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418 : Islanded in a stream of stars

Bon, je crois qu’on ne va pas se prendre la tête étant donné qu’elle n’a pas l’air de vouloir fonctionner sur ce coup-là. Blâmez donc Bear McCreary et son lavage de cerveau de samedi !

Moralité, on va faire simple et opérer un petit tour d’horizon des différents personnages présents dans cet épisode, et basta. Ben oui, chaque saison je cale sur un épisode, de préférence aux abords de fin. Hop, fallait que ce soit celui-ci.

On va commencer par le grand absent du jour, j’ai nommé le Chief. Il y a eu de la coupe franche, dans cet épisode, et Galen en a fait les frais. L’Ours a révélé avoir composé la musique pour une version longue de cet épisode, et il en a profité pour nous apprendre que le Chief était aux fers pour avoir aidé Boomer à s’échapper. Dommage qu’on ne l’apprenne pas dans cet épisode. Maudit format.

Boomer, donc. Et Héra. En vadrouille. J’imagine que le petit jeu de Héra dans ce CIC de projection, n’aura échappé à personne. On n’est pas des abrutis complets, hein.

(N’empêche qu’il y a très longtemps de cela, bien avant qu’on sache que les cylons pouvaient projeter, j’avais noté que les délires de la vieille avaient commencé alors que Héra venait d’être conçue. Et je m’étais même demandée si l’Opera House n’était pas une projection de Héra. Na. A noter que depuis que le petit Liam n’est plus, les visions sont revenues. Et Héra a retrouvé sa place de mini-messie. Logique.)

Et je l’aime bien, cette nouvelle petite Héra, elle a un visage curieusement adulte, avec beaucoup de caractère. Ca doit être la première fois depuis le début que j’ai vraiment l’impression d’être face à une actrice. Et bien sûr, elle parle, elle s’exprime, réclame sa mère, et pleure.
J’ai vraiment aimé la dynamique avec Boomer, qui est décidément tout ce qu’Athéna n’est pas. Et qui menace d’endormir la pauvre gosse pour qu’elle se taise.
Elle qui était si verte que Héra ne lui montre aucun attachement à bord du basestar, qui était prête à la tuer devant sa mère, j’ai trouvé très mignon qu’elle l’emmène dans sa projection, dans la chambre de la fille qu’elle aurait voulu avoir (une fille, bien sûr).

Et qu’au final, elle s’attache tant à elle que ça lui brise le coeur d’aller la poser dans les grosses pattes de l’affreux Cavil, dans sa non moins affreuse colonie.

What the FRAK is that thing ???

Bref, cette scène où l’enfant appelle Boomer, je trouve qu’elle fait incroyablement écho à celle où Athéna pleure sa fille.

Y a de l’eau dans le gaz, d’ailleurs, chez le couple modèle. C’est limite jouissif.

Helo, hop, repasse la balle à Adama. Ah ah ah, j’ai trouvé ça génial de le voir s’énerver comme ça. Nan franchement, j’ai adoré !

Adama : I’ve lost a son and you’ve lost a daughter. (Ptain, super diplomatie, pépé !)
Helo : This ship is dead but my daughter might still be alive !

Ouhlo !

Il n’y a plus guère que la vieille pour le faire encore sourire. Ah ben elle a pas encore cané, dites donc ! Mieux encore, voilà qu’elle nous fait le coup de la cigarette qui fait rire gardée bien au chaud pour les temps difficiles. Allez, fume-le, ton dernier oinj, vieille chèvre, pour sûr que s’il voyait ça, Cottle viendrait demander de faire tourner !

Et finis de nous convaincre l’amiral qu’il faut transférer ses billes, et vite.

Roslin : I know you love this ship. Probably more than you love me. Bill, if you don’t get us off the ship you may loose both of us at the same time. Won’t you give us a chance ?

