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206 : Philippi

Encore une fois, Rome nous sort le grand jeu. Amour, haine, vengeance, meurtre et guerre. Waouh. Quel concentré de life…

Et pour commencer… Ris, mon pauvre Brutus, ça ne durera pas.

Tiens, ça j’avais encore jamais vu dans la série, et j’adore. Le stylet et la cire…

Il faut bien reconnaître que Marc Antoine et Octave, ça fait une sacrée team.

Et le tout couronné par Atia qui tire autant de ficelles qu’elle peut entre ses deux hommes, c’est quand même assez sublime !

Encore une fois, Rome nous sort le grand jeu. Amour, haine, vengeance, meurtre et guerre. Waouh. Quel concentré de life… Et pour commencer… Ris, mon pauvre Brutus, ça ne durera pas. Tiens, ça j’avais encore jamais vu dans la série, et j’adore. Le stylet et la cire… Il faut bien reconnaître que Marc Antoine et Octave, ça fait une sacrée team. Et le tout couronné par Atia qui tire autant de ficelles qu’elle peut entre ses deux hommes, c’est quand même assez...

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Posted by on Fév 20, 2007 in Rome | 17 comments

315 : A day in the life

Après quelques heures de réflexion et même si j’étais parfaitement enragée quand j’ai regardé cet épisode (merci aux tasses de café volantes qui adorent venir s’écraser sur des ordinateurs portables qui représentent la prunelle de mes fesses… ), j’ai beaucoup aimé. La complexité des relations au sein de la famille Adama, Bill version « mon père ce raté » qui revient en deuxième semaine (très fort, en ce moment), et la vie à bord du Galactica. On pourrait trouver ces épisodes ennuyeux, mais lorsqu’il n’y a pas de mafia en jeu mais juste une fatalité écrasante qui met nos héros à cran, j’aime beaucoup. Et aussi parce que pour une fois, c’est aux familles qu’on s’intéresse. Et ça, c’est rare.

Après quelques heures de réflexion et même si j’étais parfaitement enragée quand j’ai regardé cet épisode (merci aux tasses de café volantes qui adorent venir s’écraser sur des ordinateurs portables qui représentent la prunelle de mes fesses… ), j’ai beaucoup aimé. La complexité des relations au sein de la famille Adama, Bill version « mon père ce raté » qui revient en deuxième semaine (très fort, en ce moment), et la vie à bord du Galactica. On pourrait trouver ces épisodes ennuyeux, mais lorsqu’il n’y a pas de mafia en jeu mais juste une fatalité écrasante qui met nos héros à cran, j’aime beaucoup. Et aussi parce que pour une fois, c’est aux familles qu’on s’intéresse. Et ça, c’est...

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512 : Everyone’s waiting

Franchement, quand on regarde allez… les trente premières minutes de cet épisode, on ne s’attend pas du tout à la claque qu’on va prendre. A posteriori, je me dis que peu importe ce qu’on m’avait dit avant, jamais je n’aurais pu m’attendre à ça. Et c’est vrai qu’on est au bord (et plus qu’au bord, en ce qui me concerne) de l’agacement en regardant ces premières minutes. On n’en peut juste plus. C’est trop de souffrance, trop de cauchemar, trop d’horreur. Je n’aurais jamais pu revoir cette première demi-heure si je n’avais eu la certitude que derrière il y aurait enfin un peu de lumière.

Parce que oh my god, dès les premières secondes. Argh, c’est pas possible, un vrai trou noir…

On reprend là où on s’était arrêtés, à l’accouchement de Brenda. Et aucun cri de bébé, rien, juste des têtes de déterrés et des toubibs trop occupés à ranimer la petite pour s’occuper de la mère.

Nan, putain, nan !!!

Du côté de David, c’est guère mieux. Il est complètement paumé, sous médocs, il craque grave, au point que Keith lui demande de partir quelques temps, histoire de se remettre sur pied.

Pffff… 🙁

Claire, elle, retrouve Ted, le mec le plus improbable de sa vie…

Claire : « Oh my god, you must be the most unhip person I’ve ever met. »

Et pourtant…

Pauvre Brenda. Sa petite fille a survécu mais elle risque d’avoir des séquelles à vie, et Nate (ou plutôt son bâtard de fantôme) n’est pas franchement encourageant.

Je ne parle même pas de Ruth qui vient également de perdre Maya puisqu’elle a promis à Brenda après son accouchement de la lui rendre quand elle ramènerait Willa à la maison.

La pauvre Ruth est complètement effondrée. Vide.

Ruth : « Each day I feel worse. More empty. More dead. »

Alors George lui propose de s’occuper d’elle comme elle l’a fait lorsqu’il en avait tellement besoin.

Et là, l’épisode bascule.

D’abord, Claire reçoit un coup de fil de New York, d’une boîte de photo où elle a été pistonnée par une âme charitable et anonyme pour entrer en tant qu’assistante. Il s’avère ensuite que ce généreux piston n’est autre qu’Olivier, le mec de Margaret Chenowith qui gagate grave devant la petite Willa !

Puis, à l’occasion d’un nouveau cauchemar, David se retrouve cette fois à riposter face aux attaques de la fameuse capuche rouge, et découvre qu’en fait, c’est son visage terrorisé qui se cache derrière…

(Très très bon, ça, fameux, même.)

Dans le même temps, alors que le funérarium et la maison sont mis en vente car Rico a l’intention de monter sa propre affaire, Keith suggère à David de racheter les parts de Rico et de Brenda, et de s’installer dans la maison.

