303 : It hurts me too
Cette fois, j’ai été fainéante et j’ai pris peu de notes, que voulez-vous, des fois c’est comme ça. Faut dire que l’intro m’a assise. Du Alan Ball tout craché : il vous flanque un bon coup de surin sur le coin du crâne dès le début, après, vous subissez pendant cinquante minutes sans broncher, dans une espèce de mollesse bienheureuse, il vous achève dans les derniers instants, vous vous réveillez en sursaut et là vous vous dites : « Euh, c’était quoi ce truc ? »
Voilà, cet épisode, c’était ça.
Cette fois, j’ai été fainéante et j’ai pris peu de notes, que voulez-vous, des fois c’est comme ça. Faut dire que l’intro m’a assise. Du Alan Ball tout craché : il vous flanque un bon coup de surin sur le coin du crâne dès le début, après, vous subissez pendant cinquante minutes sans broncher, dans une espèce de mollesse bienheureuse, il vous achève dans les derniers instants, vous vous réveillez en sursaut et là vous vous dites : « Euh, c’était quoi ce truc ? » Voilà, cet épisode, c’était...
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