Slow clap. Comment qu’elle nous retourne le vieux, y a vraiment qu’une gonzesse pour faire ça.
D’autant que hé, on vient quand même encore de perdre 61 malheureux à cause d’un accident, donc bon.
En passant, voir les capitaines des vaisseaux (dont Xeno Fenner !) déjà prêts à se repaître des morceaux du pauvre Galactica, c’est juste révoltant. Ah, voir Lee aussi ulcéré (et canon), ça m’a fait bien plaisir.

Ah, Lee. Lee, Lee, Lee. Change pas, lui. Toujours droit dans ses bottes, enfin, ses coûteuses chaussures italiennes, quitte à pousser quelques beuglantes vu que la vioque est trop occupée à fumer tout ce qui se fume et que le vieux, lui, est parti sniffer la résine cylon.
Je reviendrai sur son cas plus tard, une fois que j’aurai parlé de… Kara.
Je l’ai trouvée fabuleuse… évidemment. Prête à faire griller la cervelle de son mari (ouh comme ça m’aurait arrangée !) parce qu’elle ne supporte pas la vue de l’abomination qu’il est devenu. Ptain, sérieux, mais qui a eu l’idée de le brancher au vaisseau, sont MA-LA-DES, ces toasters !

Notre beau Sam, mais qu’est-ce qu’ils en ont fait ? C’est quoi ce délire de Sam dans le réseau ? Qui fait clignoter la mumière quand il ferme les yeux ? Qui pourrait faire sauter le vaisseau à n’importe quel moment ? Qui est relié au Galactica à travers la résine des cylons ? (Ouh, c’t’intéressant, ça !)
En tout cas, ce Sam méconnaissable n’a pas très envie qu’on lui fasse sauter le caisson.

Mieux encore, il nous la joue total-hybrid. Et autant la madame qui baragouinait dans son bain était flippante mais paraissait plutôt amicale et inoffensive, autant Hybrid!Sam… Hhhhhhhiiiii, il fout trop les jetons !

Hybrid!Sam : The neural anatomy of fear and faith share common afferent pathways. Flip a coin ! Increased vascular pressure marks the threat response. Free will scuttles in the swamp of fear. Do not fear the worth. You are the Harbinger of Death, Kara Thrace. You will lead them all to their end. End of line. New command. Resume function. Resume function. Resume function.

(Et le coup du « Hole in the bucket, dear Liza, dear Liza » c’est une comptine pour enfants. Si, si, je vous jure. Sachant que le Bucket, c’est aussi le surnom du Galactica. Trop fort.)

Pauvre Kara, donc, qui s’entend une fois de plus dire qu’elle est le messager de la mort. Ca fait super plaisir quand on se voit déjà version squelette à tous les coins de rue.

Mais bon, que serait Kara si elle n’était pas là pour nous claquer des scènes de folaïe une fois de temps en temps. Nan parce que celle-là, elle ne nous l’avait jamais faite, hein.
Pantalon sur les chevilles avec sa petite lecture dans les mains et le petit bruit cristallin qui va bien histoire de déstabiliser l’adversaire. Oh, Kara…

Enfin bon, me direz-vous, c’est pas comme si Gaius n’avait jamais fait le tour du propriétaire. D’ailleurs, on voit bien qu’il est charmé par la classe de la donzelle !

Blague à part, j’ai été trop trop contente qu’on ait ENFIN une scène entre ces deux-là. Il y a tellement de dossier en ce qui les concerne, entre « LEE ! LEE ! » et New Caprica, sans compter leurs expériences communes que je n’en pouvais plus d’attendre enfin un peu d’interaction. Et j’adore le fait que Gaius se montre aussi hautain et Kara aussi cynique. Pour finalement lui déballer tout le truc, à lui, le personnage le plus inattendu qui soit. J’ai applaudi à deux mains.

Baltar : Who are you, by the way, again ?
Kara : Me ? I’m a dead chick, that’s who.
Baltar : Oh, right. And I’m full of crap.
Kara : No, I mean it. I’m dead, as in six-feet under dead. Dead, as in crashed landed, burned to a crisp dead. Here. I took these off my body. What was left of it, anyway, on Earth. Take them. You used to be a scientist. Run some tests, pull out the ol’ Cylon detector, do whatever you need to do because I have no idea. The only thing I know for sure, I’m not an angel.