(Pendant tout l’épisode, je me suis demandée ce qui serait le mieux pour eux : tout quitter, ou rester. Et ça m’aurait fait mal au coeur que la maison soit vendue… )

Ruth est frappée par certaines évidences : « My entire life I’ve been wearing clothes that I hate. »

Dans la foulée, elle refuse l’invitation de George de venir vivre chez lui. Mais elle veut bien continuer à sortir avec lui.

Et puis enfin, elle a ce geste admirable. Elle téléphone à Maggie, la fille de George, et lui demande si dans ses derniers instants, Nate était heureux.

Maggie : « Yes. He was very happy. »

Apaisée, elle offre à Brenda toute son aide pour élever ses enfants, parce que la pauvre Brenda est toujours morte d’inquiétude pour sa plus petite…

Alors elle accepte avec reconnaissance.

Et là, j’en reviens pas que je commence à chialer quand Claire dit à sa mère qu’elle veut rester près d’elle.

La voyant pleurer sur son album photo, Claire, qui a décidé de partir pour New York, déclare qu’elle veut rester à la maison, et tout faire pour qu’elle se sente mieux.

Sur quoi, Ruth la sermonne en lui disant qu’elle doit partir à tout prix…

En pleine nuit, chez Brenda…

« Hi, we’ve never met, I’m Nathaniel. »

Oui, le même Nathaniel qui est mort le jour où Brenda a débarqué dans la vie des Fisher.

Enfin, elle arrive à faire la paix avec Nate… et à le réconcilier (dans sa tête du moins) avec sa petite fille.

Nate : « I love her so much and I always will. »

Plusieurs mois plus tard, je pense, la veille de son départ, après avoir fait ses adieux à Ted, Claire reçoit un coup de fil de New York où son taf a été supprimé à cause d’une restructuration. Nate vient lui apporter conseil…

Nate : « You can’t stay here ! »

Claire décide alors de ne rien dire et de partir quand même, d’autant que sa mère a débloqué son argent hérité à la mort de Nathaniel. Elle tentera donc quand même le coup à New York. La veille, un grand dîner familial est organisé en son honneur dans la maison reprise par David et Keith, et redécorée de fond en comble. On notera avec amusement que seule la table de la cuisine n’a pas changé. J’ai trouvé ce clin d’oeil totalement adorable.

Tous réunis autour du repas, ils évoquent en riant le passé, les vieux souvenirs avec Nate, et finissent par trinquer à sa mémoire.

Et le voilà, le vrai chef de famille…

Comment a-t-on jamais pu en douter ?

Le lendemain matin, Claire s’apprête à quitter Fisher and Sons…

(Même pas la peine de dire comment je chiale, là tout de suite… )

Et elle prend le volant en sanglotant…

(Comme nous tous, d’ailleurs… )

Et maintenant, interdiction PLUS QUE FORMELLE à quiconque n’a pas vu la fin de la série de cliquer ici. Dérogation spéciale à Tequila. Pour le reste, sachez que vous brûlerez en enfer jusqu’à la fin des temps si vous OSEZ vous spoiler la fin de cette merveilleuse série. Vous êtes prévenus. Une, deux, trois, on y va.

Franchement, quand on regarde allez… les trente premières minutes de cet épisode, on ne s’attend pas du tout à la claque qu’on va prendre. A posteriori, je me dis que peu importe ce qu’on m’avait dit avant, jamais je n’aurais pu m’attendre à ça. Et c’est vrai qu’on est au bord (et plus qu’au bord, en ce qui me concerne) de l’agacement en regardant ces premières minutes. On n’en peut juste plus. C’est trop de souffrance, trop de cauchemar, trop d’horreur. Je n’aurais jamais pu revoir cette première demi-heure si je n’avais eu la certitude que derrière il y aurait enfin un peu de lumière. Parce que oh my god, dès les premières secondes. Argh, c’est pas possible, un vrai trou noir… On reprend là où on s’était arrêtés, à l’accouchement de Brenda. Et aucun cri de bébé, rien, juste des têtes de déterrés et des toubibs trop occupés à ranimer la petite pour s’occuper de la mère. Nan, putain, nan !!! Du côté de David, c’est guère mieux....

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Posted by on Fév 18, 2007 in Six Feet Under | 23 comments

Humeur du jour

Terrible quand on a à la fois l’impression de s’éclater, de sortir 300 conneries à la minute, d’être à moitié hystérique et de se la péter en permanence. Y a des fois où j’ai du mal à me regarder en face. Ou je voudrais juste pouvoir me dire : « Ferme-la dix secondes, pour ton bien. »

Enfin à part ça, journée délicieuse. Si ce n’est ma grande gueule.

Je suis sûre qu’il y a plein de gens qui me détestent, en fait…

Et presque je pourrais les comprendre.

Terrible quand on a à la fois l’impression de s’éclater, de sortir 300 conneries à la minute, d’être à moitié hystérique et de se la péter en permanence. Y a des fois où j’ai du mal à me regarder en face. Ou je voudrais juste pouvoir me dire : « Ferme-la dix secondes, pour ton bien. » Enfin à part ça, journée délicieuse. Si ce n’est ma grande gueule. Je suis sûre qu’il y a plein de gens qui me détestent, en fait… Et presque je pourrais les...

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Posted by on Fév 18, 2007 in Humeur du jour | 40 comments

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