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WitchWeek de rattrapage, la troisième

WitchWeek de rattrapage, la troisième

Bonjour, my little minions, bonjour !

Comment c’est-y qu’ça va ?
Ici, très bien, malgré une semaine bien triste côté séries, mais que voulez-vous, c’est comme ça, the show must go on.

Allez, mes verrues et moi, on vous tient la porte et on vous dit pourquoi on déprime after the jump…

 

Bonjour, my little minions, bonjour ! Comment c’est-y qu’ça va ? Ici, très bien, malgré une semaine bien triste côté séries, mais que voulez-vous, c’est comme ça, the show must go on. Allez, mes verrues et moi, on vous tient la porte et on vous dit pourquoi on déprime after the jump…   Côté rattrapage : Cette semaine, je vous parle d’une série dont j’ai adoré la saison 1… et nettement moins, hélas, la saison 2 : Daredevil. Bon, j’aurais adoré adorer cette saison, mais j’avoue que d’abord, j’ai mis du temps à rentrer dedans, ensuite, j’ai été exaspérée par Elektra, le personnage ET l’actrice. (Une française, Élodie Yung, très belle au demeurant.) Je dirais que ça manquait un peu d’alchimie entre elle et Charlie Cox. Puis je suis complètement passée à côté des raisons qui font que Matt s’intéresse à elle, pour finir, l’arrivée des Yakuzas m’a définitivement perdue. Par contre, big up à Karen Page qui est plutôt chouette. Ça semblait pourtant prometteur, leur truc. J’étais assez contente du retour de...

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Posted by on Mai 29, 2016 in WitchWeek | 8 comments

La WitchWeek, et de 5 !

La WitchWeek, et de 5 !

Hello my little darlings ! Cinq WitchWeeks de suite, je m’épate moi-même. Mais jusqu’où ira-t-elle ???

Cette semaine, il s’est passé plein de choses ! Viendez, j’vous raconte tout !

Hello my little darlings ! Cinq WitchWeeks de suite, je m’épate moi-même. Mais jusqu’où ira-t-elle ??? Cette semaine, il s’est passé plein de choses ! Viendez, j’vous raconte tout ! Côté séries : – Aussi fou que cela puisse paraître, j’ai totalement rattrapé The Walking Dead. Je ne sais pas comment j’ai fait pour surmonter le peu de sympathie – voire l’agacement – que m’inspirent ces gens (sauf Daryl et Glenn… et encore), il y a peut-être un peu de fainéantise là-dedans, toujours est-il que je me suis enfilé la saison 5 en trois jours. Ce qui fait quatre épisodes par jour. J’ai prévu de publier un billet à ce sujet. J’ai également vu l’épisode 6×01 que j’ai trouvé assez chiant, en fait. À ma décharge, il se passe quand même énormément de choses dans la saison 5, donc même si on n’aime pas trop les personnages, on a quand même envie de connaître les péripéties et surtout la question fatidique : kikivakrevé ? Comme toujours, il y a beaucoup,...

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Posted by on Oct 18, 2015 in WitchWeek | 14 comments

Daredevil : saison 1

Daredevil : saison 1

« Be careful of the Murdock boys, they got the devil in them ! »

Chers amis, le monde est grand, le monde est beau, le monde est généreux : Charlie Cox est ENFIN le héros de sa propre série, grâces au Ciel !

En attendant, je suis dans la merde. Je pensais presque m’être enfin débarrassée du mal honteux dont je souffre depuis des années (et que j’ai dû refiler à quelques un-e-s d’entre vous) : la britonnite aigüe. Eh ben non ! Ça me reprend de plus belle ! Et puis là, je me sens très très atteinte, quand même. Enfin, on va dire que c’est une rechute parce qu’en 2013, j’avais déjà beaucoup souffert à cause de Charlie Cox. Il jouait à cette époque dans Boardwalk Empire, et je vous avoue qu’à mes yeux, la série n’a pas survécu à son… hem… départ. J’ai jamais pu en revoir un épisode !

Toutefois… je restai fort troublée par son passage (son passage sur Mrs Thompson, en particulier ) et à cause de lui, quand je reçois une caisse au courrier, je ressens un certain malaise.
Mais bref.
J’en vois déjà quelques un-e-s parmi vous qui se demandent qui est Charlie Cox. Laissez-moi vous éduquer.

Daredevil 00050

Voici la magnificence en question. Ça vous a une certaine James Callis-vibe, non ? (En beaucoup plus choupi, le genre de type qui est tellement mignon quand il souffre, gnihihi.)