Et évidemment que Gaius va saisir l’occasion de nous faire un coup d’éclat comme il sait si bien le faire, à l’occasion d’une magnifique cérémonie funèbre. Toutes ces scènes de foule filmées dans le hangar deck, elles sont toujours superbes. Et là, pareil.

Gaius : Listen to me ! The death is not the end. And I am not talking about Cylon resurrection. I am talking about the gift of eternal life that is offered to each and every one of us. Yes?EUR? even the most flawed amongst us. (Sympaaaaa !) All we need is the courage to face death when it comes calling for us. And embrace it, even. Only then will we truly have the ability to cross over, as one amongst us here as already crossed over. One amongst us here is proof that there is life after death.The blood on these dogtags comes from necrotic flesh. That means a dead body. The DNA analysis is a hundred percent proof-positive match for one Captain Kara Thrace. I told you there were angels walking amongst you. When will you believe me ?

J’adore la tronche de Lee qui engrange tout de suite l’info et qui regarde de loin la chose impossible revenue de là où on ne revient pas. Hop, on capte que pour lui, ça n’a aucune importance.

Et j’ai trouvé charmant le petit soufflet très féminin que Kara vient flanquer à Gaius, genre prends ça, gros goujat.
Perso, je lui aurais collé un bourre-pif qui l’aurait fait valdinguer à l’autre bout du deck.

S’ensuit donc ce que j’ai compris comme étant l’une des nombreuses allusions à Unfinished Business. Le tarpé, la déclaration d’amour de Lee, et le retour du carré maudit. Mais oui, bien sûr.
Car Lee n’a guère bougé, depuis. Même pas besoin de marcher de traviole, cette fois, pour faire comprendre à Kara que ptain, juste on s’en fout de qui on est et de ce qu’on est. On est là, et point barre.

Lee : Okay, listen to me. I don’t care. I know we’ve all been through some crazy, crazy stuff. I don’t care what you think you saw. I watched your viper explode, don’t care. I’m here. You’re here. This is all that matters. Okay ? (And letz make babiiiiiez ! )

« See you around, Kara Thrace. » Ouais. Casse-toi avant de te rendre ridicule, Lee Adama, parce que là, je sens que tu es sur le point de te jeter à ses genoux, voire de baiser le sol foulé par ses nobles écrase-merde, à la dame.

On imagine que ça doit lui faire bien plaisir, à Kara, de s’entendre dire ça après tout ce que Gaius vient de divulguer à son endroit.

Mais bon, elle a malheureusement un gros dossier sur le feu.
Cependant, je la trouve magnifique lorsqu’elle dépose sa photo sur le mur, bien au chaud entre ses copines (!) Kat et Dualla. C’est son ancienne vie à laquelle elle renonce là. C’est le fait d’être morte et d’être revenue qu’elle accepte enfin.

Pour en revenir cinq minutes à Gaius… j’ai trop halluciné en me rendant compte que dans son sermon du début, celui qui fait que Kara se rend compte qu’ils ont du business en commun, il ne fait ni plus ni moins qu’avouer qu’il voit Mind!Six, son ange.

Gaius : Angels ? Angels I hear you say. I don?EUR(TM)t believe that angels appear to you in some mystical spectral form. Angels take the guise of those who are nearest and dearest to you. Those who can understand your doubts and your trials and steer you back on the road to salvation. I believe in these angels because I see them.

Car au fond, l’ange qu’il aime vraiment, c’est Caprica. Qu’il croise après tant de mois. Et devant laquelle il se répand en jolies paroles. Trop tard, malheureusement.

Caprica : You haven’t changed, Gaius. Not really. I have.

Oh oui, qu’elle a changé, cette belle Caprica qui avait tué un bébé sous nos yeux et qui aujourd’hui pleure la disparition du sien.

