillers que Jed a accepté la censure… Têtes de déterrés.

Et va falloir écrire un discours dans ce contexte-là ? Ben ça va être simple ! Toby est sur le point d’en avaler sa barbe…

Et Josh fait sa tête de Corleone-I’m-gonna-make-an-offer-he-can’t-refuse. Pour rappel, c’est lui aussi qui a conseillé d’accepter la censure…

Sortis de là, franche consternation. Josh les envoie tous au turf et plus vite que ça, non mais alors ! Il prend de l’assurance, le garçon. Enfin, encore plus… Enfin dans le travail… Mwahahahahah !

Et c’est donc là que C.J. déballe son projet à Sam. Vanity Fair veut écrire un papier sur celui qui rédige les discours du président. Pas de bol, c’est Lisa-son-ex qui s’en charge… Tsssss… Sam refuse vigoureusement. C.J. insiste, Sam refuse, C.J. insiste encore, de toute façon c’est comme ça, point barre…

Pendant ce temps, Josh fait enrager Donna parce qu’il a rencard avec Amy…

Donna lui demande si c’est leur deuxième rencard ? Non, officiellement, c’est le premier… « Ah ben tant mieux parce qu’en général, c’est au deuxième rencard que tu pars en couille ! »

Mais quelle salope !!

En fait, le problème, et Josh le sait depuis le début, c’est qu’Amy a un mec. Et en plus, il est député. Le truc, c’est que d’après Toby, ce mec ne sortirait avec elle que pour s’assurer l’allégeance des féministes. Donc ni une ni deux, Josh s’en va déballer ses théories à Amy, dates à l’appui… Oui, chou, tenter de prouver à une femme qu’on se sert d’elle, c’est clair qu’il n’y a pas de meilleur moyen de la mettre dans ton plumard. Chapeau bas !! Donc forcément, la miss le renvoie chez sa mère, mais en moins de temps qu’il ne faut pour le dire…

Retour à la soirée deux semaines plus tard, donc. Ptain, Josh pourrait au moins faire semblant de voir que Joey est là, tout de même. Quand je pense que cet abruti s’était mis misérable devant la porte de sa chambre d’hôtel à L.A. ! Ah ben j’ai presque l’impression qu’ils sont en froid, d’ailleurs ! Ah mais oui ! Joey le renvoie chier aussi tellement il est poli avec elle !!! Looool ! C’est formidable !

Et là, l’envoyée de Lucifer apparaît sournoisement derrière lui…

Donna : « So many women… so little charm… »

Sérieux, elle est pas croyable. Elle est vraiment odieuse, mais ça me fait mourir de rire. Cela dit c’est de bonne guerre, hein ? Lui il fait tout aussi pour saboter ses rencards… Arf ! En tous cas elle est tellement gonflée… non sérieux, elle m’épate !!

Revenons-en au discours de Jed ! En fait, celui-ci a eu un coup de folie. Il voulait absolument annoncer que dans dix ans, ils auraient les moyens de vaincre le cancer. Ce qui est certes possible, mais deux semaines, ça fait short pour bétonner un discours là-dessus. Et surtout, les conseillers craignent que cela n’apparaisse comme un grossier subterfuge pour détourner l’attention de la censure et de la sclérose en plaques. En gros, il faut réussir à déchirer, et sans sortir de lapin du chapeau, comme dit Joey. Pas de cancer, donc…

Et à la fin de la soirée après le discours, Joey vient donc délivrer son oracle… Délire… Strong leader : de 41%, Jed est remonté à 69%. C’est l’explosion de joie.

Oui enfin euh… Toby fait ce qu’il peut, hein… Si si, regardez bien, sa barbe a légèrement frémi !!!

Sacré Jed… Il est peut-être chiantissime à un dîner, mais derrière un micro, il sait y faire…

Rideau !

Posted by on Juin 22, 2006 in The West Wing | 2 comments

2 Comments

  1. Si je me souviens bien, c’est dans cet épisode là que j’avais été épaté par les méthodes de sondage de Joey Lucas, avec ses courbes rouges et vertes qui évoluaient au fur et à mesure du discours.

    C’est classe…

  2. La super classe internationale ! Et à la seconde près ! Non franchement, Joey, elle est terrible-euh ! Courbes rouges pour les démocrates, bleues pour les républicains, et vertes pour les indépendants… 😉

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