Merlin
Chaud devant!
302 : The tears of Uther Pendragon (2)
Ouééé, super, trop bien, une review sur laquelle je ne vais pas passer trois heures ! (Hem.)
Bon, je vais essayer de ne pas trop en rajouter sauf que… purée, mais c’est pas ma faute si je suis complètement gaga de ce truc ! Le pire ? C’est que je n’arrête pas de me marrer quand c’est super cheesy… Moi, j’adore Jason et les Argonautes et le Choc des Titans des années 80 et Sinbad le marin et tout ça ! Alors quand on me claque des gros squelettes avec des épées tout laids, je fais YOUHOUH, TROP BIEN ! 
301 : The tears of Uther Pendragon (1)
Eh ben j’ai failli attendre ! 
(Pfff, et mes invités qui sont partis à UNE HEURE DU MATIN, samedi, soir de diffusion, non mais oh, sont pas chiés, ceux-là… 
)
Rah. Une semaine sans Merlin après ces deux mois de cure en intraveineuse, j’ai cru que j’allais pas y survivre. (Et j’ai bien cru que les deux derniers épisodes de la saison 1 de Glee allaient encore précipiter mon trépas.)
Bon mais heureusement, Merlin est arrivé pour me sauver. Avec les genoux qui jouent des castagnettes et un sursaut à chaque grillon qui croise sa route, mais bon.
C’est affreux…
Comme toujours quand je finis une série sur laquelle j’ai obsessionné pendant des semaines, je traverse les affres du manque. Sans doute amplifié par la reprise prochaine de ladite série. Ca me rend dingue. (En même temps, vous voulez que je vous dise ? Je crois que je n’avais pas vécu cette sensation avec une telle intensité depuis un bon moment. Ca fait du bien de ne pas être totalement blasé télévisuellement parlant. 😉 )
Bref, j’essaie de tromper l’attente avec d’autres petites choses, mais quand je tombe sur ce genre de photo promo de la saison 3, je fais « oooooooh » et « aaaaaaah » et « ghhhhgniiiiii » et « beuheuheeeeeuh ».
213 : The last dragonlord
Bon, je vais essayer de conserver la tête froide en rédigeant ce billet parce que j’ai tellement adoré cet épisode… en fait je ne vois même pas comment je pourrais en parler sans verser dans la cucuterie la plus absolue tellement j’y vois le sans-faute parfait. (A part le dragon qui est toujours aussi moche.)
Non, vraiment, cet épisode, à mes yeux, c’est sans conteste le meilleur de la série, il n’y manque strictement rien… excepté peut-être Morgana toujours portée disparue. Et Colin Morgan est époustouflant de talent. Il n’a jamais été aussi bon et aussi mimi qu’ici. Ca aurait pu durer deux heures de plus que je ne m’en serais pas plainte. Non mais regardez-moi ce petit mignon. Est-ce que vous n’avez pas envie de l’adopter, là tout de suite ?
212 : The fires of Idirsholas
Et voilà. On approche du final de la saison 2. Et bon sang, qu’est-ce qu’on va en chier !
Tout commence pourtant plutôt normalement, un nouveau danger surgit quelque part loin de Camelot, Uther nous sort sa tronche de Carême signifiant : « Eh merde, encore de la magie. » Merlin a l’air vaguement inquiet tandis que Gaius dit que c’est trèèèèès grave (comme d’hab, quoi) et qu’Arthur enfourche déjà son blanc destrier pour aller voir ce qui se passe, flanqué de son Merlin aux genoux qui jouent des castagnettes.
Ca commence donc très très bien sachant que Merlin qui a les foies et Arthur qui se fout de sa gueule à côté, rien à faire, ça me fait toujours mourir de rire. 
(Et le jour où ça ne me fera plus mourir de rire, je crois que je pourrai arrêter Merlin.)
211 : The witch’s quickening
C’est qu’on approche tout doucement de la fin de saison, dites donc… La Sorcière va devoir dire au revoir à son jeune collègue enchanteur pendant quelques semaines, le temps qu’il se prépare pour la saison 3 en septembre. Tant mieux, j’entends déjà Daniel Graystone, Dean Winchester et Doctor Eleven frapper au carreau.
Alors… cet épisode, c’est une chouette introduction à une fin de saison qui s’annonce quand même extrêmement sombre. Petit bémol tout de même… je ne sais pas, j’adore Morgane mais j’ai toujours l’impression, quand ça tourne autour d’elle, de voir grosso modo le même épisode. On aura forcément des galopades à la dérobée dans les couloirs du château, une escapade en forêt, une altercation avec Uther et Merlin qui fait les gros yeux.
Malgré ça, son histoire monte en puissance et c’est sans doute la dernière fois qu’on a droit à ce genre de format bien rôdé.
Là, on a droit en plus à un cadeau Bonux en la personne d’Alvarr (je vous arrête tout de suite, ce n’est pas un alcool fort) qui est plutôt bien de sa personne…