Mon bon Gaius, je t’aime beaucoup et je te trouve méga-bonnard, avec ton toupet de cheveux en bataille, mais franchement, tu ne la mérites pas, la belle Caprica. Pas plus que ce vieux bouc de Saul Tigh ne la méritait, d’ailleurs. Pauvre vieux. Il commence à avoir du mal. Voilà maintenant que les toasters qui crèvent réclament à lui tenir la main en rendant leur dernier soupir !

Number Eight : Thank you.
Saul : Thank me ? For what ?
Number Eight : For the privilege of finally being able to meet my father before I die.
Saul : You shouldn’t be thanking me. I spent most of my life trying to kill your kind.
Number Eight : Too much confusion.

Et c’est rien de le dire. Il a bien du mal à accepter son statut de père des skinjobs, le pauvre vieux. Lui qui vient de perdre ce qu’il considère comme son véritable enfant. Le petiot aurait-il vécu que Saul eût peut-être accepté sa nature de cylon. Mais la mort de son fils ne fait que renforcer le choix qu’il a fait dans la nébuleuse : être Saul Tigh, rester Saul Tigh et honorer son amitié envers Bill et son uniforme d’officier. Et qu’il est bon, ce Michael Hogan !

Saul : You wanna know who my people are, lady ? The ones on this ship ! The ones I fought with and bled with ! The Old Man. This crew. They?EUR(TM)re my family. The only one I?EUR(TM)ve known and the only one I care to !

Et les enfants, alors, hein, Saul. Qui va les nourrir et payer la pension ???

Tigh : I had a child. He died.
Ellen : You?EUR(TM)re wrong, Saul. You had millions !

Mais qu’importe. C’est toujours lui, Saul, qui sera là pour récupérer Bill Adama après sa dernière grosse crise.

Et pour lever son verre au Galactica qui ne sera bientôt plus qu’une coquille vide, avec l’amiral, enfin prêt à parler de son vaisseau au passé.

Saul : She was a grand old lady.
Adama : The grandest.

Je suis sûre que plein de gens ont dû être verts, après cet épisode. Moi-même, je me suis un peu demandée à quoi bon. En fait, je crois qu’on attend vraiment des réponses avec impatience, tout en sachant qu’une fois qu’on les aura, ben ce sera fini. Et moi, je me dis que dans deux semaines, j’aurai fini BSG pour toujours, j’aurai fait mes adieux à Kara et à tous les autres… ça me flingue, honnêtement.

Donc samedi, on aura sans doute droit à de grosses révélations. Le discours de Kara, auprès de Sam, m’a paru résumer à lui seul ou presque la thématique de cet épisode.

Kara : The old me is dead and gone. Same as the old you. Just took me a while to accept it. Which brings us to the larger question. Why am I here ? I think it has something to do with this music. There is a pattern there. A pattern that I can?EUR(TM)t see. But I think that you can. So we are going to sit in this room until we figure it out.

C’est un peu ce que chaque personnage doit affronter ici. Abandonner son ancienne vie et se poser la question de ce qu’il est. C’est le cas de Laura, par exemple, qui confie à Bill qu’elle ne s’est jamais sentie chez elle nulle part avant d’être avec lui. C’est Saul qui ne peut se résoudre à abandonner Adama et qui le suivra jusqu’au bout. C’est Caprica qui renonce à ce qu’elle a été jadis. Et bien d’autres.
Et c’est surtout nous qui devons dire au revoir à notre série. Le travail de deuil que chacun accomplit, c’est un peu le nôtre.
Une transition qui peut déboucher vers le positif, c’est souvent le cas, dans la vie. J’ose encore un tout petit peu espérer.

J’ai beaucoup aimé toutes les petites allusions à Unfinished Business. Chose amusante, vendredi soir, avec Matrix, on s’est regardé la version longue ensemble, donc l’épisode était très présent dans ma mémoire (genre comme si c’était possible qu’il le soit plus). Michael Taylor, qui a écrit cet épisode, est justement le scénariste d’Unfinished Business. Ceci explique cela.

A suivre, donc, le final de cette grande série. The grandest.