Le pire, c’est qu’on ne m’avait même pas prévenue, non mais je vous jure, tout se perd.
On me dit : « Y a une série Daredevil. »
Je réponds : « Ah, le Daredevil qu’ils avaient fait un film pourri dessus avec Ben Affleck ? »
« Lui-même. »
« Bon. »

Après, je me rends compte que nous sommes en avril, que je suis en vacances en Corse et qu’il est de bon ton de faire des choses absolument passives, du genre de rester parfaitement à l’horizontale et de regarder des séries en bavant sur l’oreiller. De préférence des séries qui ne sont pas une source perpétuelle de déception. (Sivouvoyezcequejeveuxdire.)

Et là, cette conversation me revient. Il se trouve que je me suis abonnée à Netflix parce que je suis très paresseuse et que télécharger, ça me fatigue. Et Netflix que désormais je bénis a fort bien compris le principe du comportement addictif de ses abonnés et sort ses séries homemade tout d’un bloc.
Je jette donc un vague œil sur la chose et là, bing, c’est Charlie Cox.
Du coup, j’ai annulé toutes mes activités verticales et j’ai décidé de passer 48h sur la question.

Ce qu’il faut savoir, c’est qu’en plus de cette foutue britonnite qui me pourrit ma life, j’ai toujours eu un faible pour les gars masqués. À quatre piges, j’étais en transe devant une souris masquée. À six, je ne respirais plus le samedi soir devant Zorro. Et j’ai un souvenir parfaitement intact des scènes où il se fait démasquer. (Dont celle avec son darron, je vous jure, je suis traumatisée à VIE.)
Ensuite, Tim Burton a réinventé Batman, bien sûr… et il y a eu tous les autres.

Alors, est-il réellement besoin que je rappelle le pitch de Daredevil ? Oui ? OK, vite fait, alors : Daredevil, c’est l’histoire de Matthew Murdock, fils de boxeur, qui à l’âge de neuf ans se flanque sous une bagnole pour éviter à un papy de se faire écraser. (Capital sympathie : + 20 000)

Capture d’écran 2015-04-29 à 20.21.15

Neuf ans et déjà un héros, donc.

Bien évidemment, histoire de pimenter un peu le tout, comme certains de ses illustres collègues (dont son grand pote Peter Parker), le mouflet se mange dans la tronche des produits chimiques, enfin le coup classique : le voilà aveugle. Oui, mais attention ! Il devient aveugle, certes, mais comme tout bon superhéros placé en présence de substances bizarroïdes, ses autres sens sont décuplés (voire démilluplés si vous voulez mon humble avis).
Mais attention Jean-Claude, ce qu’il y a de bien dans cette série, c’est que toute Marvel qu’elle soit, elle est hyper-réaliste. Donc pas de trucs fantastiques ou de dieux nordiques venus d’une autre planète. (C’est bien dommage, mais que voulez-vous, ça coûte cher ces petites choses-là.)
On est dans le même univers, d’ailleurs qui sait si tout ce petit monde ne finira pas par se croiser ? J’ai même cru relever quelques fines allusions même si je n’ai pas aperçu la tour Stark, mais bon, mes connaissances dans le domaine sont assez restreintes, je l’admets. (En même temps vous avez maté l’ampleur de l’œuvre, un peu ? GRRM, c’est de la rigolade à côté.)

Bon, la suite, c’est ici. Cliquez, braves gens.

« Be careful of the Murdock boys, they got the devil in them ! » Chers amis, le monde est grand, le monde est beau, le monde est généreux : Charlie Cox est ENFIN le héros de sa propre série, grâces au Ciel ! En attendant, je suis dans la merde. Je pensais presque m’être enfin débarrassée du mal honteux dont je souffre depuis des années (et que j’ai dû refiler à quelques un-e-s d’entre vous) : la britonnite aigüe. Eh ben non ! Ça me reprend de plus belle ! Et puis là, je me sens très très atteinte, quand même. Enfin, on va dire que c’est une rechute parce qu’en 2013, j’avais déjà beaucoup souffert à cause de Charlie Cox. Il jouait à cette époque dans Boardwalk Empire, et je vous avoue qu’à mes yeux, la série n’a pas survécu à son… hem… départ. J’ai jamais pu en revoir un épisode ! Toutefois… je restai fort troublée par son passage (son passage sur Mrs Thompson, en particulier ) et...

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Posted by on Sep 6, 2015 in Fourre-tout | 15 comments

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