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112 : Glued

Bon, j’ai enfin le temps de me pencher sur le cas de cet épisode que j’ai vu il y a déjà quelques jours. Et il faut que je fasse avancer le schmilblick parce que j’ai juste envie d’aller plus vite, là ! (Et le suivant est magnifique.)

Bref, pour commencer, un épisode où on entend Supertramp, c’est bien. La Sorcière aime Supertramp. La Sorcière a été bercée au son de Supertramp.

Par contre, je ne suis pas très très contente, parce que… ces enfoirés ont tué Dean Winchester !!!

Bon, j’ai enfin le temps de me pencher sur le cas de cet épisode que j’ai vu il y a déjà quelques jours. Et il faut que je fasse avancer le schmilblick parce que j’ai juste envie d’aller plus vite, là ! (Et le suivant est magnifique.) Bref, pour commencer, un épisode où on entend Supertramp, c’est bien. La Sorcière aime Supertramp. La Sorcière a été bercée au son de Supertramp. Par contre, je ne suis pas très très contente, parce que… ces enfoirés ont tué Dean Winchester...

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Posted by on Août 18, 2008 in Cold case | 18 comments

111 : Hubris

Heeeeem. Malgré mon fort attachement à ces meurtriers qui se croient tout puissants et qui tuent parce que, vous comprenez, j’ai la classe, moi… difficile de ne pas sauter sur mes petits pieds et de leur hurler à tous qu’ils sont quand même un peu des gros benêts, et qu’il faudrait peut-être qu’ils aillent s’acheter une culture. Au moins qu’ils révisent leurs classiques au lieu de se la péter justiciers no-life à l’oeil et à la truffe humides.

Heeeeem. Malgré mon fort attachement à ces meurtriers qui se croient tout puissants et qui tuent parce que, vous comprenez, j’ai la classe, moi… difficile de ne pas sauter sur mes petits pieds et de leur hurler à tous qu’ils sont quand même un peu des gros benêts, et qu’il faudrait peut-être qu’ils aillent s’acheter une culture. Au moins qu’ils révisent leurs classiques au lieu de se la péter justiciers no-life à l’oeil et à la truffe...

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Posted by on Août 15, 2008 in Cold case | 3 comments

110 : The hitchhiker

Très honnêtement, je n’ai pas trop trop aimé cet épisode. Atlantic City, 1997, deux jeunes cons qui veulent devenir les maîtres du monde… d’entrée de jeu, ça sent le meurtre par le cousin dont le rire hennissant est bien trop nerveux pour ne pas être suspect.

(Lilly est de mon avis.)

En plus, on nous embrouille notre race avec cette histoire de tueur en série, auquel finalement le meurtre du jour n’est pas lié, mais qu’on finit quand même par arrêter… bref, c’est un peu dense. Surtout quand comme moi, on aime regarder ce genre de trucs à minuit passé. (Vous avez le droit de penser que je ne suis pas nette.)

Très honnêtement, je n’ai pas trop trop aimé cet épisode. Atlantic City, 1997, deux jeunes cons qui veulent devenir les maîtres du monde… d’entrée de jeu, ça sent le meurtre par le cousin dont le rire hennissant est bien trop nerveux pour ne pas être suspect. (Lilly est de mon avis.) En plus, on nous embrouille notre race avec cette histoire de tueur en série, auquel finalement le meurtre du jour n’est pas lié, mais qu’on finit quand même par arrêter… bref, c’est un peu dense. Surtout quand comme moi, on aime regarder ce genre de trucs à minuit passé. (Vous avez le droit de penser que je ne suis pas...

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Posted by on Août 15, 2008 in Cold case | 0 comments

109 : Sherry darlin’

A première vue, voici un épisode qui m’a moins bien accrochée que les deux précédents. D’abord, après m’avoir chauffée à blanc avec son superbe crâne et ses yeux de velours, adios Danny Pino. M’enfin c’est quoi, cette arnaque ?
Je n’ai pas fini de me rincer les rétines, rendez-le-moi illico !

Déception, donc. Et c’est là qu’on se rend compte qu’en seulement deux épisodes, le petit corniaud a bien réussi son coup.

A première vue, voici un épisode qui m’a moins bien accrochée que les deux précédents. D’abord, après m’avoir chauffée à blanc avec son superbe crâne et ses yeux de velours, adios Danny Pino. M’enfin c’est quoi, cette arnaque ? Je n’ai pas fini de me rincer les rétines, rendez-le-moi illico ! Déception, donc. Et c’est là qu’on se rend compte qu’en seulement deux épisodes, le petit corniaud a bien réussi son...

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Posted by on Août 12, 2008 in Cold case | 9 comments

108 : Fly away

Floudoudiou !

Heureusement que c’est souvent trop larmoyant sur la fin et que ça me permet de me récupérer avant que le générique ne se termine parce que sinon, je finirais en totale serpillère, devant cette série !
D’ailleurs, je me demande si cette série est bien pour moi. Cet épisode regardé hier soir m’a plombé toute ma journée. (Oui, bon, le boulot y était sûrement aussi pour quelque chose.)

Floudoudiou ! Heureusement que c’est souvent trop larmoyant sur la fin et que ça me permet de me récupérer avant que le générique ne se termine parce que sinon, je finirais en totale serpillère, devant cette série ! D’ailleurs, je me demande si cette série est bien pour moi. Cet épisode regardé hier soir m’a plombé toute ma journée. (Oui, bon, le boulot y était sûrement aussi pour quelque...

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Posted by on Août 10, 2008 in Cold case | 4 comments

107 : A time to hate

Ouuuuh… cette fois, c’est parti mon kiki ! C’est ce qu’on se dit dès les premières mesures de Shoop shoop song qui démarre avant même que l’image arrive. On sait déjà qu’on va remonter loin. Et c’est le cas.

Et je ne m’extasierai jamais assez devant ces flashbacks tellement si bien soignés. Très propres, ceux de 1964. Et réalistes jusque dans les moindres détails. Les ourlets de pantalon très hauts, les coiffures de ces dames, l’oeil de biche…

Visuellement, c’est la perfection, ces quelques petites secondes d’insouciance. Avant qu’on se retrouve dans un bar gay… à l’extérieur duquel le petit base-balleur du début est retrouvé raide.

Ouuuuh… cette fois, c’est parti mon kiki ! C’est ce qu’on se dit dès les premières mesures de Shoop shoop song qui démarre avant même que l’image arrive. On sait déjà qu’on va remonter loin. Et c’est le cas. Et je ne m’extasierai jamais assez devant ces flashbacks tellement si bien soignés. Très propres, ceux de 1964. Et réalistes jusque dans les moindres détails. Les ourlets de pantalon très hauts, les coiffures de ces dames, l’oeil de biche… Visuellement, c’est la perfection, ces quelques petites secondes d’insouciance. Avant qu’on se retrouve dans un bar gay… à l’extérieur duquel le petit base-balleur du début est retrouvé...

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Posted by on Août 9, 2008 in Cold case | 2 comments

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