(Euh, finalement, j’ai quasiment fait une vraie review, non ? Chassez le naturel… )

28 Comments

  1. Voui effectivement très chère sorcière on peut appeler ça une vraie review en règle Congrats!!!! lol

    Quoiqu’il en soit j’aime toujours autant tes reveiws bsgiennes…elles vont me manquer ouiiiin déjà nostalgique ça me flingue totalement aussi d’ailleur!^^’

    Bref les scènes avec Kara sont toutes géniales (oui je suis objective didiouuu XD) et le passage du "I’m not an angel" ou elle est ensuite baignée de lumière et puis où elle passe à un rouge bien diaboliquement hybridien oui oui! J’adore c’est trop beau!

    Bon après coup ça va mieu mais cet épisode m’avait quand même complètement vidée !!!

    Et comme tu dis pour mes chouchous "Let’s make babiezzzz!!!" voui voui vouiiiiiii *v*

    Rahhhhh je les iame tous, sont tous magnifiques!!!!

  2. Perso j’ai adoré le coup de la gifle. c’est bien plus humiliant sachant qu’elle pourrait l’envoyer au tapis avec une bonne droite!
    Et la scene entre Kara et Lee…ils sont juste super beaux quand ils sont ensemble: ils rayonnent (it’s the power of love LOL)

  3. Elle rayonnait un peu forcé, Kara. Mais bon… je me demande quand même comment ça se serait passé si Dualla était encore en vie. Hem.

  4. Très belle review comme d’habitude

    Elle est très belle la scène entre Lee et Kara ; et en même temps elle donne l’impression que les choses n’ont pas avancé depuis très longtemps entre ces deux là et n’avanceront plus …
    à titre personnel , je suis déçue, je pensais que les scénaristes prendraient le risque de faire évoluer cette relation vers quelque chose de différent…. d’autant qu’on voit arriver à des kilomètres de distance , l’alibi Sam pour justifier de ne pas avoir donner sa chance à ce couple…

    Sinon et finalement c’est lié, j’aurais préféré que Kara tue Sam dans cet épisode parce que son geste était paradoxalement plein de compassion, bref magnifique et à la hauteur du personnage de Kara…

  5. Je pense qu’on a encore besoin de Sam. 😉

  6. Elle l’a faiiiiiiit !!!! XD
    ah ça fait plaisir de voir cette review, et c’en est même une très bonne !!! (comme quoi, tu as de la réserve, Sorcière 😉

    Et justement, je me demandais pourquoi cet épi m’avait complètement assommé.

    Post-vionnage, je suis restée un quart d’heure le regard dans le vide en me demandant ce que je pouvais bien faire. L’épisode m’avait totalement vidé, en me laissant un goût d’hallu, d’incompréhension et de mélancolie que je n’avait pas ressenti depuis un bout de temps. Un que quoi? où suis-je ? qui qui s’est passé ?

    (Bon, j’avais adoré hein, mais sûrement parce que je dois être sacrément maso. ^^’)

    Perso, ça en viendrait presque à de la torture de fan, observée d’un oeil sadique par notre grand Ron.

    Mais là, grâce à ta review, j’ai compris.
    C’était un sentiment de deuil, l’impression de perdre tout nos persos qui sont dans une sacrée merde interstellaire.
    Je crois que les prochains épi vont m’achever, sérieusement.
    *comment ça c’est qu’une sériiiiie ???*

  7. Perso j’ai bcp aimé ces 3 derniers épisodes diffusés même si niveau révélation ils n’apportent pas ou peu on passe encore un peu de temps avec nos gus favoris et les scénaristes mettent en place le final, le rythme est lent certes mais niveau révélations je pense pas qu’il nous manque grand chose et j’entends ça et là beugler que "putain c’est mou on se fait chier, il se passe rien, 95% de l’épisode sert à rien, c’est dla merde" et franchement ça me saoule je pense vraiment VRAIMENT qu’ils n’ont rien compris au fond à BSG et que ça a plus de profondeur que n’importe quelle autre série (sf ou non) diffusée jusqu’à aujourd’hui…

    Bref mon ptit coup de gueule…

    Merci pour la review, elle fait que confirmer sur ce que je pensais déjà de l’épisode… plus que deux semaine, my god(s).

  8. Oh non, on se fait vraiment pas chier, ça c’est clair… niveau révélations : God, Kara, l’Opera House et le destin de l’humanité. That’s all folks.

  9. et je rajouterai que le titre de l’épisode je le trouve poétique à souhait, my favorite avec "taking a break from all your whorries" je sais pas ou ils trouvent l’inspiration mais ce genre de ptits trucs va me manquer au final…

  10. Il y a beaucoup de références littéraires ou plus généralement culturelles, dans ces titres. Là, je crois que c’est une phrase d’un bouquin… C’est vrai que j’adore ce titre, il est très très beau.

  11. Kara a changé … Pour moi ,c’est le message véhiculé par cette simple gifle .J’ attendais aussi un vrai bourre-pif!!! C’est moi ou on nous montrait justement son bouillonnement intérieur , puis sa prise d’ élan … et pour finir sur cette gifle ?(flop) (Manipulation !)

    La chose  »Sam » est effectivement angoissante ! Sans parler de cette histoire d’ ange de la mort . Je commence à me faire une idée de la fin … (jusqu’ à maintenant j’ avais toujours été renversée par les tournures des choses …) ,j’ espérais aussi un happy end mais là …

    Concernant le Galactica j’ imagine une fin éclatante contre la chose violâtre de Cavil … (façon Pegasus) mais pour ça …il faudrait un reliquat d’ équipage kamikaze et là je refuse d’ imaginer la liste des noms !!!!!!!

  12. Ben pour une revue ‘bâclée", je dirais que c’est vraiment pas mal ! 🙂

    Na, ta review est très bien comme d’habitude, elle m’a permis d’approfondir ma lecture de l’épisode, comme presque à chaque fois.

    Cet épisode est à la fois très fort, et très triste. Tous les persos sont très bons, mention spéciale à Helo et Adama, qui sont vraiment très touchant. La scène où Helo supplie Adama de lui laisser un raptor m’a touchée, et la tête d’Adama quand Helo lui dit que le Galactica est fini encore plus !
    Kara est encore une fois magnifique dans cet épisode, et Saul Tigh joue encore parfaitement de son regard. Ce mec, il restera certainement mon perso préféré de BSG. Et dire que si j’avais pas connu BSG, j’aurais jamais connu cet acteur. Merci RDM de me l’avoir fait découvrir.

    La scène finale m’a laissé sur le cul, j’ai cru que j’allai laisser une larme avant la fin. Les 2 vieux sont vraiment touchants.
    Finalement, il semblerait que le Dying leader s’applique donc aussi bien à la présidente qu’au Galactica. Pauvre Bill qui perd ses 2 amours en même temps.

    Les heads perso sont ils donc réellement des anges ? Selon Baltar, ce serait le cas. So Kara is …?

    Attropos, je n’aurais pas dit mieux 🙂

    "Et c’est surtout nous qui devons dire au revoir à notre série. Le travail de deuil que chacun accomplit, c’est un peu le nôtre. "
    J’adore ce commentaire. Et je le déteste en même temps, tellement il résume si bien la situation.

    Je suis comme nous tous très impatient de connaître toute la vérité, mais ca veut dire faire ses adieux à BSG. Autant cet épisode m’a vidé tout comme vous, autant je n’ose imaginer le vide que la fin de BSG va laisser en moi… 🙁

  13. 2 points qui m’ont frappés dans cet épisode et qui pourraient être peut-être être importants dans la suite… :

    1 – on revoit les vaisseaux des vieux modèles cylons sur le méga-vaisseau mère de Cavil, qu’on avait pas vus depuis Razor. Petite apparition dans le finale des bons vieux ‘By your command’?

    2 – la citation de 8 mourante à Tigh : ‘too much confusion’. Comme dans :

    "There must be some kind of way out of here
    Said the joker to the thief
    Theres too much confusion
    I cant get no relief"

    ???

    Ok , peut-être que c’était tellement évidemment pour tout le monde que j’enfonce de portes ouvertes mais est-ce que ça a fait tilt chez quelqu’un d’autre?

  14. Oui, j’ai remarqué. En fait, je pense que le « too much confusion » peut démontrer, comme on commençait à le flairer dans l’épisode du pianiste, que les skinjobs connaissent la chanson, surtout maintenant qu’ils ont le droit de se souvenir de leurs parents… ce qui confirmerait que Kara puisse être la fille d’un cylon. Pour les vaisseaux de la Colonie, ben… sachant que c’est là que les centurions se sont retirés après la première guerre, ça paraît logique. 🙂

  15. Oui, moi aussi j’ai relevé la les paroles de la chanson, mais je savais pas trop comment l’interpréter. Ce qu’en pense la sorcière, comme quoi désormais les skinjobs connaissent effectivement la chanson me paraît censé.
    Par contre, si Kara est une cylon ou pas, j’ai encore quelques doutes. Mais bon on saura ca très bientôt, alors je préfère ne plus me poser de question à son sujet, et savourer à fond le peu qui nous reste 🙂

  16. @ Attropos: ça vient d’un roman d’Henry Beston "Une maison au bout du monde" qui raconte son année passé en solitaire dans une maison sur la plage a Cape Code. La citation complete c’est:
    "For a moment of night we have a glimpse of ourselves and of our world islanded in its stream of stars?EUR » pilgrims of mortality, voyaging between horizons across eternal seas of space and time."
    Je trouve que ça colle bien avec nos voyageurs.

  17. Merci pour la précision… c’est très beau ! 🙂

  18. "En passant, voir les capitaines des vaisseaux déjà prêts à se repaître des morceaux du pauvre Galactica, c’est juste révoltant."

    Ouais, ça rappelle certains enchérisseurs sur eBay que je e citerais pas :mrgreen:

  19. mdr bien vu !!!

    ça me rappelle l’équipage du pegasus qui n’a pas hésité à dévaliser les civils à l’époque du premier exode… retour de baton pour certains ?

  20. Déjà posté, merci.

  21. Jolie review, encore une fois 🙂

    Bon, c’est officiel : cet épisode m’a fichu un cafard pas possible. Ca sent vraiment la fin. Voir les capitaines se disputer les pièces du Galactica, ça m’a carrément donné des envies de meurtre. Bande de charognards.

    Par contre, Helo j’en ferais bien mon 4 heures (surtout depuis que j’ai jeté un oeil sur la review de Dollhouse).

    Question : suis-je la seule à avoir pensé à la scène entre Kara et Leoben (après sa réapparition il me semble) quand on voit Adama étaler la peinture sur le mur ? Est-ce qu’il serait en train de suivre le même cheminement que Kara ?
    A mon avis le petit laïus de Gaius n’est pas là par hasard.
    Et Boomer nous réserve certainement des surprises. A voir sa tête quand elle laisse Hera, elle ne va probablement pas rester le toutou de Cavil pour très longtemps. Et franchement j’aimerais bien, parce que Boomer c’est un personnage que j’ai toujours trouvé intéressant, et elle mérite mieux que d’être simplement la 8 qui a choisi le mauvais camp.

  22. Moi, j’ai pensé à Maelstrom quand Adama se roule dans la peinture. Evidemment. 😉

  23. Euh, Bill il fait pas de cochoncetés dans la patouille !

    Han, et j’ai patouillé moi aussi hier, j’ai difficilement résisté à faire des Zieux de Jupiter partout ! 😀

  24. *imagine Leoben en train de violer le vieux* NAAAAAAAAN !!! LOL

  25. Rofl 😀
    Je suis pas sure de vouloir imaginer ça en fait 8 – O

  26. Ouahou, deux épisodes dans la journée, j’suis trop une gue-din 😮

    (à part ça : fabuleux – larmes – nostalgie – appréhension?EUR? comme tout l’monde, quoi)

  27. Vient de voir la version longue… Immensément supérieure, y’a pas à dire. Le matériau qui a été coupé… c’est un crime !
    (le commentaire du Vieux, par contre, faut pas être exigeant, hein…)

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